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comme des végétaux. Mais l'homme, qui s'est soumis tant de milliers d'individus, peut-il, demande Buffon, se glorifier d'avoir conquis une seule es

espèce qui n'a point de pays natal, elle croît avec un égal succès dans les climats chauds et dans les climats froids. Dès le temps d'Abraham, la Genèse fait mention du pain; et sous Jacob, petit-pèce entière? Comme toutes ont été fils d'Abraham, la récolte de froment vint à manquer dans la terre de Chanaan et la famine força les fils de Jacob à descendre en Égypte, où leur frère Joseph, prévoyant la disette, avait fait ramasser le grain dans les greniers publics. C'est là l'histoire la plus ancienne qui fasse mention du froment, mais en le supposant connu depuis l'origine du monde; Moïse en effet qui indique avec tant de soin les inventeurs de la musique, de la métallurgie, de la construction des villes, qui dit même que Dieu donna le premier des vêtements de peau à l'homme, ne parle nulle part de l'invention du froment; il le suppose toujours connu.

En outre, nulle part le froment n'a été trouvé à l'état sauvage; si des espèces voisines y ont été trouvées, cela ne prouve rien pour celle qui est cultivée partout. Cette dernière espèce ne se perpétuerait pas sans culture dans un grand nombre de pays, où le climat la tuerait.

D'après tous ces faits peut-il y avoir raisonnement plus hasardé que celui des partisans de la sauvagerie? Le froment, disent-ils, ne croit plus que par la culture, on le rencontre chez tous les peuples même les plus anciens; donc, disent-ils, il y a très-longtemps qu'il était à l'état sauvage dans un pays qu'on ne connaît plus. La logique et la raison yeulent au contraire que l'on conclue que jamais cette plante n'a été à l'état sauvage.

Les mêmes raisons s'appliquent à plusieurs autres plantes; ce qui n'empêche pas que l'homme ait su, dans ses diverses émigrations, améliorer les végétaux des pays où il s'est fixé. Cela devait être, c'est une suite de sa nature et de son empire sur la création, mais cela ne prouve pas qu'il a tout pris à l'état sauvage, car lui-même aurait aussi commencé par cet état, système dont nous avons largement prouvé l'impossibilité.

Il en est des animaux domestiques

créées sans sa participation, ne peut-on pas croire que toutes ont eu ordre de croître et de multiplier sans son secours? Buffon ne nous semble pas ici envisager la question dans ses vraies bases, ni dans ses principes. Sans doute, les espèces animales peuvent, pour la plupart, se multiplier sans le secours de l'homme; mais se multiplient-elles aussi facilement et en aussi grand nombre? et quand cela serait, n'ont-elles pas passé de l'état domestique à l'état sauvage? Rien ne peut prouver le contraire, et le texte de l'Ecriture semble indiquer que les choses se sont ainsi passées, puisque tous les animaux ont été soumis à l'homme, qu'il a été créé pour leur commander, et qu'à l'origine il leur a donné des noms à tous. D'autre part, l'ordre dans lequel les animaux se trouvent dans les couches géologiques, ne prouverait-il pas que les animaux domestiques l'ont toujours été? Nous reviendrons plus tard sur ce simple doute. Quoi qu'il en soit, si l'on fait attention, dit Buffon, à la faiblesse et à la stupidité de la brebis; si l'on considère en même temps que cet animal sans défense ne peut même trouver son salut dans la fuite; qu'il a pour ennemis tous les animaux carnassiers, qui semblent le rechercher de préférence et le dévorer par goût; que, d'ailleurs, cette espèce produit peu, que chaque individu ne vit que peu de temps, etc., on serait tenté d'imaginer que dès les commencements, la brebis a été confiée à la garde de l'homme, qu'elle a eu besoin de sa protection pour subsister, et de ses soins pour se multiplier, puisqu'en effet on ne trouve point de brebis sauvages dans les déserts; que dans tous les lieux où l'homme ne commande pas, le lion, le tigre, le loup règnent par la force et par la cruauté; que ces animaux de sang et de carnage vivent plus longtemps et multiplient tous beaucoup plus que la brebis; et qu'enfin, si l'on abandonnait encore aujourd'hui dans nos campagnes les troupeaux nombreux

de cette espèce que nous avons tant multipliée, ils seraient bientôt détruits sous nos yeux, et l'espèce entière anéantie par le nombre et la voracité des espèces ennemies.

