Excursions historiques et philosophiques à travers le Moyen AgeFirmin-Didot, 1888 - 639 Seiten |
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... l'en- seignement de cette science , non sans y porter une méthode et des opinions singulières , qui le firent condamner d'abord par l'Université de Paris , nouvellement constituée , et , peu de temps après , par le saint - siège ...
... l'en- seignement de cette science , non sans y porter une méthode et des opinions singulières , qui le firent condamner d'abord par l'Université de Paris , nouvellement constituée , et , peu de temps après , par le saint - siège ...
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... l'Université de Paris ; mais il s'en était rendu un compte exact , et nul n'était plus apte que lui à en donner un résumé fidèle . Or , que nous apprennent Albert le Grand et saint Thomas d'A- quin ? Que , selon David de Dinan , Dieu , l ...
... l'Université de Paris ; mais il s'en était rendu un compte exact , et nul n'était plus apte que lui à en donner un résumé fidèle . Or , que nous apprennent Albert le Grand et saint Thomas d'A- quin ? Que , selon David de Dinan , Dieu , l ...
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... l'Université de Paris ( 1 ) . Selon Guillaume le Breton , ces ouvrages arrivaient de Constantinople et étaient traduits du grec . Ils roulaient sur la métaphysique : docebant metaphysicam . Suivant le continuateur de la chronique de ...
... l'Université de Paris ( 1 ) . Selon Guillaume le Breton , ces ouvrages arrivaient de Constantinople et étaient traduits du grec . Ils roulaient sur la métaphysique : docebant metaphysicam . Suivant le continuateur de la chronique de ...
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... l'étude des sciences , entre autres , Adam du Marais et Robert Grosse - Tête , évêque de Lincoln . Ce dernier ... Université , à la suite de troubles graves , s'étant alors dis- persée , il quitta la France , et comme tant d'autres Anglais , ...
... l'étude des sciences , entre autres , Adam du Marais et Robert Grosse - Tête , évêque de Lincoln . Ce dernier ... Université , à la suite de troubles graves , s'étant alors dis- persée , il quitta la France , et comme tant d'autres Anglais , ...
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... l'Académie des Inscriptions et Belles - Lettres . De l'aveu de tous les historiens , Robert , surnommé Grosse - Tète ... Université nais- sante de cette ville ne contribua pas médiocrement à sa prospérité . Il ne possédait pas seulement des ...
... l'Académie des Inscriptions et Belles - Lettres . De l'aveu de tous les historiens , Robert , surnommé Grosse - Tète ... Université nais- sante de cette ville ne contribua pas médiocrement à sa prospérité . Il ne possédait pas seulement des ...
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Seite 533 - A vous, très-noble prince, notre sire, « Philippe, par la grâce de Dieu roi de France; « supplie et requiert le peuple de votre « royaume, pour ce qui lui appartient, que ce « soit fait, que vous gardiez la souveraine « franchise de votre royaume, qui est telle que « vous ne reconnaissiez de votre temporel « souverain en terre, fors que DIEU...
Seite 530 - Ainsi, la plus heureuse combinaison des pouvoirs serait celle qui placerait à la tête de la cité ou de la nation un prince vertueux, qui rangerait au-dessous de lui un certain nombre de grands chargés de gouverner selon les règles de l'équité; et qui, les prenant eux-mêmes dans toutes les classes, les soumettant à tous les suffrages de la multitude, associerait ainsi la société entière aux soins du gouvernement. Un tel...
Seite 427 - ... recevoir dans les échanges une matière qui, utile par elle-même, fût aisément maniable dans les usages habituels de la vie; ce fut du fer, par exemple, de l'argent, ou telle autre substance analogue, dont on détermina d'abord la dimension et le poids, et qu'enfin, pour se délivrer des embarras de continuels mesurages, on marqua d'une empreinte particulière, signe de sa valeur.
Seite 555 - Je veux que vous conveniez que l'Etat est la chose du peuple, qu'il l'a confiée aux rois, et que ceux qui l'ont eue par force ou autrement, sans aucun consentement du peuple, sont censés tyrans et usurpateurs du bien d'autrui.
Seite 569 - ... vulgaire. Cet habile écrivain, à qui nous devons la première traduction française de quelques-uns des traités les plus importants d'Aristote, s'excuse d'employer l'idiome national; il demande grâce en quelque sorte pour son inexpérience : « Quanque je diray,je le soubsmetàla correction de ceulx à qui il appartient et supplie que on me ait excusé de la rude manière de parler; car je n'ay pas apprins ne acoustumé de riens bailler ou escripre en françois. » C'est là le langage d'un...
Seite 427 - On convint de donner et de recevoir dans les échanges une matière qui, utile par elle-même, fût aisément maniable dans les usages habituels de la vie; ce fut du fer, par exemple, de l'argent, ou telle autre substance...
Seite 554 - ... et en habileté. En effet , chaque peuple a élu un roi pour son utilité. Oui, les princes sont tels , non afin de tirer un profit du peuple et de s'enrichir à ses dépens , mais pour, oubliant leurs intérêts , l'enrichir et le conduire du bien au mieux.
Seite 552 - Comme je demandais souvent, continue le même chroniqueur, la cause d'une adhésion si subite, de ces applaudissements et de cette joie inaccoutumée, il me fut répondu : « Les habitants du royaume sont à « ce point accablés d'exactions et de vexations pécuniaires « et autres, que ce mot est le seul sur les lèvres de chacun : « Vive, vive quiconque pourra dominer, pourvu que la « chose publique puisse jouir de la paix ! Vivat, vivat qui « domina/ri poterit, dum tamen manere possit respu
Seite 547 - ... à raison et justice, et que par vous justice soit maintenue et bien gardée en vostre royaume. » Mais c'est principalement le chancelier Gerson qu'il faut entendre sur ces matières, d'abord parce qu'il a été un des esprits les plus éclairés et les plus honnêtes de son temps ; et, en second lieu, parce qu'il a pris la part la plus directe aux événements publics. Gerson est partisan déclaré de la monarchie, et la raison qu'il donne de sa préférence pour cette forme de gouvernement,...
Seite 331 - ... sollicitait avec instance comme une faveur difficile, c'était la confirmation de ses privilèges. Charles VII promit « de lui en bailler des lettres en forme ainsi qu'avoient fait d'ancienneté ses prédécesseurs. » Ces lettres, délivrées à Bourges au mois de mai, furent enregistrées au Chàtelet de Paris le 2 juin suivant ; elles étaient conçues dans les termes les plus explicites et les plus favorables. « Désirans de tout nostre cœur, disait le roi, voir de nostre temps nostre...