Emanuel Geibel und die französische Lyrik

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H. Schöningh, 1905 - 170 Seiten
 

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Beliebte Passagen

Seite 37 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Seite 102 - Un soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux.
Seite 73 - ... d'un pas lent, Sous les vases d'airain qu'emplit l'eau des citernes, Graves, et les bras nus, et les mains sur le flanc. Elles allaient, dardant leurs prunelles superbes, Les seins droits, le col haut, dans la sérénité Terrible de la force et de la liberté, Et posant tour à tour dans la ronce et les herbes Leurs pieds fermes et blancs avec tranquillité. Le vent respectueux, parmi leurs tresses sombres, Sur leur nuque de marbre errait en frémissant, Tandis que les parois des rocs couleur...
Seite 159 - Ainsi, toujours pousses vers de nouveaux rivages, Dans la nuit eternelle emportes sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur 1'ocean des ages Jeter 1'ancre un seul jour?
Seite 65 - Muet, aveugle et sourd au cri des creatures, Si le Ciel nous laissa comme un monde avorte, Le juste opposera le dedain a 1'absence Et ne repondra plus que par un froid silence Au silence eternel de la Divinite.
Seite 88 - Woher ich dies und das genommen? Was geht's euch an, wenn es nur mein ward, Fragt ihr - ist nur der Bau vollkommen -, Woher gebrochen jeder Stein ward?
Seite 28 - Les Voix interieures, 1837; Les Rayons et les ombres, 1840; Les Chatiments, 1853; Les Contemplations, 1856; La Legende des siecles...
Seite 153 - L'astre-roi se couchait. Calme, à l'abri du vent, La mer réfléchissait ce globe d'or vivant, Ce monde, âme et flambeau du nôtre; Et dans le ciel rougeâtre et dans les flots vermeils, Comme deux rois amis, on voyait deux soleils Venir au-devant l'un de l'autre.
Seite 3 - Die Sprache ist gleichsam die äußerliche Erscheinung des Geistes der Völker; ihre Sprache ist ihr Geist und ihr Geist ist ihre Sprache, man kann sich beide nie identisch genug denken.
Seite 159 - O lac! 1'annee a peine a fini sa carriere, Et pres des flots cheris qu'elle devait revoir, Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Oil tu la vis s'asseoir!

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