tre que dans les pays habités par les hommes, et même pas toujours; ainsi l'Amérique méridionale et la NouvelleHollande, avant leur découverte par les Européens, n'avaient aucune espèce de ce genre; on doit en dire autant du cheval, qui a été introduit par les Espagnols en Amérique, où il est devenu sauvage. Quelque loin que l'on remonte dans l'histoire des peuples, le bœuf et le cheval sont sous la domination de l'homme; c'est d'ailleurs dans l'état de domesticité que le cheval acquiert les plus belles formes. Il est né pour la do

chevaux sauvages se laissent dompter et s'attachent à l'homme en sont des preuves convaincantes. Puisque pour aucun de ces animaux nous ne connaissons l'époque à laquelle ils sont devenus domestiques, et qu'au contraire nous savons pour un grand nombre quand ils sont devenus sauvages; que d'ailleurs ils ne se trouvent même sau

Il paraît donc que ce n'est que par notre secours et par nos soins que cette espèce a duré, dure et pourra durer encore il paraît qu'elle ne subsisterait pas par elle-même. La brebis est absolument sans ressources et sans défense; le bélier n'a que de faibles armes, son courage n'est qu'une pétulance inutile pour lui-même, incommode pour les autres, et qu'on détruit par la castra-mesticité : la facilité avec laquelle les tion. Les moutons sont encore plus timides que les brebis: c'est par crainte qu'ils se rassemblent si souvent en troupeaux, le moindre bruit extraordinaire suffit pour qu'ils se précipitent et se serrent les uns contre les autres, et cette crainte est accompagnée de la plus grande stupidité; car ils ne savent pas fuir le danger, ils semblent même ne pas sentir l'incommodité de leur si-vages que dans les pays habités par tuation; ils restent où ils se trouvent, à la pluie, à la neige, ils y demeurent opiniâtrément, et pour les obliger à changer de lieu et à prendre une route, il leur faut un chef, qu'on instruit à marcher le premier, et dont ils suivent tous les mouvements pas à pas ce chef demeurerait lui-même avec le reste du troupeau, sans mouvement, dans la même place, s'il n'était chassé par le berger ou excité par le chien commis à leur garde'.>

Cet animal si faible et sichétif paraît donc avoir toujours eu besoin du secours de l'homme pour se perpétuer sur la terre; aussi dès l'origine du monde, l'histoire la plus ancienne nous montre-t-elle les premiers hommes occupés du soin des troupeaux; Abel fuit pastor ovium. L'histoire de tous les peuples anciens en fait à l'origine des bergers nomades ou des cultivateurs. Tout donc s'accorde à prouver que la brebis a toujours été domestique. La plupart des espèces du genre bœuf sont soumises à la domesticité de temps immémorial, et bien qu'il y ait un grand nombre de variétés sauvages, on ne les rencon

1 Hist, natur. de la Brebit,

l'homme, il semble qu'il y a les plus fortes raisons d'admettre qu'ils sont passés de l'état domestique à l'état sauvage; et que par conséquent ils ont été créés domestiques. Buffon regarde l'espèce de notre chien domestique comme de la plus grande nécessité pour l'homme social. « On sentira, dit-il, de quelle importance cette espèce est dans l'ordre de la nature, en supposant un instant qu'elle n'eût jamais existé. Comment l'homme aurait-il pu, sans le secours du chien, conquérir, dompter, réduire en esclavage les autres animaux? Comment pourrait-il encore aujourd'hui découvrir, chasser, détruire les bêtes sauvages et nuisibles? Pour se mettre en sûreté, et pour se rendre maître de l'univers vivant, il a fallu commencer par se faire un parti parmi les animaux, se concilier avec douceur et par caresses ceux qui se sont trouvés capables de s'attacher et d'obéir, afin de les opposer aux autres. Le premier art de l'homme a donc été l'éducation du chien, et le fruit de cet art, la conquête et la possession paisible de la terre'. »

Buffon, His!. natur. du Chion.

