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vage, vous ne ferez que multiplier la forme primitive, toujours présente dans le moindre fragment. Et si vous le réduisez en poudre impalpable, chaque grain renferme le minéral tout entier, corps et substance.

Le terme idéal de la division mécanique, dont on peut approcher de plus en plus, et qui ne peut jamais être atteint, c'est la molécule cristalline; mais là encore le minéral se retrouve tout entier. C'est pourquoi dans le règne minéral il n'y a pas d'individu; car l'individu est ce qui ne peut être divisé sans cesser d'exister. Le véritable individu serait la molécule cristalline. Le minéral persévère indéfiniment dans le même état jusqu'à ce qu'une cause extérieure, physique ou chimique, vienne l'en tirer; alors il n'est pas modifié; it est détruit et remplacé par un autre. La cause physique peut changer sa forme primitive, la cause chimique change sa composition: dans l'un ou l'autre cas, c'est un autre minéral.

La forme primitive dépend du type de la composition, et des circonstances physiques qui accompagnent la cristallisation. Parmi ces dernières, la plus influente (si ce n'est l'unique) est la température. Il s'ensuit que les substances analogues prennent la même forme primitive quand elles cristallisent dans les mêmes circonstances; et d'autre part que la même substance peut affecter plusieurs formes primitives, avec autant de systèmes cristallins, quand elle cristallise dans des circonstances différentes. Celles-ci sont polymorphes, celles-là sont isomorphes. Ce polymorphisme, qu'il ne faut pas confondre avec celui dont il a déjà été question, et qui est proprement chimique, ne consiste pas seulement dans la pluralité de la forme primitive, il en traîne aussi la pluralité de la condition physique. Car l'une est le fondement de l'autre. La forme primitive ne commande pas seulement le système cristallin, c'est-à-dire toutes les formes cristallines que peut affecter le minéral; elle détermine aussi les propriétés physiques les plus importantes, telles que la cohésion, la pesanteur spécifique, le pouvoir réfringent, le mode de

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la réfraction, etc. En un mot, le polymorphisme physique consiste en ceci, que la même substance peut donner plusieurs minéraux distincts non-seulement par la forme, mais par toutes les autres propriétés physiques. Le règne minéral en fournit plusieurs exemples. Le premier qui ait été bien constaté, est celui du carbonate de chaux, devenu fameux par les savantes disputes auxquelles il a donné lieu, et parce qu'il a servi de point de départ à la nouvelle direction dans laquelle est en→ trée la minéralogie. C'était, en effet, une question d'un haut intérêt pour la philosophie naturelle, que de savoir si la substance matérielle a une forme unique, ou si elle peut se traduire dans l'espace par des formes differentes, mème géométriquement incompatibles; ce qui revenait à savoir si les propriétés chimiques et les propriétés physiques d'un même sujet sont indissolublement liées entre elles, ou si ces deux sortes de propriétés sont indépendantes l'une de l'autre. La question fut longtemps agitée entre les géomètres et les chimistes. Les géomètres proclamaient l'unité de la forme; les chimistes, encore indécis, proposaient des objections contre elle. Les premiers procédaient à priori; les seconds à poste, riori. Ceux-ci invoquaient les faits, ceux-là les principes. Enfin la victoire fut pour les chimistes. A la suite de quelques analyses, dont il n'était pas possible de contester la justesse, il demeura établi que l'arragonite a la même composition que le spath d'Islande; et le dimorphisme du carbonate de chaux fut démontré. Vers la même époque celui du soufre, et de quelques autres substances, fut proclamé par Mitscherlick. Les derniers doutes s'évanouirent, la question fut décidée sans retour; et le sceptre de la science, si bien porté par Haüy, passa pour lors en d'autres mains.

