Memoires d'un prisonnier d'état au Spielberg, Band 3

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Ladvocat et cie, 1839
 

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Seite 178 - ... épreuve nouvelle Dieu m'avait réservée!... Une incomparable amie était ma consolation, mon espoir et je l'ai perdue il ya peu de jours! j'ai vu mourir Mathilde Dembosky, cette angélique femme qui réunissait en elle toutes les perfections d'une adorable sensibilité avec l'énergie qui rend capable des actions les plus sublimes ! Rien n'était comparable à son dévouement pour Frédéric et pour moi avec elle tout me semblait possible ! Sa mort me laisserait sans aucune consolation sur...
Seite 144 - Heureux celui qui souffre patiemment les tentations et les maux, parce que, lorsque sa vertu aura été éprouvée, il recevra la couronne de vie que Dieu a promise à ceux qui l'aiment.
Seite 188 - ... cette femme qui fut le modèle des mères, comme elle fut aussi l'amie la plus accomplie. Elle est morte à trente-cinq ans, morte dans mes bras, alors que, belle encore, tout devait la conserver à deux fils qu'elle idolâtrait... Mais elle aimait aussi la gloire de son pays et les hommes qui pouvaient l'illustrer, et son âme énergique eut trop à souffrir de son asservissement et de sa perte. Et pourtant que de bonté, d'angélique douceur dans ce cœur si noble ! Que de soins prodigués...
Seite 390 - Had seen the mice by moonlight play, And why should I feel less than they ? We were all inmates of one place, And I, the monarch of each race, Had power to kill,—yet, strange to tell ! In quiet we had learned to dwell; My very chains and I grew friends, So much a long communion tends To make us what we are:—even I Regained my freedom with a sigh.

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