 | Galart de Montjoie - 1796 - 338 Seiten
...dans ses paroles que je ne fus y tenir. Des pleurs de rage vinrent mouiller mes paupières. // avoit dans ses regards et dans ses manières, quelque chose de -visiblement surnaturel à l homme. Je me retirai en voulant retenir des larmes qui couloient malgré moi, et bien résolu de... | |
 | 1802 - 370 Seiten
...paupières ; il avoit dans ses manières quel» que chase Je visiblement surnaturel à l'Jiom» me. Je me retirai , en voulant retenir des * larmes qui...couloient malgré moi, et bien » résolu de finir la mon ministère. a .Te m'en ouvris à un de mes collègues » qui n'avolt pas plus de fermeté que... | |
 | Charles Claude de Montigny - 1802 - 438 Seiten
...paroles , que je ne pus y tenir. Des « pleurs de rage vinrent mouiller mes pau« pières. // avoit dans ses regards et dans « ses manières quelque chose de visiblement « surnaturel à Phomme. Je me retirai en « voulant retenir des larmes qui coulaient « malgré moi, et bien résolu... | |
 | Christophe Félix L. Ventre de la Touloubre - 1814 - 330 Seiten
...noblesse, de grandeur dans sou maintien et dans ses paroles , que je ne pus y tenir. Des pleurs de rage vinrent mouiller mes paupières. Il avait dans ses...Je me retirai , en voulant retenir des larmes qui coulaient malgré moi , et bien résolu de finir là mon ministère. Je m'en ouvris à un de mes collègues... | |
 | Galart de Montjoie - 1814 - 338 Seiten
...fonction avec l'insensibilité des bêtes féroces. » Quel récit ! quel aveu surtout que ces paroles ! Il avait dans ses regards et dans ses manières quelque chose de .visiblement surnaturel à l'homme! Que pourrais-je ajouter à un tel aveu , qui rendît mieux comment Louis, à l'instant où commença... | |
 | Jean Chas - 1819 - 634 Seiten
...SES »EGARDS EI DASS SES » MANIERES, QUELQUE CI1OSE DE VISIBLEMENT SVHNiTlTRZL AI/UOMSIE. Je HIC » retirai , en voulant retenir des larmes qui couloient..., » et bien résolu de finir là mon ministère. ,Ie m'en ouvris à un de » mes collègues, qui n'avoit pas plus de fermeté pour contenir les » siennes;... | |
 | Jacques Corentin Royou - 1819 - 744 Seiten
...pièrcs. Il avoit dans ses regards et dans ses » manières quelque chose de visiblement sur» naturel. Je me retirai, en voulant retenir des » larmes qui couloient malgré moi. » Hébert dit à un de ses collègues, ému comme lui : « Les prêtres , membres de la convention... | |
 | Charles Élie marquis de Ferrières - 1821 - 548 Seiten
...noblesse, de grandeur dans son maintien et dans ses paroles , que je ne pus y tenir ; des pleurs de rage vinrent mouiller mes paupières. Il avait dans ses...Je me retirai , en voulant retenir des larmes qui coulaient malgré moi , et bien résolu de finir là mon ministère. Je m'en ouvris à un de 'mes collègues... | |
 | 1821 - 548 Seiten
...noblesse, de grandeur dans son maintien et dans ses paroles , que je ne pus y tenir ; des pleurs de cage vinrent mouiller mes paupières. Il avait dans ses...Je me retirai , en voulant retenir des larmes qui coulaient malgré moi , et bien résolu de finir là mon ministère. Je m'en ouvris à un de mes collègues... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1821 - 550 Seiten
...noblesse, de grandeur dans son maintien et dans ses paroles , que je ne pus v tenir ; des pleurs de rage vinrent mouiller mes paupières. Il avait dans ses...Je me retirai , en voulant retenir des larmes qui coulaient malgré moi , et bien résolu de finir là mon ministère. Je m'en ouvris à un de mes collègues... | |
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Il avait dans ses regards et dans ses manières quelque chose de visiblement surnaturel à l'homme. Je me retirai, en voulant retenir des larmes qui coulaient malgré moi, et bien résolu de finir là mon ministère. 
