...n'est decrié pour ses vices; on n'est diffamé que par ses vertus. » M. Thiers a l'un de ces trois partis à prendre : se déclarer le représentant...l'ordre impérial : ce dernier parti serait du goût de M. Thiers; mais l'empire sans l'empereur, est-ce possible? Il est plus naturel de croire que l'auteur...

...n'est décrié pour ses vices; on n'est diffamé que par ses vertus. M. Thiers a l'un de ces trois partis à prendre : se déclarer le représentant...l'ordre impérial. Ce dernier parti serait du goût de 3l. Thiers; mais l'empire sans l'empereur, est-ce possible? 11 est plus naturel de croire que l'auteur...

...n'est décrié pour ses vices ; on n'est diffamé que par ses vertus. M. Thiers a l'un de ces trois partis à prendre : se déclarer le représentant...monarchie contrefaite de Juillet comme un singe sur Je dos d'un chameau , ou ranimer l'ordre impérial. Ce dernier parti serait du goût de M. Thiers;...

...pleinement expliquer. Chateaubriand, avant de mourir, avait écrit sur lui ces lignes prophétiques : « M. Thiers a l'un de ces partis à prendre : se déclarer...l'ordre impérial. Ce dernier parti serait du goût de M. Thiers ; mais l'Empire sans empereur est-ce possible ? Il est plus naturel de croire que l'auteur...

...l'éloquence amère et hautaine, Thiers, verbeux, que Chateaubriand aigri avait représenté « perché sur la monarchie contrefaite de Juillet comme un singe sur le dos d'un chameau »T Ikrryer, le Cicéron légitimiste, plus royaliste que le roi et plus libéral que la liberté,...

...leministre du i" mars était représenté dans une autre et non moins étrange posture, « perché sur la monarchie contrefaite de juillet, comme un singe sur le dos d'un chameau (2). » Ces choses-là se paient. Les bonapartistes n'étaient pas non plus pour être satisfaits....

...ses adversaires. On sait comment Chateaubriand a représenté cet homme de petite taille : « Perché sur la monarchie contrefaite de Juillet comme un singe sur le dos d'un chameau. » On sait aussi ce que Lamartine lui dit un jour, à la tribune de la Chambre : « II ya en vous une...