Almanach des muses, Band 34Claude Sixte Sautreau de Marsy, Charles-Joseph Mathon de La Cour, Vigée (M., Louis-Jean-Baptiste-Étienne), Marie Justin Gensoul Delalain, 1797 |
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... printemps reverdit les côteaux , Des chaines de l'hiver dégage les ruisseaux , Rend leur feuillage aux bois , ses rayons à l'aurore ; Tout renaît : pour moi seul , rien ne renaît encore ' ; Et mes yeux , à travers de confuses vapeurs ...
... printemps reverdit les côteaux , Des chaines de l'hiver dégage les ruisseaux , Rend leur feuillage aux bois , ses rayons à l'aurore ; Tout renaît : pour moi seul , rien ne renaît encore ' ; Et mes yeux , à travers de confuses vapeurs ...
Seite 53
... printemps et le miel de l'été , Tout fut pillé , détruit , mangé dans la semaine . L'hiver survint , il gela fort : Plus d'abri ; plus de miel ; plus d'aide à * C 3 DES MUSES . 53 VITALLIS Les Frêlons et les Abeilles, fable,
... printemps et le miel de l'été , Tout fut pillé , détruit , mangé dans la semaine . L'hiver survint , il gela fort : Plus d'abri ; plus de miel ; plus d'aide à * C 3 DES MUSES . 53 VITALLIS Les Frêlons et les Abeilles, fable,
Seite 89
... ce plaisir nécessaire De nous donner tous nos instans , Qui , dans ces champs heureux , nous rappelle au printemps : Il est un autre instinct , un charme involontaire , B Qui nous tire de l'ombre et du bruit des cités DES MUSES . 89.
... ce plaisir nécessaire De nous donner tous nos instans , Qui , dans ces champs heureux , nous rappelle au printemps : Il est un autre instinct , un charme involontaire , B Qui nous tire de l'ombre et du bruit des cités DES MUSES . 89.
Seite 124
... Agnès .... Moi belle ! oh ! c'est avoir pour moi Trop de bonté ! Je suis ... oh ! tout au plus , je croi , Je suis , monsieur , hermaphrodite . Par le C. BQINVILLIERS . VUE DU PRINTEMPS . L'HIVER n'afflige plus nos champs ; 124 ALMANACH.
... Agnès .... Moi belle ! oh ! c'est avoir pour moi Trop de bonté ! Je suis ... oh ! tout au plus , je croi , Je suis , monsieur , hermaphrodite . Par le C. BQINVILLIERS . VUE DU PRINTEMPS . L'HIVER n'afflige plus nos champs ; 124 ALMANACH.
Seite 125
... PRINTEMPS . L'HIVER n'afflige plus nos champs ; Dans les cavernes de l'Islande Il va cacher ses cheveux blancs . Armé de traits étincelans , Phébus paroit , Phébus commande , Regarde , et disperse la bande Des Aquilons et des Autans ...
... PRINTEMPS . L'HIVER n'afflige plus nos champs ; Dans les cavernes de l'Islande Il va cacher ses cheveux blancs . Armé de traits étincelans , Phébus paroit , Phébus commande , Regarde , et disperse la bande Des Aquilons et des Autans ...
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Seite 47 - O moment solennel ! ce peuple prosterné , Ce temple dont la mousse a couvert les portiques , Ses vieux murs , son jour sombre et ses vitraux gothiques , Cette lampe d'airain qui , dans l'antiquité , Symbole du soleil et de l'éternité...
Seite 22 - Un nouveau sénateur, de ses devoirs jaloux, « Exempt d'ambition, de faste, d'avarice, « Ayant mille vertus, sans avoir aucun vice, « Et que tout le sénat soit ainsi composé. « Vous voyez, citoyens, que rien n'est plus aisé.
Seite 21 - S'il se présente un homme au langage assuré, On l'écoute, on lui cède, il ordonne à son gré : Ainsi Pacuvius, du droit d'une âme forte, Sort du Sénat, le ferme, en fait garder la porte, S'avance sur la place, et son autorité Calme un instant les flots de ce peuple irrité : " Citoyens, leur dit-il, la divine justice A vos vœux redoublés se montre enfin propice ; Elle livre en vos...
Seite 45 - Oh ! comme avec plaisir la rêveuse douleur , Le soir, foule à pas lents ces vallons sans couleur, Cherche les bois jaunis, et se plaît au murmure Du vent qui fait tomber leur dernière verdure ! Ce bruit sourd a pour moi je ne sais quel attrait. Tout à coup si j'entends s'agiter la forêt , D'un ami qui n'est plus la voix long-temps chérie Me semble murmurer dans la feuille flétrie. Aussi, c'est dans...
Seite 200 - Mais le Ciel avait au trépas Condamné ses jeunes appas. Au Ciel elle a rendu sa vie, Et doucement s'est endormie Sans murmurer contre ses lois. Ainsi le sourire s'efface; Ainsi meurt, sans laisser de trace, Le chant d'un oiseau dans les bois 1 . (Melanges,) t.
Seite 46 - Vieillards, femmes, enfants accouroient vers le temple. Là préside un mortel dont la voix et l'exemple Maintiennent dans la paix ses heureuses tribus, Un prêtre, ami des lois et zélé sans abus, Qui, peu jaloux d'un nom, d'une orgueilleuse mitre, Aimé de son troupeau, ne veut point d'autre titre, Et, des apôtres saints fidèle imitateur, A mérité comme eux ce doux nom de pasteur. Jamais dans ses discours une fausse sagesse Des fêtes du hameau n'attrista l'allégresse.
Seite 49 - Quel spectacle ! d'abord un sourd gémissement Sur le fatal enclos erra confusément. Bientôt les vœux, les cris, les sanglots retentissent; Tous les yeux sont en pleurs , toutes les voix gémissent ; Seulement...
Seite 55 - Tous deux du lit assiègent le chevet ; Leurs petits bras étendus vers leur mère, Leurs yeux naïfs, leur touchante prière, D'un seul baiser implorent le bienfait. Céline alors, d'une main caressante, Contre son sein les presse tour à tour, Et de son cœur la voix reconnaissante Bénit le ciel et rend grâce à l'amour : Non cet amour que le caprice allume, Ce fol amour qui, par...
Seite 48 - Et de jeunes beautés, qui, sous l'œil maternel, Adoucissent encor par leur voix innocente De la religion la pompe attendrissante ; Cet orgue qui se tait, ce silence pieux, L'invisible union de la terre et des cieux, Tout enflamme, agrandit, émeut l'homme sensible...
Seite 32 - II fit beugler Achille, Agamemnon, II fit hurler la reine Clytemnestre , II fit ronfler l'infatigable orchestre. Du coin du roi les antiques dormeurs Se sont émus à ses longues clameurs, Corresf.