Mélanges philosophiques et religieuxLadrange, 1846 - 608 Seiten |
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... Socrate , au moyen - âge et de nos jours même , en essais utiles , quoique non définitifs , pour pour fonder la science de la pensée . En effet , dans les écoles d'Ionie , d'Italie et d'Élée , comme à l'époque qui pré- céda le ...
... Socrate , au moyen - âge et de nos jours même , en essais utiles , quoique non définitifs , pour pour fonder la science de la pensée . En effet , dans les écoles d'Ionie , d'Italie et d'Élée , comme à l'époque qui pré- céda le ...
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... Socrate et Platon eux - mêmes arrachent la pensée aux sophistes d'Élée , par lesquels finissaient les tentations antérieures de philosopher . Mais pourquoi ces morts et ces renaissances ? com- ment l'esprit humain ne se tient - il pas ...
... Socrate et Platon eux - mêmes arrachent la pensée aux sophistes d'Élée , par lesquels finissaient les tentations antérieures de philosopher . Mais pourquoi ces morts et ces renaissances ? com- ment l'esprit humain ne se tient - il pas ...
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... Socrate et Platon ; elles ne sont qu'une préparation nécessaire . On n'y songe pas à connaître les idées qui constituent la pensée , afin d'ar- ( 4 ) Liv . I , ch . CLXX . river , par cette connaissance , à celle de leurs PHILOSOPHIQUES ...
... Socrate et Platon ; elles ne sont qu'une préparation nécessaire . On n'y songe pas à connaître les idées qui constituent la pensée , afin d'ar- ( 4 ) Liv . I , ch . CLXX . river , par cette connaissance , à celle de leurs PHILOSOPHIQUES ...
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... Socrate et Platon appliquèrent ensuite si heureusement . ( 4 ) Banquet des sept Sages . -- PYTHAGORE . Avant que la philosophie fût créée par Socrate PHILOSOPHIQUES ET RELIGIEUX . 23.
... Socrate et Platon appliquèrent ensuite si heureusement . ( 4 ) Banquet des sept Sages . -- PYTHAGORE . Avant que la philosophie fût créée par Socrate PHILOSOPHIQUES ET RELIGIEUX . 23.
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... Socrate et Platon , deux siècles de travaux avaient fourni l'indis- pensable préparation et produit ce qu'on appela d'abord l'école d'Ionie et l'école d'Italie , qui portèrent ensuite le nom commun d'école d'Élée . On ne s'y occupait ...
... Socrate et Platon , deux siècles de travaux avaient fourni l'indis- pensable préparation et produit ce qu'on appela d'abord l'école d'Ionie et l'école d'Italie , qui portèrent ensuite le nom commun d'école d'Élée . On ne s'y occupait ...
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Seite 583 - Ce chien est à moi, disaient ces pauvres enfants; c'est là ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Seite 595 - C'est contre cette autorité que les libertins se révoltent avec un air de mépris. Mais qu'ont-ils vu ces rares génies, qu'ont-ils vu plus que les autres? Quelle ignorance est la leur ! et qu'il serait aisé de les confondre, si, faibles et présomptueux, ils ne craignaient d'être instruits ! Car pensent-ils avoir mieux vu les difficultés à cause qu'ils y succombent, et que les autres, qui les ont vues, les ont méprisées ? Ils n'ont rien vu ; ils n'enteiident rien ; ils n'ont pas même de...
Seite 604 - Je ne puis pardonner à Descartes ; il aurait bien voulu, dans toute sa philosophie, pouvoir se passer de Dieu, mais il n'a pu s'empêcher de lui faire donner une chiquenaude, pour mettre le monde en mouvement : après cela, il n'a plus que faire de Dieu.
Seite 526 - ... qu'il serait un homme perdu si l'on pouvait se douter qu'il ne mourût pas de faim. Tout ce qu'il me dit à ce sujet , et dont je n'avais pas la moindre idée, me fit une impression qui ne s'ell'aeera jamais.
Seite 577 - Le nœud de notre condition prend ses replis et ses tours dans cet abîme ; de sorte que l'homme est plus inconcevable sans ce mystère que ce mystère n'est inconcevable à l'homme.
Seite 581 - ... dans sa secrète résurrection, et dans le reste, on la verra si grande, qu'on n'aura pas sujet de se scandaliser d'une bassesse qui n'y est pas.
Seite 571 - Ne me plaignez point; la maladie est l'état naturel des chrétiens, parce qu'on est par là , comme on devrait toujours être , dans la souffrance des maux , dans la privation de tous les biens et de tous les plaisirs des sens , exempt de toutes les passions qui travaillent pendant tout le cours de la vie , sans ambition , sans avarice , dans l'attente continuelle de la mort.
Seite 575 - Que l'homme donc s'estime son prix. Qu'il s'aime , car il a en lui une nature capable de bien; mais qu'il n'aime pas pour cela les bassesses qui y sont. Qu'il se méprise , parce que cette capacité est vide ; mais qu'il ne méprise pas pour cela cette capacité naturelle. Qu'il se haïsse , qu'il s'aime : il a en lui la capacité de...
Seite 526 - Je buvais ce lait avec délices et je mangeais ce pain, paille et tout; mais cela n'était pas fort restaurant pour un homme épuisé de fatigue. Ce paysan, qui m'examinait, jugea de la vérité de mon histoire par celle de mon appétit. Tout de suite, après...
Seite 602 - L'homme est visiblement fait pour penser : c'est toute sa dignité et tout son mérite; et tout son devoir est de penser comme il faut : or l'ordre de la pensée est de commencer par soi, et par son auteur et sa fin. Or, à quoi pense le monde? Jamais à cela; mais à...