En parlant ainsi Buffon avait-il bien compris l'homme et le but de la création? n'est-il pas plus raisonnable, en effet, d'admettre que le chien a été créé pour l'homme puisqu'il lui est nécessaire, et qu'il est par conséquent domestique de création, plutôt que de supposer que l'homme en a fait la conquête ? On suppose toujours à faux que l'homme a été créé sauvage, c'est-àdire dégradé; c'est au fond la même thèse que celle qui suppose que la matière s'est organisée d'elle-même par les lois de la nature. Le chien a été de tout temps domestique, il habite partout où habite l'homme; nulle part on ne l'a trouvé primitivement à l'état sauvage. Les chiens sauvages d'Amérique | sont de races anciennement domestiques; ils y ont été transportés d'Europe, et quelques-uns oubliés ou abandonnés dans ces déserts, s'y sont multipliés au point qu'ils se répandent par troupes dans les contrées habitées, où ils attaquent le bétail et insultent

même les hommes; mais lorsqu'on les approche avec douceur, ils s'adoucissent, [deviennent bientôt familiers et demeurent fidèlement attachés à leurs maîtres.

De tous ces faits, que nous pourrions développer, ne doit-on pas conclure que puisque Dieu avait pour dernier but et pour terme la création de l'homme social, il devait lui préparer tout ce qui est nécessaire à l'existence d'une société, et par conséquent créer des végétaux et des animaux domestiques, tout en laissant à l'homme le soin de se soumettre les autres par la puissance de son intelligence?

Ainsi donc semblent se résoudre, par le simple bon sens, toutes ces hautes questions tant agitées par l'esprit. de système sans principes et sans loi autre qu'un vain labeur et des hypothèses plus ou moins creuses et insoutenables.

L'abbé F. L. M. MAUPIED,
Docteur ès-sciences.

Sciences Physiologiques, Physiques et Mathématiques.

COURS SUR LA GÉOLOGIE.

CINQUIÈME LEÇON '.

Des Roches.

Omnis terra adoret te, et psallat tibi!
(Ps. 65.)

Nous avons ensuite exposé la situation de la terre, sa figure, son double mouvement, les influences auxquelles elle est soumise, les éléments dont elle est composée; ce qui nous a permis de toucher quelques points importants de la Nous avons établi dans notre Intro- physique générale, et d'introduire pluduction que la science de la terre resieurs considérations, tirées de la phipose tout entière sur un théorème gé-losophie naturelle, qui nous ont paru néral et un problème final, donnés par la double relation qui existe entre la terre et l'homme, liés entre eux par un lemme qui renferme à la fois la démonstration de l'un et la résolution de l'autre, lemme qui consiste dans la connaissance du fait terrestre actuel, c'està-dire dans la physique de la terre.

Voir la rye leçon au no 85 ci-dessus, p. 7.

propres à éclairer notre sujet. Il s'agit maintenant d'aborder directement la construction de ce lemme capital, qui consiste dans la physique de la terre. Or, ce lemme se résout immédiatement dans les trois questions suivantes :

1° Quelle est la structure de l'écorce du globe; quels sont les matériaux qui entrent dans sa composition; comment sont-ils disposés et liés entre eux ?

2o Par quelles causes et dans quelles | argiles, les limons, sont des roches circonstances physiques ces matériaux ont-ils été formés?

