Essai sur la Terreur en AnjouDidier, 1870 - 292 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
accusés administrateurs du district Angers Angevins Anjou armées de l'Ouest arrêté avaient avons Billaud-Varennes Brevet de Beaujour brigands brumaire c'était Carrier chefs Cholet Choudieu ci-devant citoyen comité de salut comité révolutionnaire commandant commission militaire condamné à mort Convention courage Couthon crime déclare décret Delaunay dénonciation département détenus devant Dieuzie Dom Piolin Doué exécutés fanatique femmes floréal Francastel frimaire fusillade fusiller général germinal Gonnord guillotine hommes Hudoux individus interrogatoire interrogé j'ai Jacobins jour juge de paix justice l'abbé Gruget l'Anjou l'armée l'arrestation Laval lettre Lion-d'Angers Loire Loizillon Maine-et-Loire maire massacrés membres du comité ment mis en liberté mois Nantes nationale nivôse nobles officiers municipaux Olitro patriotes pluviôse Ponts-de-Cé président prêtres prisonniers prisons Rablay représentants du peuple républicain République révolution Robespierre Ruillé salut public Saumur scélérats séance siége d'Angers sieur Signé société populaire soldats Stofflet suspects terreur thermidor tion tribunal révolutionnaire Trotouin Vacheron Vendée Vendéens ventôse victimes Vihiers
Beliebte Passagen
Seite 33 - Ceux qui font des révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau. La Révolution nous conduit à reconnaître ce principe, que celui qui s'est montré l'ennemi de son pays n'y peut être propriétaire.
Seite 32 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes : elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Seite 133 - Cinquante-huit individus désignés sous le nom de prêtres réfractaires sont arrivés d'Angers à Nantes : aussitôt ils ont été enfermés dans un bateau sur la Loire ; la nuit dernière ils ont tous été engloutis dans cette rivière : quel torrent révolutionnaire que la Loire!
Seite 196 - La guillotine, la fusillade ne va pas mal; soixante, quatre-vingts, deux cents à la fois sont fusillés ; et tous les jours on a le plus grand soin d'en mettre de suite en état d'arrestation , pour ne pas laisser de vide aux prisons.
Seite 122 - Alors le frère livrera le frère à la mort, et le père le fils; les enfants s'élèveront contre leurs pères et leurs mères, et les feront mourir.
Seite 141 - ... à la poursuite de nos troupes ; les rues , les maisons , les places publiques , les routes en sont jonchées , et depuis quinze heures , ce massacre dure encore.
Seite 32 - Ceux qui auront cherché à égarer l'opinion et à empêcher l'instruction du peuple, à dépraver les mœurs et à corrompre la conscience publique...
Seite 196 - Oui, mon ami , tous ces énergumènes ne voulaient la. République que pour eux. Environ TROIS MILLE DEVAIENT PARTAGER TOUTE LA FORTUNE LYONNAISE ; ils voulaient se soustraire à la surveillance et à l'unité de la République : ils se sont mis à découvert et se découvrent à chaque pas. ils se sont plaints que l'on incarcérait les patriotes ! eh bien ! aucun ne l'a été. On a destitué des municipaux qui avaient été peu fdeles.
Seite 196 - FRÈRE ET AMI, Encore des têtes , et chaque jour des têtes tombent ! Quelles délices tu aurais goûtées si tu eusses vu avant-hier cette justice nationale de deux cent neuf scélérats ! quelle majesté! quel ton imposant ! Tout édifiait.
Seite 195 - Tout, tout, sans exception , est incendié, massacré, dévasté. Des villes, des bourgs , des villages habités par des patriotes ont disparu , et le fer a achevé ce que la flamme épargnait ; c'est ainsi qu'on a ressuscité la Vendée. Elle était finie par la prise de Noirmoutier; mais Ronsin et Vincent ne le voulaient pas.