| Jean-Pierre-Louis de Luchet - 1790 - 310 Seiten
...fondamentale qui divisoit encore les esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution étoit prête ; que le roi , par ses intentions , ses vertus et son rang suprême , deyoit en être Iç chef, C 220 ) puisqu'elle ne pouvoit pas être avantageuse à fe. nation sans... | |
| Claude-François Beaulieu - 1801 - 570 Seiten
...« les esprits, je n'ai pascessédecroire qu'une « grande révolution était prête; que le roi t «par ses intentions, ses vertus et son rang .—...« suprême, devait en être le chef, puisqu'elle 17>il)' «ne pouvait pas etre avantageuse à lana« tion sans l'être également au monarque ; « tn... | |
| Civique de Gastine - 1818 - 830 Seiten
...divisait les esprits , je n'ai pas cessé n de croire qu'une grande révolution était prête ; que le 11 Roi , par ses intentions , ses vertus et son rang suprême, * devait en être le chef n. (Discours de Monsieur , frère du Roi , maintenant Louis XYIH, le 26 décembre 1789.) Je suppose... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1818 - 400 Seiten
...le doublement du tiers. «Je n'ai pas cessé de croire, dit-il, « qu'une grande révolution étoit prête, que le roi, par « ses intentions , ses vertus et son rang , devoit en être « le chef. Que l'on me cite une seule de mes actions, un « seul de mes discours,... | |
| abbé Guillaume Honoré Rocques de Montgaillard - 1820 - 864 Seiten
...« je me déclarai sur la question fondamentale qui divisait les espjjts « ( f. 12 décembre 1788), je n'ai pas cessé de croire qu'une grande « révolution...suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait « être avantageuse à la nation sans l'être également au monarque ; "- enfin , que l'autorité... | |
| 1821 - 536 Seiten
...seconde » assemblée des notables, je me déclarai sur la » question fondamentale qui divisait encore les » esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une...» révolution était prête; que le roi, par ses inten» tions , ses vertus, son rang suprême, devait en » être le chef , puisque cette révolution... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1821 - 540 Seiten
...seconde » assemblée des notables, je me déclarai sur la » question fondamentale qui divisait encore les » esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une...;> révolution était prête; que le roi, par ses inten» tions , ses vertus , son rang suprême , devait en » être le chef , puisque cette révolution... | |
| Charles Élie marquis de Ferrières - 1821 - 546 Seiten
...seconde » assemblée des notables , je me déclarai sur la » question fondamentale qui divisait encore les » esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une...» révolution était prête ; que le roi, par ses inlen» lions , ses vertus, sou rang suprême, devait en» être le chef, puisque cette révolution... | |
| Jean Vatout - 1822 - 104 Seiten
...président de l'Assemblée nationale. (21) < Je n'ai pas cessé de croire qu'une grande ré« voliilion était prête ; que le roi par ses intentions, ses «vertus et son rang devait en être le chef. Que l'on «me cite une seule de mes actions , un seul de mes « discours qui... | |
| 1823 - 904 Seiten
...je me déclarai sur la question > fondamentale qui divisait les esprits ( / . la décembre 1788 ), je « n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution...devait « en être le chef, puisqu'elle ne pouvait être avantageuse à la nation «. sans l'être également au monarque ; enfin , que l'autorité royale... | |
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