Alors les bâtiments furent ébranlés avec de si fortes secousses, qu'il n'y eut plus de sûreté à demeurer dans un lieu à la vérité découvert, mais fort étroit. Nous prenons le parti de quitter la ville : le peuple épouvanté nous suit en foule,... Le dernier jour: poème en dix chants - Seite 47von Jean Reboul - 1839 - 342 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| Pliny (the Younger) - 1721 - 368 Seiten
...crépufcule. Alors les bâtiments fufecoufles, qu'il n'y eut plus de fureté à demeurer dans un Heu, à la vérité découvert, mais fort étroit. Nous prenons le parti de quitter la Ville : le peuple épouventé nous fuit en foule, nous prêt fe , nous pouffe ; & ce qui , dans la frayeur , tient lieu... | |
| Jacques Ozanam - 1725 - 538 Seiten
...fortes fçcoufTes , qu'il n'y eut ,' plus de fûreté à demeurer dans un lieu , à la vé» rité découvert , mais fort étroit. Nous prenons » le...de quitter la ville ; le peuple épouvanté » nous fuit en foule après que nons fûmes « veaux prodiges , nouvelles frayeurs. La mer » fembloit fe... | |
| Pliny (the Younger) - 1760 - 406 Seiten
...bâtimens furent ébranlés avec de fi fortes fecouiïès, qu'il n'y eut plus de fûreté à demeurer dans un lieu à la vérité découvert , mais fort...parti de quitter la Ville : le peuple épouvanté nous fuit en foule , nous prefle, nous poufle ; & ce qui, dans la frayeur , tient lieu de prudence, chacun... | |
| Jean Marie de la Torre - 1771 - 338 Seiten
...furent ébranlés avec de fi „ fortes fecoufTes, qu'il -n'y etit plus de fûreté à „ demeurer dans un lieu à la vérité découvert, „ mais fort étroit . Nous prenons le parti de quit„ ter la ville ;- le peuple épouvanté nous fuit en „ foule , & ce qui dans la frayeur tient... | |
| Catherine Joseph Ferdinand Girard de Propiac - 1832 - 420 Seiten
...bàtimens furent ébranlés avec de si fortes se» cousses , qu'il n'y eut plus de sûreté à demeu» rer dans un lieu , à la vérité découvert , mais »...» ville. Le peuple épouvanté nous suit en foule; » car ce qui donne de la frayeur tient lieu de » la prudence ; chacun ne croit rien de plus sur »... | |
| 1835 - 524 Seiten
...bâtimens furent ébranlés avec de si fortes secousses qu'il n'y eut plus de sûreté à demeurer dans un lieu, à la vérité découvert, mais fort...prudence, chacun ne croit rien de plus sûr que ce qu il voit faire aux autres. Après que nous fûmes sortis de la ville, nous nous arrêtons ; et là... | |
| Jean Reboul - 1842 - 436 Seiten
...ue paraissait encore qu'une faible lumière comme une espèce de crépuscule. Alors les bâtiments furent ébranlés avec de si fortes secousses, qu'il...tient lieu de prudence, chacun ne croit rien de plus sur que ce qu'il voit faire aux autres. Après que nous fûmes sortis de la ville, nous nous arrêtons;... | |
| Stanislao D'Aloe - 1851 - 202 Seiten
...bâtimens furent ébranlés avec de si fortes » secousses, qu'il n'y eut plus de sûreté à de» muurer dans un lieu, à la vérité découvert , » mais...pousse ; et » ce qui, dans la frayeur, tient lieu de pru» dence , chacun ne croit rien de plus sûr que » ce qu'il voit faire aux autres. Après que nous... | |
| Stanislao d' Aloe - 1853 - 648 Seiten
...vérité découvert , mais fort étroit. Nous s prenons le parti de quitter la ville : le peuple s épouvanté nous suit en foule, nous presse, nous...pousse ; et ce qui , dans la frayeur , tient lieu s de prudence , chacun ne croit rien de plus sûr » que ce qu'il voit faire aux autres. Après que... | |
| Stanislao D'Aloe - 1853 - 658 Seiten
...mais fort étroit. Nous s prenons le parti de quitter la ville : le peuple s épouvanté nous suit eu foule, nous presse, nous » pousse:, et ce qui , dans la frayeur, tient lieu s de prudence , chacun ne croit rien de plus sûr » que ce qu'il voit faire aux autres. Après que... | |
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