L'un des cas les plus remarquables de polymorphisme, est celui que présente le carbone natif : c'est le diamant cristallisé en octaèdre régulier, c'est le graphite dont la forme primitive est un chomboèdre obtus; c'est l'anthracite dont la forme est inconnue, mais qui

morphisme commande les deux séries. Les grenats représentés par une même formule, où le calcium, le magnesium, le fer et le manganèse se remplacent indifféremment atome pour atome, ont pour forme primitive le dodécaèdre rhomboidal. Les chlorures simples ont la forme cubique, ainsi que les sulfures. Quelquefois cette loi paraît en défaut. Il suffit en effet de quelques molécules d'eau pour changer le type de la composition, et par suite la forme primitive. La considération de l'isomorphisme est de la plus haute importance en minéralogie; elle sert à interpréter les résultats bruts de l'analyse chimique; elle les corrige et les ordonne; retient ceux-ci, néglige ceux-là, et les réduisant en une formule régulière selon les lois générales de la composition, elle fournit le type du mixte, dégagé des accidents qui le voilaient, et fait succéder l'ordre et la clarté, là où n'apparaissaient d'abord qu'anomalie et confusion.

diffère des précédents par toutes ses propriétés physiques. A ces trois formes naturelles, l'art a pu en ajouter trois autres: le carbone informe ue laisse déposer la flamme fuligineuse de certaines huiles essentielles; celui qu'on peut obtenir par la réaction lente du phosphore sur le sulfure de carbone, et le charbon calciné qui provient du bois. Les cas de polymorphisme se sont multipliés depuis que les chimistes ont porté leur attention de ce côté. Mais presque tous sont l'ouvrage de l'art, la nature n'en présente qu'un petit nombre. Cela tient sans doute à l'instabilité de la plupart des formes primitives provoquées en dehors des circonstances physiques ordinaires. En effet, dans le système statique déterminé par la molécule integrante à l'origine de la cristallisation, et qui constitue la molécule cristalline, l'équilibre peut être stable ou instable : dans ce dernièr cas, il ne peut subsister qu'avec les circonstances qui l'ont produit. C'est ce qui arrive au Si l'on parvient quelque jour à désoufre ; si on le fait cristalliser dans son couvrir le lien qui unit la forme à la propre bain, à la température de sa fu- substance et non son milieu, ce sera sans sion, on obtient un prisme oblique à doute au moyen de considérations țibase rhombe; si on le fait cristalliserrées de l'isomorphisme et du polymordans l'un de ses instruments à la tempé-phisme. rature ordinaire, on obtient un prisme Les substances minérales en se corpodroit de même base : la première forme risant, ne cristallisent pas toujours. Un se maintient tant, qu'elle est exposée à cristal est le résultat des forces mécasa température natale; mais ramenée àniques inhérentes à la molécule cristalla température ordinaire, elle se trans-line, et des circonstances physiques qui forme peu à peu; des clivages se pro noncent qui indiquent le prisme droit de la seconde forme, et par suite desquels les cristaux se désaggrègent et tombent en poussière. Au contraire, le prisme droit et les cristaux qui en dérivent, persistent indistinctement à la température ordinaire à laquelle ils ont été produits, et ce sont aussi les seuls que l'on rencontre dans la nature.

accompagnent la cristallisation. Mais les circonstances physiques peuvent être violentes et perturbatrices; alors elles contrarient le jeu des formes plastiques; les molécules au lieu de se juxtaposer selon les lois de la cristallisation, s'amassent irrégulièrement sans ordre et sans lois, et n'aboutissent qu'à des formes impropres, à des structures confuses où on chercherait vainement quelque indication sur la nature du minéral.

Ces formes impropres, ces structures confuses. sont les plus communes et les plus répandues et affectent la presque totalité du règne minéral; les cristaux, sa seule parure, sont rares, accidentels, toujours eufouis loin du jour, dans des cavités souterraines.