3° Cette formation a-t-elle été simultanée ou successive; quels sont les différents termes ou époques de cette succession?

La portion du globe terrestre accessible à nos recherches, depuis la cime la plus haute où l'homme ait pu s'élever, jusqu'à la plus grande profondeur où il ait pu pénétrer, n'atteint pas la millième partie du rayon terrestre. C'est à cette mince écorce que se borne aujourd'hui le domaine de ce roi de la création, domaine qu'il ignore encore, dont il commence à peine à prendre possession, et dont la culture et la garde excéderont longtemps ses forces et ses prévisions. Et comme les trois quarts de la surface, constamment recouverts par les eaux, sont soustraits à ses regards et à son action, on voit à quoi se réduit le champ d'observation qui lui est offert pour connaître la terre qu'il habite; et c'est vraiment merveille qu'il ait pu, tant bien que mal, bâtir une science avec cela.

On sait généralement que les éléments qui entrent dans la composition de l'écorce du globe sont nombreux et variés. C'est de l'écorce du globe qu'on extrait les matériaux qui servent à la construction et à la décoration des édifices; les minerais dont on tire les métaux; les combustibles qui alimentent l'industrie; les matières qui amendent les terres; des argiles pour les poteries; les sels qu'on épure, qu'on transforme, et avec lesquels on prépare les acides et les alcalís; des matières colorantes et des mordants pour la teinture; et jusqu'à des joyaux pour la parure, et des médicaments pour la médecine. Toutefois, ces éléments, à ne tenir compte que des plus importants, peuvent être réduits à un petit nombre.

On appelle roches les masses minérales qui entrent dans la composition de l'écorce du globe, quelles que soient d'ailleurs leur texture et leur cohésion. Dans l'acception vulgaire, on attache toujours à ce mot une idée de résistance et de dureté; les géologues n'ont pas admis cette restriction: les sables, les

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aussi bien que les granits et les porphyres. Toutefois, une masse minérale doit occuper une certainé étendue pour être considérée comme un membre dé l'écorce du globe, et mériter le nom de roche. Il ne faut donc pas comprendre dans cette dénomination les petites masses dont on pourrait faire abstraction, sans altérer sensiblement la composition de cette écorce; tels sont les minéraux disséminés accidentellement ou irrégulièrement dans les roches proprement dites.

Les roches sont formées par l'agrégation de certains minéraux tels sont les granits, les gneiss, les porphyres. Mais il en est aussi qui ne contiennent qu'un seul minéral, comme le quarzite, l'amphibolite, la craie, etc.; de là là distinction des roches en homogènes et hétérogènes.

Les roches peuvent aussi renfermer des fossiles. Ce sont les débris d'anciennes races qui ont autrefois vécu sur la terre, enfouis dans son sein depuis une longue suite de siècles, plus ou moins altérés, cependant reconnaissables, que le règne minéral s'est assimilé graduellement en expulsant la matière organique et la remplaçant par ses propres éléments. L'étude de ces débris est de la plus haute importance pour l'histoire de la terre; elle a produit de nos jours une science toute nouvelle, entièrement inconnue des anciens, et même des modernes jusqu'à Sténon, qui en a eu la première idée, et dont Cuvier a posé les fondements au commencement de ce siècle, sous le nom de paléontologie.

De même que, parmi les substances chimiquement simples, neuf seulement jouent un rôle important dans l'économie de la terre, parmi les nombreuses espèces minérales, un petit nombre suffit à la composition des roches. Ce sont principalement le calcaire, le quartz, le feldspath, le mica, l'amphibole et le pyroxène, le talc et la ser pentine, et le fer oxidulé. Ainsi, dans l'écorce du globe, il y aurait moins de minéraux importants que d'éléments chimiques constituants ce qui rend plus suspecte encore la simplicité de

Mais il ne suffit pas de considérer dans une roche sa composition mínérale. Sa forme, sa structure, så texture, sont autrement importantes.

