Almanach des muses, Band 34Claude Sixte Sautreau de Marsy, Charles-Joseph Mathon de La Cour, Vigée (M., Louis-Jean-Baptiste-Étienne), Marie Justin Gensoul Delalain, 1797 |
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... respect qu'on doit aux morts . ( Note de l'auteur . ) Vous vites sans respect vos cendres dispersées Errer au gré DES 165 MUSE S.
... respect qu'on doit aux morts . ( Note de l'auteur . ) Vous vites sans respect vos cendres dispersées Errer au gré DES 165 MUSE S.
Seite 166
... respect vos cendres dispersées Errer au gré des vents , de leurs urnes chassées . La beauté ne put même adoucir leur courroux : Sévigné , dans la mort tu ressentis leurs coups . C'en est donc fait ! brisant les tombes révérées , Ils ont ...
... respect vos cendres dispersées Errer au gré des vents , de leurs urnes chassées . La beauté ne put même adoucir leur courroux : Sévigné , dans la mort tu ressentis leurs coups . C'en est donc fait ! brisant les tombes révérées , Ils ont ...
Seite 167
... respect qu'on doive à sa poussière ? Sur les rives du Nil , un zèle industrieux , Par un baume éternel , perpétuant aux yeux Une mère expirée , une épouse ravie , Savoit tromper la mort et figurer la vie ; Les Grecs et les Romains ...
... respect qu'on doive à sa poussière ? Sur les rives du Nil , un zèle industrieux , Par un baume éternel , perpétuant aux yeux Une mère expirée , une épouse ravie , Savoit tromper la mort et figurer la vie ; Les Grecs et les Romains ...
Seite 190
... respect pour les foibles cerveaux : Je connois quelques gens que ce pieux usage Devroit déterminer à faire le voyage . Cependant , en ces lieux , Mohammad étonné De plaintes et de cris se vit environné . Plusieurs devant l'Emir ...
... respect pour les foibles cerveaux : Je connois quelques gens que ce pieux usage Devroit déterminer à faire le voyage . Cependant , en ces lieux , Mohammad étonné De plaintes et de cris se vit environné . Plusieurs devant l'Emir ...
Seite 228
... respect . LE POÈTE . Mais quand viendra la poésie ? LE MEMBRE DE L'INSTITUT . Les langues sont avant .... LE POÈTE . Et quelles , je vous prie ? LE MEMBRE DE L'INSTITUT . L'indien , le persan , l'hébreu , le copht , le grec ..... LE ...
... respect . LE POÈTE . Mais quand viendra la poésie ? LE MEMBRE DE L'INSTITUT . Les langues sont avant .... LE POÈTE . Et quelles , je vous prie ? LE MEMBRE DE L'INSTITUT . L'indien , le persan , l'hébreu , le copht , le grec ..... LE ...
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Seite 47 - O moment solennel ! ce peuple prosterné , Ce temple dont la mousse a couvert les portiques , Ses vieux murs , son jour sombre et ses vitraux gothiques , Cette lampe d'airain qui , dans l'antiquité , Symbole du soleil et de l'éternité...
Seite 22 - Un nouveau sénateur, de ses devoirs jaloux, « Exempt d'ambition, de faste, d'avarice, « Ayant mille vertus, sans avoir aucun vice, « Et que tout le sénat soit ainsi composé. « Vous voyez, citoyens, que rien n'est plus aisé.
Seite 21 - S'il se présente un homme au langage assuré, On l'écoute, on lui cède, il ordonne à son gré : Ainsi Pacuvius, du droit d'une âme forte, Sort du Sénat, le ferme, en fait garder la porte, S'avance sur la place, et son autorité Calme un instant les flots de ce peuple irrité : " Citoyens, leur dit-il, la divine justice A vos vœux redoublés se montre enfin propice ; Elle livre en vos...
Seite 45 - Oh ! comme avec plaisir la rêveuse douleur , Le soir, foule à pas lents ces vallons sans couleur, Cherche les bois jaunis, et se plaît au murmure Du vent qui fait tomber leur dernière verdure ! Ce bruit sourd a pour moi je ne sais quel attrait. Tout à coup si j'entends s'agiter la forêt , D'un ami qui n'est plus la voix long-temps chérie Me semble murmurer dans la feuille flétrie. Aussi, c'est dans...
Seite 200 - Mais le Ciel avait au trépas Condamné ses jeunes appas. Au Ciel elle a rendu sa vie, Et doucement s'est endormie Sans murmurer contre ses lois. Ainsi le sourire s'efface; Ainsi meurt, sans laisser de trace, Le chant d'un oiseau dans les bois 1 . (Melanges,) t.
Seite 46 - Vieillards, femmes, enfants accouroient vers le temple. Là préside un mortel dont la voix et l'exemple Maintiennent dans la paix ses heureuses tribus, Un prêtre, ami des lois et zélé sans abus, Qui, peu jaloux d'un nom, d'une orgueilleuse mitre, Aimé de son troupeau, ne veut point d'autre titre, Et, des apôtres saints fidèle imitateur, A mérité comme eux ce doux nom de pasteur. Jamais dans ses discours une fausse sagesse Des fêtes du hameau n'attrista l'allégresse.
Seite 49 - Quel spectacle ! d'abord un sourd gémissement Sur le fatal enclos erra confusément. Bientôt les vœux, les cris, les sanglots retentissent; Tous les yeux sont en pleurs , toutes les voix gémissent ; Seulement...
Seite 55 - Tous deux du lit assiègent le chevet ; Leurs petits bras étendus vers leur mère, Leurs yeux naïfs, leur touchante prière, D'un seul baiser implorent le bienfait. Céline alors, d'une main caressante, Contre son sein les presse tour à tour, Et de son cœur la voix reconnaissante Bénit le ciel et rend grâce à l'amour : Non cet amour que le caprice allume, Ce fol amour qui, par...
Seite 48 - Et de jeunes beautés, qui, sous l'œil maternel, Adoucissent encor par leur voix innocente De la religion la pompe attendrissante ; Cet orgue qui se tait, ce silence pieux, L'invisible union de la terre et des cieux, Tout enflamme, agrandit, émeut l'homme sensible...
Seite 32 - II fit beugler Achille, Agamemnon, II fit hurler la reine Clytemnestre , II fit ronfler l'infatigable orchestre. Du coin du roi les antiques dormeurs Se sont émus à ses longues clameurs, Corresf.