 | Jean Paul Rabaut Saint-Etienne - 1792 - 498 Seiten
...prétentions ; et , après troi» mois du rravail le plus étonnant et le plus pénible , la dirision fut achevée. Ainsi l'on put dire qu'il n'y avoit...le royaume fut un , et la crainte des républiques fcdératives fut dissipée. Mais la question qui occupa le plus sérieusement l'assemblée nationale... | |
 | Rabaut Saint-Etienne - 1807 - 552 Seiten
...accoururent plus de deux mille députes des villes et des bourgs, pour i'aire Taloir leurs prétentions ; et, après trois mois du travail le plus étonnant et le plus pe'nible , la division fut achevée. Ainsi l'on put dire qu'il n'y avait plus de provinces : ce mot... | |
 | Jean-Paul Rabaut, Jean-Paul Rabaut-Saint-Etienne, Charles Lacretelle - 1818 - 360 Seiten
...accoururent plus de deux mille députés des villes et des bourgs, pour faire valoir leurs prétentions-, et, après trois mois du travail le plus étonnant...division fut achevée. Ainsi l'on put dire qu'il n'y avait plus de provinces : ce mot a même disparu de notre langue. Ainsi le royaume fut un , et la crainte... | |
 | Jean-Paul Rabaut - 1826 - 468 Seiten
...accoururent plus de deux mille députés des villes et des bourgs, pour faire valoir leurs prétentions; et, après trois mois du travail le plus étonnant...division fut achevée. Ainsi l'on put dire qu'il n'y avait plus de provinces : ce mot a même disparu de notre langue : ainsi le royaume fut un , et la... | |
 | 1856 - 418 Seiten
...Siéyes, p. H.) deux mille députés des villes et des bourgs, pour faire valoir leurs prétentions; et, après trois mois du travail le plus étonnant...division fut achevée. Ainsi l'on put dire qu'il n'y avait plus de provinces ; ainsi le royaume fut un, et la crainte des républiques fédératives dissipée.... | |
 | Eustache Marie P.M.A. Courtin - 1856 - 822 Seiten
...principal: me deux mille députés des villes et des bourgs, pour faire valoir leurs prétentions; et, après trois mois du travail le plus étonnant...division fut achevée. Ainsi l'on put dire qu'il n'y avait plus de provinces ; ainsi le royaume fut un, et la crainte des républiques fédératives dissipée.... | |
 | 1906 - 588 Seiten
...des bourgs, pour faire valoir leurs prétentions; cl après trois mois du travail le plus élonnanl et le plus pénible, la division fut achevée. Ainsi l'on put dire qu'il n'y avait plus de provinces : ce mot a même disparu de notre langue. Ainsi le royaume fut un, et la crainte... | |
 | François-Alphonse Aulard - 1907 - 362 Seiten
...accoururent plus de deux mille députés des villes et des bourgs, pour faire valoir leurs prétentions; et après trois mois du travail le plus étonnant...division fut achevée. Ainsi l'on put dire qu'il n'y avait plus de provinces : ce mot a même disparu de noire langue. Ainsi le royaume fut un, et la crainte... | |
 | Ernest Lebègue - 1910 - 494 Seiten
...1. Le jugement de Rahaut est à retenir : « Après trois mois ,lu travail le plus c.tonnant et h- plus pénible, la division fut achevée. Ainsi l'on put dire qu'il n'y avait plus de provinces : cr mot même a disparu de notre langue. Ainsi le royaume fut un, et la crainte... | |
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Sieyes , elle ordonna la division du royaume en 83 départemens, subdivisés en districts et en cantons. De toutes les parties du royaume accoururent plus de deux mille députés des villes et des bourgs, pour faire valoir leurs prétentions-, et, après... 