ceux-ci. La nature ne procède point | rent pour attester la manière dont les ainsi. Avec l'eau, le carbone et l'azote, choses se sont passées. Dans tous les combien de substances organiques, et cas, la forme totale, la disposition géquelle innombrable variété de corps nérale de la masse minérale, quelle que organisés ! soit la forme élémentaire propre ou impropre, quelle que soit la structure ou la texture, sont toujours des accidents qui dépendent uniquement de la matrice ou du moule qui circonscrit le Nous avons vu précédemment com- milieu où s'est opérée la corporisation. ment la forme et la structure d'un mi- Or, les choses ont été formées dans le néral dépendent de la substance et du trouble et la confusion, ou du moins milieu environnant. Dans un milieu dans des circonstances qui n'ont pas calme et tranquille, la substance, en permis à la nature minérale de revêtir vertu des forces plastiques inhérentes les formes qui lui sont propres. Il est, aux molécules, se corporise, prend une en effet, digne de remarque que la crisforme primitive d'où dépend sa struc- tallisation, qui est l'expression réguture et l'ensemble de ses propriétés lière et complète de cette nature, est physiques, s'étend entre certaines li- un fait relativement rare et isolé sur la mites prescrites par le milieu, et pose terre, et qui ne peut se produire sur dans l'espace cet édifice limpide et ré- une certaine étendue, telle que celle gulier qu'on appelle cristal. Si le milieu qui appartient aux roches, sans perdre est troublé par un événement quelcon- son caractère géométrique et précis, que, l'action des forces physiques est sans tomber dans l'irrégularité et la elle-même troublée; sa cristallisation confusion. On dirait que le règne minéest confuse; sa structure propre s'efface ral a été arrêté, comprimé dans son déet disparaît pour faire place à une tex-veloppement; partout il porte les marture indéterminée; le cristal est rudi- ques des causes extérieures qui l'ont mentaire, indécis, inachevé : c'est une contenu et façonné. Si donc une roche forme contestée, disputée, qui n'a pu a été déposée lentement au fond des s'établir pleinement, avec toutes ses mers; si elle a coulé en fusion à la surconséquences; c'est une sorte d'avorte- face de la terre, avant de s'y consolider ment. Si le milieu est violemment agité, par le refroidissement; si elle est forou si les circonstances physiques qui le mée de débris de roches antérieures, constituent viennent à changer tout à roulés et charriés par les eaux ; si, poscoup, ou si la substance est produite térieurement à sa formation, elle a été brusquement par une réaction chimi- altérée ou transformée, c'est ce qui doit que instantanée, alors l'action des forces être exprimé par la forme, la structure, plastiqués n'est plus seulement trou- la texture. Les fossiles indiquent l'époblée; elle est surmontée, réprimée; il que de la formation. Il est donc trèsn'y a plus aucune trace de cristallisa- important de connaître la signification tion; la substance ne se manifeste pas de ces différents caractères. corporellement; elle demeure cachée en son centre, à l'état moléculaire, sans recevoir l'extension due à son type, comme un germe non fécondé; mais, contrainte de se corporiser à mesure que son menstrue l'abandonne, elle reçoit de l'extérieur la condition physique qui lui est imposée, sans que sa nature propre y soit aucunement représentée; sa texture, sa forme, sont exclusivement commandées par les causes répressives et perturbatrices; elles en portent la visible empreinte, et demeu

A ce point de vue, les roches peuvent être regardées comme autant de monuments en ruines sur lesquels on peut lire le nombre et le nom des agents qui les ont successivement élevés, transformés, renversés, dispersés; les combats gigantesques de ces agents, les règnes, les révolutions qui se sont succédé; enfin, les dates de toutes ces vicissitudes. C'est une sorte d'hieroglyphique naturelle où sont inscrits confusément tous les grands événements dont la terre a été le théâtre; il ne s'agit que

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