Revue des deux mondes, Band 3Au bureau de la Revue des deux mondes., 1876 |
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... sur le trône , ren- dit à Jeanne , fille de Louis X , la Navarre que Philippe le Long et Charles le Bel avaient jointe à leurs états . Le mariage de Jeanne avec Philippe , fils de Louis , comte d'Évreux , 22 REVUE DES DEUX MONDES .
... sur le trône , ren- dit à Jeanne , fille de Louis X , la Navarre que Philippe le Long et Charles le Bel avaient jointe à leurs états . Le mariage de Jeanne avec Philippe , fils de Louis , comte d'Évreux , 22 REVUE DES DEUX MONDES .
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... fille de Philippe le Bel , il n'osa pas , sitôt après son débarquement dans le Ponthieu , enga- ger une bataille où il aurait bien pu avoir le dessous . Il ménagea ses troupes , il attendit que ses hommes fussent plus aguerris . En ...
... fille de Philippe le Bel , il n'osa pas , sitôt après son débarquement dans le Ponthieu , enga- ger une bataille où il aurait bien pu avoir le dessous . Il ménagea ses troupes , il attendit que ses hommes fussent plus aguerris . En ...
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... fille Comme beaucoup d'hommes marqués pour la gloire et comme beaucoup d'autres destinés à la médiocrité , Thomas Babington Ma- caulay fut un enfant fort remarquable par sa précocité . On le voit à trois ans couché devant un livre , une ...
... fille Comme beaucoup d'hommes marqués pour la gloire et comme beaucoup d'autres destinés à la médiocrité , Thomas Babington Ma- caulay fut un enfant fort remarquable par sa précocité . On le voit à trois ans couché devant un livre , une ...
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... fille de Louis de Hongrie , et reçut en échange , des mains de la princesse Hedvige , la blanche robe du baptême . Par la conversion des Jagellons , le rite latin s'étendit jusqu'à Kief et aux pays situés sur le Dniéper . Cette nou ...
... fille de Louis de Hongrie , et reçut en échange , des mains de la princesse Hedvige , la blanche robe du baptême . Par la conversion des Jagellons , le rite latin s'étendit jusqu'à Kief et aux pays situés sur le Dniéper . Cette nou ...
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... fille de Catherine d'Aragon , la reine Marie Tudor , qui allait recevoir des mains du capitaine du Bonaventure la lettre adressée par Ivan Vasilévitch au fils de Jeanne Seymour . En 1552 , le parlement avait paru comprendre la nécessité ...
... fille de Catherine d'Aragon , la reine Marie Tudor , qui allait recevoir des mains du capitaine du Bonaventure la lettre adressée par Ivan Vasilévitch au fils de Jeanne Seymour . En 1552 , le parlement avait paru comprendre la nécessité ...
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Seite 382 - ajoutait aussi, il est vrai : « Nous n'allons pas en Italie fomenter le désordre ni ébranler le pouvoir du saintpère , que nous avons replacé sur son trône, mais le soustraire à cette pression étrangère qui s'appesantit sur toute la péninsule...» Peu après, à Milan, au lendemain de Magenta, qui livrait la
Seite 892 - Palmerston d'égal à égal : « Lord Palmerston me connaît, et, quand j'affirme une chose, il me croira. Eh bien ! vous pouvez lui dire de ma part, de la manière la plus formelle, que depuis la paix de Villafranca je n'ai eu qu'une pensée, qu'un but : c'était d'inaugurer une nouvelle ère de paix et de vivre en bonne
Seite 426 - du Lundi, où il révélait au public sous ce nom ignoré « un de ces esprits délicats nés sublimes, nés du moins pour tout concevoir, et à qui la force seule et la patience ont manqué. » Plus d'une aimable indiscrétion de M. SaintMarc Girardin, de M. de Sacy,
Seite 382 - qui vous a déjà si noblement montré la voie de l'honneur,... et, animés du feu sacré de la patrie, ne soyez aujourd'hui que soldats ; demain vous serez citoyens libres d'un grand pays...
Seite 334 - II faut pourtant remarquer que je parle de la pensée, non de la vie ou du sentiment, car je n'ôte la vie à aucun animal, ne la faisant consister que dans la seule chaleur du cœur. Je ne leur refuse pas même le sentiment, autant qu'il dépend des organes du corps. Ainsi, mon opinion n'est pas si cruelle aux animaux qu'elle est favorable, aux hommes.
Seite 437 - Il n'ya de véritable originalité en tout que sous les dernières couches de l'érudition. Quand on ne sait rien, on se croit trop facilement des idées neuves. Ce serait une sage résolution de ne rien penser par soimême jusqu'à ce qu'on sût bien ce que tous les siècles ont pensé
Seite 450 - intérieure toute seule ravage et abat tout ensemble. On a besoin des distractions qu'on méprise; elles font revenir avec plus de force et de plaisir dans la solitude... J'aime mieux qu'il reste à M. de Broglie le tracas du monde et qu'il s'en plaigne, et qu'il en souffre, que s'il venait
Seite 896 - février 1863) pour lui dicter des sortes de conditions : « Quant au gouvernement russe, je considère ces insurrections comme une juste punition du ciel pour les menées dont ce gouvernement a été coupable, en préparant pour le printemps des révoltes et des insurrections dans la MoldoValachie, en Serbie
Seite 387 - avec une complète liberté d'esprit, sans se perdre en récriminations et en regrets inutiles, cherchant à tout comprendre avec la flexibilité d'une raison supérieure. « II ne faut pas regarder en arrière, disaitil, maintenant regardons en avant. Nous avons suivi une voie, elle est coupée : eh bien ! nous en suivrons
Seite 344 - ces besoins, diverses sortes d'habitudes qui se transforment en eux en autant de penchans auxquels ils ne peuvent résister et qu'ils ne peuvent changer euxmêmes. De là l'origine de leurs actions habituelles et de leurs inclinations particulières auxquelles on a donné le nom