Lectures choisiesCh. Delagrave, 1892 - 283 Seiten |
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... place , un quatrième un abus ; n'im- pour vous 1. Dans sa préface de 1826 , Chateaubriand cite cette phrase pour se défendre d'avoir jamais été incrédule . « En lisant attentivement l'Essai , ajoute - t - il , on sent partout que la ...
... place , un quatrième un abus ; n'im- pour vous 1. Dans sa préface de 1826 , Chateaubriand cite cette phrase pour se défendre d'avoir jamais été incrédule . « En lisant attentivement l'Essai , ajoute - t - il , on sent partout que la ...
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... place en embus- 1. « L'Essai , cet immense amas de matières premières , nous révèle chez l'au- teur une faculté de sensibilité et une puissance de souffrir qui subira bien des modifications par la suite et bien des altérations . Qu'on ...
... place en embus- 1. « L'Essai , cet immense amas de matières premières , nous révèle chez l'au- teur une faculté de sensibilité et une puissance de souffrir qui subira bien des modifications par la suite et bien des altérations . Qu'on ...
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... place avantageuse pour les bien étudier , parce que , étant hors de leur route , il les voit passer devant lui . Mais , après tout , il faut toujours en revenir à ceci : sans les premières nécessités de la vie , point de remède à nos ...
... place avantageuse pour les bien étudier , parce que , étant hors de leur route , il les voit passer devant lui . Mais , après tout , il faut toujours en revenir à ceci : sans les premières nécessités de la vie , point de remède à nos ...
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... place , et la femme domine le tout . Dans l'état de nature , l'enfant se tait et attend , la femme est soumise , le fort et le guerrier commandent , le vieillard s'assied au pied de l'arbre et meurt . Soyons hommes , c'est - à - dire ...
... place , et la femme domine le tout . Dans l'état de nature , l'enfant se tait et attend , la femme est soumise , le fort et le guerrier commandent , le vieillard s'assied au pied de l'arbre et meurt . Soyons hommes , c'est - à - dire ...
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... place où il se trouvait . Moi seul je ne pus fermer l'œil ; entendant de toutes parts les aspirations profondes de mes hôtes , je levai la tête , et , m'appuyant sur le coude , contemplai à la lueur rougeâtre du feu mourant les Indiens ...
... place où il se trouvait . Moi seul je ne pus fermer l'œil ; entendant de toutes parts les aspirations profondes de mes hôtes , je levai la tête , et , m'appuyant sur le coude , contemplai à la lueur rougeâtre du feu mourant les Indiens ...
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Beliebte Passagen
Seite 115 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé?.... Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé?...
Seite 160 - D'un œil indifférent je le suis dans son cours : En un ciel sombre ou pur qu'il se couche ou se lève, Qu'importe le soleil ? Je n'attends rien des jours ! Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière, Mes yeux verraient partout le vide et les déserts. Je ne désire rien de tout ce qu'il éclaire, Je ne demande rien à l'immense univers. Mais peut-être au delà des bornes de sa sphère, Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux...
Seite 128 - Quelle ignorance est la leur ! et qu'il serait aisé de les confondre, si, faibles et présomptueux, ils ne craignaient d'être instruits ! Car pensent-ils avoir mieux vu les difficultés à cause qu'ils y succombent, et que les autres, qui les ont vues, les ont méprisées? Ils n'ont rien vu ; ils n'entendent rien ; ils n'ont pas même de quoi établir le néant, auquel ils espèrent après cette vie ; et ce misérable partage ne leur est pas assuré.
Seite 165 - Rien n'est comparable pour la beauté aux lignes de l'horizon romain, à la douce inclinaison des plans, aux contours suaves et fuyants des montagnes qui le terminent. Souvent les vallées dans la campagne prennent la forme d'une arène, d'un cirque, d'un hippodrome ; les coteaux sont taillés en terrasses, comme si la main puissante des Romains avait remué toute cette terre. Une vapeur particulière, répandue dans les lointains, arrondit les objets et dissimule ce qu'ils pourraient avoir de dur...
Seite 76 - J'ai passé comme une fleur; j'ai séché comme l'herbe des champs. " 'Pourquoi la lumière at-elle été donnée à un misérable et la vie à ceux qui sont dans l'amertume du cœur ?' "Ainsi chantait l'ancien des hommes.
Seite 187 - ... d'un bouclier qu'ils tournent comme une roue rapide; d'autres, au lieu de ce bouclier, tiennent une espèce de javelot, nommé angon, où s'enfoncent deux fers recourbés; mais tous ont à la ceinture la redoutable francisque, espèce de hache à deux tranchants, dont le manche est recouvert d'un dur acier, arme funeste que le Franc jette en poussant un cri de mort, et qui manque rarement de frapper le but qu'un œil intrépide a marqué. "Ces barbares, fidèles aux usages des anciens Germains,...
Seite 59 - Les deux rives du Meschacebé présentent le tableau le plus extraordinaire. Sur le bord occidental, des savanes se déroulent à perte de vue; leurs flots de verdure, en s'éloignant, semblent monter dans l'azur du ciel où ils s'évanouissent. On voit dans ces prairies sans bornes errer à l'aventure des troupeaux de trois ou quatre mille buffles sauvages.
Seite 60 - Souvent égarées d'arbre en arbre, ces lianes traversent des bras de rivières, sur lesquels elles jettent des ponts de fleurs. Du sein de ces massifs, le magnolia élève son cône immobile; surmonté de ses larges roses...
Seite 135 - La voilà, malgré ce grand cœur, cette princesse si admirée et si chérie ! la voilà telle que la mort nous l'a faite...
Seite 118 - Maîtresse de l'Asie; et je regarde enfin Quel fut le sort de Troie, et quel est son destin. Je ne vois que des tours que la cendre a couvertes, Un fleuve teint de sang, des campagnes désertes, Un enfant dans les fers; et je ne puis songer Que Troie en cet état aspire à se venger.