Les cas d'isomorphisme sont bien plus nombreux. Les carbonates de chaux, de magnésie, de zinc, de fer, de manganèse, qui ont le même type de composition, ont pour forme primitive un rhomboèdre obtus. Ceux de chaux, de baryte, de strontiane, de plomb, analogues aux précédents cristallisent dans le système prismatique droit rhomboïdał. Le carbonate de chaux par son di- | minéral, par un contraste frappant avec

Ce qui nous enseigne que le règne

les deux autres, a été formé dans le trouble et la confusion; ce qui explique le caractère peu expressif de ce règne, et pourquoi l'homme est si peu porté à l'étudier. Cependant ces formes, ces structures ne sont pas dépourvues d'intérêt; or, si elles ne disent rien de la substance minérale qu'elles recèlent, elles racontent fort exactement les cir

constances qui leur ont donné naissance, et dont elles portent la visible empreinte. Or, leur témoignage importe à l'histoire de la terre, comme il sera expliqué dans la prochaine leçon où nous aborderons enfin l'étude des roches.

H. MARGERIN.

Sciences historiques.

COURS D'HISTOIRE GÉNÉRALE DE L'ANTIQUITÉ.

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Que chez tous les peuples de la terre l'histoire commence par la cosmogonie, et qu'à cette haute antiquité elle se confonde nécessairement avec la théolo- | gie, c'est une vérité que nous espérons avoir établie dans nos précédentes études. En effet, quand nous avons successivement interrogé les diverses nations sur leur origine et sur celle de l'humanité, tous leurs souvenirs se sont rencontrés pour nous répondre qu'au commencement, et avant toutes choses, i existait un Ètre tout-puissant, un Être par excellence, un Dieu enfin; que ce Dieu avait fait le monde, le monde visible et le monde invisible, et qu'il avait en particulier créé le genre humain; qu'enfin, à ce dernier titre surtout et sous l'admirable attribut de Créateur et de Père, il était l'objet du

Voir la 111 leçon au no 66, t, XI, p. 408.

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culte le plus intime et de la plus humble adoration. In principio DEUS!

L'idée de Dieu se place donc au début de toute histoire; elle plane sur le berceau de l'humanité.

Mais, nous en avons fait la remarque, cette idée ne s'offre pas comme une vague et mystérieuse image, comme une simple invocation ou un pieux protocole. Elle est féconde et lumineuse; elle éclaire les ténèbres du passé et elle perce les voiles de l'avenir. Dieu se montre avec son activité toute-puissante, avec la magnificence de ses œuvres, avec la plénitude de sa fécondité. Ce n'est plus seulement la naissance de l'homme à laquelle il préside; c'est la formation même de l'univers entier qu'il découvre, c'est la cosmogonie qu'il révèle. Or, nous employons à dessein ce mot de révélation; car il y a plus ici que les traditions humaines. Il y a le récit de faits antérieurs à l'apparition de l'homme sur le globe; il y a le récit de la création du ciel, des eaux, des astres qui roulent dans l'espace, des animaux qui peuplent la terre; il y a le récit du chaos. Et qui done aurait pu donner aux enfants de l'homme le souvenir de ces merveilles qui ont précédé sa venue? Qui donc aurait pu lui redire le secret de ces grandes manifestations que Dieu, dans son éternelle solitude, se plaisait à produire? Alors

que le temps n'avait pas commencé | dans la création du monde. Arche sainte pour l'homme, qui donc aurait pu l'en- de la vérité cosmogonique, la Bible se tretenir des mystères opérés dans le présente à la fois et comme le modèle sein de l'Éternité? Dieu, Dieu seul, le de toute histoire primitive et comme le grand et souverain architecte, pouvait type original destiné à faire ressortir les raconter son œuvre. défauts et les vices des copies altérées que les souvenirs incertains des peuples infidèles devaient placer auprès d'elle; comme la pierre de touche qui discerne le métal précieux et qui l'isole de tout alliage impur.

