Théâtre et œuvres diverses de m. Pannard ...: Pieces représentées sur les théâtres des comédies françoise & italienne ...

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Seite 334 - J'ai vu des guerriers en alarmes, Les bras croisés et le corps droit, Crier cent fois : courons aux armes, Et ne point sortir de l'endroit. J'ai vu, ce qu'on ne pourra croire, Des Tritons, animaux marins, Pour danser, troquer leur nageoire Contre une paire d'escarpins.
Seite 334 - J'ai vu des morts friser la jambe, Comme s'ils n'étaient pas défunts. J'ai vu, ce qu'on ne pourra croire, Des tritons, animaux marins, Pour danser troquer leur nageoire Contre une paire d'escarpins.
Seite 470 - Femme d'un bon mari qui soir et matin dort, Philis ne jouit pas d'un revenu bien fort ; Tous les jours cependant on lui voit des dentelles, Des habits, des bijoux, des parures nouvelles. Du sort de cet époux voici le vrai tableau : Si Madame le porte beau, C'est que Monsieur les porte belles.
Seite 335 - Dans des Chaconnes & Gavottes , J'ai vu des fleuves fautillans : J'ai vu danfer deux Matelottes , Trois jeux , fix plaifirs , & deux vents. Dans le Char de Monfieur fon père , J'ai vu Phaèton , tout tremblant, Mettre en cendre la terre entière , Avec des rayons de fer-blanc.
Seite 433 - C'est de son sein fécond, c'est de ses heureux flancs Que coule ce nectar si doux, si délectable , Qui rend tous les esprits, tous les cœurs satisfaits.
Seite 333 - J'ai vu du ténébreux empire Accourir, avec un pétard, Cinquante lutins, pour détruire Un palais de papier brouillard. J'ai vu des dragons fort traitables Montrer les dents sans offenser ; J'ai vu des poignards admirables Tuer les gens sans les blesser. J'ai vu...
Seite 338 - Se ruine pour des douceurs Qu'ont goûté mille précurseurs : C'est là ce qui m'étonne. Que, dans Alger, on trouve des ingrats, Et que, chez le peuple Tartare, La reconnoissance soit rare; Cela ne me surprend pas. Mais qu'à Paris mainte...
Seite 338 - Passe les trois quarts de sa vie ; Cela ne me surprend pas. Mais qu'un abbé , tous les jours , s'amidonne , Et qu'à pas comptés ce poupin , Sur la pointe de l'escarpin , Marche toujours droit comme un pin ; C'est là ce qui m'étonne.
Seite 334 - J'ai vu des fleuves sautillants; J'ai vu danser deux matelotes, Trois Jeux, six Plaisirs et deux Vents. Dans le char de monsieur son père, J'ai vu Phaéton tout tremblant Mettre en cendre la terre entière Avec des rayons de fer-blanc.
Seite 332 - J'a'i vu le soleil et la lune Qui faisaient des discours en l'air ; J'ai vu le terrible Neptune Sortir tout frisé de la mer. J'ai vu l'aimable Cythérée, Aux doux regards, au teint fleuri, Dans une machine entourée D'Amours natifs de Ghambéri.

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