Revue historique, Band 13

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Gabriel Monod, Charles Bémont, Sébastien Charléty
Librairie G. Bailleère, 1880
 

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Beliebte Passagen

Seite 213 - Ach richer Christ von himel und Maria, reine magd ! wellend ir uns helfen, so sind wir unverzagt, Daß wir den strit gewinnend hie uf disem feld : wellend ir uns helfen, so bstand wir alle weit.
Seite 218 - Discours admirables de la nature des eaux et fontaines, tant naturelles qu'artificielles, des métaux, des sels et salines, des pierres, des terres, du feu et des émaux, avec plusieurs autres excellents secrets des choses naturelles; plus un...
Seite 104 - ... maintenir l'état de paix et de neutralité. Quelques personnes lui proposèrent de se rendre en Hollande pour y décider le peuple en sa faveur, il refusa. « Je ne puis y rentrer, « répondit-il, que rappelé par la nation ; il ne convient ni à mon « caractère ni au bien de la Hollande que j'y rentre par la guerre ou « par les troubles ! Je dois me borner à faire savoir aux Hollandais • que mon dévouement au pays est toujours le même, le reste les
Seite 101 - Bosnie m'était ouverte ; comme un pays tranquille, amie naturelle de la France, elle me convenait sous tous les rapports, même sous celui du climat ; mais, Sire, quand j'étais au moment de partir, j'ai appris les malheurs d'Espagne, j'ai appris que les ennemis étaient de ce côté sur les frontières, j'ai vu que la guerre était imminente, que vous alliez avoir un million d'hommes armés contre vous... Je ne me suis pas cru le maitre de me soustraire à la crise imminente et terrible qui se...
Seite 102 - Sire, que je viens à vous pour souffrir; que je le désire plus vivement à mesure que le péril augmente; que, dans la malheureuse position où m'ont placé les événements, j'ai dû ne plus partager la prospérité de ma maison, mais non me soustraire à ses dangers. Puissent, Sire, ceux qui la menacent, n'être pas aussi réels que je le crains ! Mais les armements sont immenses, et dans un tout autre ordre et esprit que précédemment. Tout le monde gémit et réclame la guerre contre la France....
Seite 445 - Paris, 1840, pixn et suiv. — Un nouvel atelier monétaire en Sardaigne, p. D. Arturo PEDRALS Y MOLINÉ. — Bibliographie. Analyse de revues et de journaux (très utile) et chronique. On peut s'abonner à la Revùta de ciencias historicas, à Paris, chez E. Leroux. Le prix de l'abonnement est de 25 francs par an pour l'étranger. CHRONIQUE ET BIBLIOGRAPHIE. France. — ME Fournier, mort à Paris en mai dernier, était un curieux plutôt qu'un érudit, il préférait l'anecdote -à l'histoire, et...
Seite 109 - En 4844, un mémoire sur la versification, en réponse à une question proposée par la deuxième classe de l'Institut. Ce mémoire imprimé à Rome en 2 volumes, en 4825, sous le titre d'Essai sur la versification, remporta le prix de la question mise au concours. Dans cet ouvrage, l'auteur demande la suppression de la rime dans les vers, la conservation de la césure et l'ancien nombre de syllabes. 11 complète leur rliythme par une distribution régulière des accents, ce qui les fait essentiellement...
Seite 95 - SM l'empereur de mon arrivée ici, de mon vif désir de rester dans les environs pour y soigner tranquillement ma santé, et que je le prie de me permettre ensuite de résider tout à fait dans les environs de Dresde, d'où je pourrais venir aux eaux chaque année et m'y préparer durant l'hiver par le régime et la retraite. Cela n'est sujet à aucun inconvénient. J'ai pris le nom de Saint-Leu ; je suis fermement résolu à passer le reste de ma vie dans la plus proi>i CASSE.
Seite 48 - M. d'Yriarte la remet tous les jours sur le tapis, et c'est chaque fois dans les termes les plus pressants. « Le désir de voir les prisonniers du Temple libres à Madrid, je ne crains pas de l'avouer, dit-il, nous porte plus qu'aucune autre considération à rechercher la paix. C'est de notre part un devoir, une religion, un fanatisme si vous le voulez. Nous placerait-on entre les enfants de Louis XVI et l'offre de quelques départements voisins de notre frontière, nous demanderions les enfants...
Seite 99 - Hollande, malgré moi, mais lié à ses destinées par mes affections, mes serments et les devoirs les plus sacrés, je ne veux et ne peux vouloir que rester Hollandais toute ma vie. En conséquence, je déclare le don dudit apanage nul et de nul effet pour moi, comme pour mes enfants, et pour leur mère, annulant d'avance tout consentement ou acceptation donnés, soit directement, soit indirectement. En foi de quoi j'ai rédigé le présent acte écrit et signé de ma main. Je prie le Sénat de...

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