Et quand en penchant l'oreille vers les tombes séculaires des ancêtres de l'humanité, nõus recueillons les échos affaiblis de leurs voix lointaines, quand nous les entendons élever le concert unanime de leurs témoignages sur ces événements primordiaux, dont ils n'ont pu avoir par eux-mêmes aucune connaissance, nous adorons la bonté souveraine de Celui qui a daigné révéler lui-même les miracles de sa droite!

Ah! sans doute, cette révélation primitive et nécessaire des faits de la création, livrée à l'esprit inconstant et oublieux de l'homme tombé, a dû s'altérer et se perdre; sans doute la mémoire des ancêtres du genre humain a été troublée par de coupables erreurs, égarée par de tristes folies; sans doute les fils d'Adam n'ont pas su conserver intact le dépôt précieux qui leur avait été confié : ils l'ont dénaturé, ils l'ont enveloppé de ténèbres et de mensonges. Et lorsqu'ensuite ils ont essayé de rassembler les lambeaux dispersés de la tradition, ils ont amoncelé dans leurs récits les débris de la vérité avec les inventions de la fable. Les fictions ont été confondues avec la croyance primitive, et il en est résulté un vaste chaos où se débattent pêle-mêle les plus indéchiffrables énigmes et les plus répugnantes contradictions.

Le mot de cosmogonie emporte donc nécessairement l'idée de révélation, et à ce titre elle s'allie au dogme, elle fait la base de la théologie. Il n'y a là, du reste, rien que de très-naturel. Toute révélation, étant une communication de Dieu à l'homme, tient essentiellement à l'ordre religieux, et se place au premier rang des croyances: c'est la parole divine; elle a un droit supérieur au respect, à l'adoration, à la foi de tous. Mais ici elle a de plus un caractère spécial qui en fait la base et le fondement de toute la théologie. En effet, elle a pour objet de raconter les premiers liens qui unissent l'homme à son créateur, et d'établir par conséquent les conditions de ces rapports, c'est-à-dire les lois essentielles de notre destinée, puisque connaître le principe d'un être, c'est connaître sa fin; elle est le point de départ de notre subordination; elle est en même temps le principe de toute religion et de tout culte, puisqu'elle nous révèle et la bonté et la puissance de Dieu, et qu'elle nous le montre vis-à-vis de nous, sous cet attribut de paternité qui réclame nos plus ferventes actions de grâces et notre perpétuelle dévotion.

Heureusement pour nous et pour l'honneur de l'humanité, Dieu, qui jamais n'abandonna sa créature de préNous avions donc raison de dire, sur dilection, Dieu ne permit pas que la cette question des origines, que par la vérité fùt pour toujours bannie de la cosmogonie l'histoire se confond avec terre. En face des récits incohérents la théologie. En fait, d'ailleurs, depuis des nations et vers cette époque même les temps les plus reculés jusqu'à nous, où, selon toutes les probabilités, les il en a été ainsi, et, nous pouvons le livres sacrés des nations étaient réunis dire, il en sera de même jusqu'à la fin et composés sous la dictée de l'esprit des siècles. Livres ou traditions, récits de mensonge, il consentit à faire repo- écrits ou relations orales, fables ou véser l'inspiration céleste de l'esprit de rités, tout ce qui a trait à la création, vie sur son serviteur Moïse, et les pages a toujours et partout été placé sous l'éradieuses de la Genèse reçurent et gar-gide de la religion et à l'ombre du sancdèrent pour l'Éternité la révélation au thentique des actes de la Providence

