Journal de l'Institut historique, Bände 1-3L'Institut historique, 1834 |
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Seite 173 - Chroniques de Jean d'Anton, publiées pour la première fois en entier, d'après les manuscrits de la bibliothèque du Roi, avec une notice et des notes par Paul L.
Seite 144 - ... large et abandonné : et entretenoit par sa largesse ceux « de ses serviteurs dont il se vouloit servir ; et aux autres « donnoit congé légèrement : et leur donnoit le bond à la
Seite 142 - Seyssel , l'un de ses historiens , dit que « les défenses de chasses dont il se délectait , étaient si âpres et si sévères qu'il était plus rémissible de tuer un homme qu'un cerf ou un sanglier.
Seite 220 - Le bambin, le poupon, le marmot a trouvé les trois labiales; il bée, il baye, il balbutie, il bégaye, il babille, il blatère, il bêle, il bavarde, il braille, il boude, il bouque, il bougonne sur une babiole, sur une bagatelle, sur une billevesée, sur une bêtise, sur un bébé, sur un bonbon, sur un bobo, sur le bilboquet pendu à l'étalage du bimbelotier.
Seite 176 - Sarrasins, selon les uns, les Escualdunacs ou les Vascons, selon les autres, et peut-être les trois peuples à la fois, parurent au sommet des montagnes, firent rouler sur les troupes des fragments de rochers, obscurcirent l'air de leurs flèches, et, malgré les prouesses des paladins, mirent de toutes parts les Francs en désordre et en firent un épouvantable carnage. « Ce chant, comme tout ce qui n'est pas écrit, a sans doute changé en passant de bouche en bouche, et je l'ai retrouvé, avec...
Seite 179 - Ils fuient! ils fuient! où est donc la haie de lances? Où sont ces bannières versicolorées flottant au milieu ! Les éclairs ne jaillissent plus de leurs armes souillées de sang. Combien sont-ils? enfant, compte-les bien : Vingt, dix-neuf, dix-huit, dix-sept, seize, quinze, quatorze, treize, Douze, onze, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un. Un ! il n'y en a même plus un.
Seite 108 - ... hommes illustres , celle des familles de ces illustres défunts, et la bienveillance aussi des hauts dignitaires de l'Université, dont il avait le courage de défendre la cause contre le Roi, le Pape et saint Thomas. — D'où venait donc sa pénurie? Hélas ! c'est qu'il faut bien le reconnaître , les malheurs du temps avaient rendu avares les plus prodigues, et les Croisades tarissaient tous les trésors, excepté ceux du clergé. Notre poète ne l'ignore pas, car il écrit : — Qu'à présent...
Seite 78 - Mélanésie, tant elle déplaît à ces peuplades, dont la langue est aussi douce que l'italienne et la portugaise. — Les Malais ont la taille bien faite; leur stature est moyenne et carrée, et ils ont peu d'embonpoint; leurs pieds, quoiqu'ils marchent sans chaussure, sont très-petits. Le sagou, le riz, les épiceries et les poissons , sont leur nourriture ordinaire.
Seite 141 - Toisou-d'Or. chesse par le bras et la vouloit mettre audessus de lui , ce qu'elle n'eût jamais fait ; toutefois il en pressa tant madame , qu'elle lui dit: « Monsieur , il semble que vous avez désir que l'on se moque de moi, car vous me voulez faire faire ce qui ne m'appartient pas. » Monsieur le Dauphin disoit que non , et qu'il lui devoit...
Seite 330 - ... les familles comme le bétail ; d'autres enfin, privés par une seule défaite de tout ce qui fait que la vie vaut quelque chose, se résignant à voir l'étranger assis en maître à leurs propres foyers, ou, frénétiques de désespoir, courant à la forêt pour y vivre comme vivent les loups, de rapine, de meurtre et d'indépendance.