Excursions historiques et philosophiques à travers le Moyen AgeFirmin-Didot, 1888 - 639 Seiten |
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... science religieuse , auteur d'une encyclopédie qui , sous le titre modeste d'Étymolo- " ( 1 ) Præfat . in Psalterium , Opp . t . II , 7 : « Cum Sabellius detestabilis erret in Pa- tre , demens Arius delinquat in Filio ... » In Psalmum ...
... science religieuse , auteur d'une encyclopédie qui , sous le titre modeste d'Étymolo- " ( 1 ) Præfat . in Psalterium , Opp . t . II , 7 : « Cum Sabellius detestabilis erret in Pa- tre , demens Arius delinquat in Filio ... » In Psalmum ...
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... science du théologien et le dévouement du martyr . Sans éprouver le moindre goût pour le paradoxe , nous avons pensé qu'il était non seulement permis , mais utile de discuter cette tra- dition ; et , la suivant de siècle en siècle jusqu ...
... science du théologien et le dévouement du martyr . Sans éprouver le moindre goût pour le paradoxe , nous avons pensé qu'il était non seulement permis , mais utile de discuter cette tra- dition ; et , la suivant de siècle en siècle jusqu ...
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... sciences ont leur part , théologie , astronomie , physique , anthropologie . Le plus considérable , s'il faut en croire les auteurs de l'Histoire littéraire de la France , avait pour titre Magna de naturis philosophia ; mais on n'en ...
... sciences ont leur part , théologie , astronomie , physique , anthropologie . Le plus considérable , s'il faut en croire les auteurs de l'Histoire littéraire de la France , avait pour titre Magna de naturis philosophia ; mais on n'en ...
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... sciences qui n'est pas sans doute originale , car elle est en grande partie dans Aristote , mais qui n'en mérite pas ... science en deux branches , l'éloquence et la sagesse : l'une est la connais- sance vraie et certaine des choses ; l ...
... sciences qui n'est pas sans doute originale , car elle est en grande partie dans Aristote , mais qui n'en mérite pas ... science en deux branches , l'éloquence et la sagesse : l'une est la connais- sance vraie et certaine des choses ; l ...
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... science des corps , que nous acquérons par les mathématiques et la physique , est l'antécédent naturel de la science des êtres incorporels , qui nous élève elle - même jusqu'au Créateur . « A practica adscen- << dendum est ad theoricam ...
... science des corps , que nous acquérons par les mathématiques et la physique , est l'antécédent naturel de la science des êtres incorporels , qui nous élève elle - même jusqu'au Créateur . « A practica adscen- << dendum est ad theoricam ...
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Seite 533 - A vous, très-noble prince, notre sire, « Philippe, par la grâce de Dieu roi de France; « supplie et requiert le peuple de votre « royaume, pour ce qui lui appartient, que ce « soit fait, que vous gardiez la souveraine « franchise de votre royaume, qui est telle que « vous ne reconnaissiez de votre temporel « souverain en terre, fors que DIEU...
Seite 530 - Ainsi, la plus heureuse combinaison des pouvoirs serait celle qui placerait à la tête de la cité ou de la nation un prince vertueux, qui rangerait au-dessous de lui un certain nombre de grands chargés de gouverner selon les règles de l'équité; et qui, les prenant eux-mêmes dans toutes les classes, les soumettant à tous les suffrages de la multitude, associerait ainsi la société entière aux soins du gouvernement. Un tel...
Seite 427 - ... recevoir dans les échanges une matière qui, utile par elle-même, fût aisément maniable dans les usages habituels de la vie; ce fut du fer, par exemple, de l'argent, ou telle autre substance analogue, dont on détermina d'abord la dimension et le poids, et qu'enfin, pour se délivrer des embarras de continuels mesurages, on marqua d'une empreinte particulière, signe de sa valeur.
Seite 555 - Je veux que vous conveniez que l'Etat est la chose du peuple, qu'il l'a confiée aux rois, et que ceux qui l'ont eue par force ou autrement, sans aucun consentement du peuple, sont censés tyrans et usurpateurs du bien d'autrui.
Seite 569 - ... vulgaire. Cet habile écrivain, à qui nous devons la première traduction française de quelques-uns des traités les plus importants d'Aristote, s'excuse d'employer l'idiome national; il demande grâce en quelque sorte pour son inexpérience : « Quanque je diray,je le soubsmetàla correction de ceulx à qui il appartient et supplie que on me ait excusé de la rude manière de parler; car je n'ay pas apprins ne acoustumé de riens bailler ou escripre en françois. » C'est là le langage d'un...
Seite 427 - On convint de donner et de recevoir dans les échanges une matière qui, utile par elle-même, fût aisément maniable dans les usages habituels de la vie; ce fut du fer, par exemple, de l'argent, ou telle autre substance...
Seite 554 - ... et en habileté. En effet , chaque peuple a élu un roi pour son utilité. Oui, les princes sont tels , non afin de tirer un profit du peuple et de s'enrichir à ses dépens , mais pour, oubliant leurs intérêts , l'enrichir et le conduire du bien au mieux.
Seite 552 - Comme je demandais souvent, continue le même chroniqueur, la cause d'une adhésion si subite, de ces applaudissements et de cette joie inaccoutumée, il me fut répondu : « Les habitants du royaume sont à « ce point accablés d'exactions et de vexations pécuniaires « et autres, que ce mot est le seul sur les lèvres de chacun : « Vive, vive quiconque pourra dominer, pourvu que la « chose publique puisse jouir de la paix ! Vivat, vivat qui « domina/ri poterit, dum tamen manere possit respu
Seite 547 - ... à raison et justice, et que par vous justice soit maintenue et bien gardée en vostre royaume. » Mais c'est principalement le chancelier Gerson qu'il faut entendre sur ces matières, d'abord parce qu'il a été un des esprits les plus éclairés et les plus honnêtes de son temps ; et, en second lieu, parce qu'il a pris la part la plus directe aux événements publics. Gerson est partisan déclaré de la monarchie, et la raison qu'il donne de sa préférence pour cette forme de gouvernement,...
Seite 331 - ... sollicitait avec instance comme une faveur difficile, c'était la confirmation de ses privilèges. Charles VII promit « de lui en bailler des lettres en forme ainsi qu'avoient fait d'ancienneté ses prédécesseurs. » Ces lettres, délivrées à Bourges au mois de mai, furent enregistrées au Chàtelet de Paris le 2 juin suivant ; elles étaient conçues dans les termes les plus explicites et les plus favorables. « Désirans de tout nostre cœur, disait le roi, voir de nostre temps nostre...