tuaire : l'enseignement en a été réservé aux prêtres, et ils l'ont toujours pré

senté non comme le résultat des recherches et des découvertes de leur science, mais de la communication directe et immédiate de la Divinité. Depuis les hymnes que chante la magnifique poésie de l'Inde, depuis les sentencieux aphorismes de la Chine, depuis les mystérieuses déclarations de l'Égypte, depuis les oracles de la Perse, depuis les rêveries du Koran, jusqu'aux vagues souvenirs du sauvage américain, jusqu'aux grossiers aveux de l'insulaire australien, tout est répété sous la sauvegarde de la révélation divine: Brahma ou le Tao, Hermès-Trismégiste ou Heômo, l'ange Gabriel au nom d'Allah, le grand esprit ou Alioulap, qu'importe! c'est toujours Dieu lui-même que l'on met en avant, c'est Dieu qui raconte et qui dicte, Commentaire fabuleux, mais témoignage magnifique et solennel de la vérité que nous sommes heureux d'adorer dans la parole de Jéhovah transcrite par le prophète et le sauveur des Hébreux.

Il était réservé aux orgueilleuses prétentions des sages du dernier siècle de contester à Dieu le privilége de raconter ses œuvres. Ameutant l'univers contre son Créateur, ils accusaient nos livres saints d'ignorance et de mensonge; ils demandaient à la terre de porter du fond de ses entrailles un redoutable démenti à l'écrivain de la Genèse; ils voulaient refaire le récit de la création et ils s'inscrivaient en faux contre Dieu lui-même, pour pouvoir le chasser ensuite plus à leur aise du monde régénéré. Leurs cendres n'ont pas encore eu le temps de refroidir, et leurs tentatives ont été couvertes de confusion, et elles ne sont plus signalées que comme une preuve de folie et d'impuissance. Une science à la fois plus pure et plus profonde se plaît à rendre hommage à nos saints livres et à les considérer comme la source infaillible de toute vérité. Éternellement donc, ils resteront ces livres augustes et vénérés à la tête de notre histoire comme à la tête de notre religion, pour en former les fondements inébranlables et pour nous montrer en même temps, par un précieux enseignement, qu'à leur origine toutes les connais

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sances parlent de Dieu, que toutes elles émanent de la révélation primitive, et que par conséquent elles ne doivent ja mais s'écarter du centre lumineux dont elles sont les rayons, et qui seul tes éclaire, les conserve et les vivifie!

De cette union intime de la théologie et de l'histoire nous avons été conduits par la force même des choses à étudier de plus près l'idée de Dieu telle que les traditions nous la présentaient. A côté de la croyance à un Être premier et créateur, à un Dieu unique, croyance dont nous avons constaté l'universalité sur toute la surface du globe, nous avons observé un fait merveilleux, inexplicable sans le secours de la foi, supérieur à la raison et aux inventions humaines, et dont l'universalité nous a frappé d'étonnement. Nous avons reconnu que la Divinité se présente à la fois sous la forme de l'unité et de la triplicité ; et qu'une TRIADE est partout la seule représentation complète du Dieu unique. A l'appui de cette opinion nous avons produit les témoignages, des peuples des iles Carolines et des fles Tonga en Océanie; du Paraguay, des Muiscas, du Mexique, du Pérou, en Amérique; de Ténériffe et de Carthage en Afrique; des Tartares nomades de l'Asie, en Sibérie et au Tibet, et enfin des nations de race skandinave, celtique, irlandaise, étrusque et italiote en Europe. Arrivés ainsi à la première partie de notre tâche, nous nous sommes hâtés de proclamer que si nous pouvions espérer de prouver que l'idée de la Trinité n'avait pas été absolument inconnue aux anciens, nous étions bien loin de prétendre que l'adorable et inaccessible mystère de la Très-Sainte-Trinité, tel que nous l'enseigne l'Église catholique apostolique romaine, ait été connu dans son essence par l'antiquité païenne.

Il nous reste maintenant à parcourir les annales religieuses des Grecs, des Chaldéens, des Égyptiens, des Indiens et des Chinois. Cette exploration nous a coûté de pénibles labeurs. Nous essaierons d'être aussi brefs et aussi clairs que possible. Par malheur, la doctrine ésotérique des peuples anciens est pleine d'obscurités profondes et de mystères

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