| Jean-Jacques Rousseau - 1825 - 472 Seiten
...les paveurs avoient laissées dans la rue ; je pris son bras , et lui dis : Prenez garde, monsieur Rousseau ; il le retira brusquement en disant : Laissezmoi me servir de mes propresforces. Je fus anéanti par ces paroles; les voitures nous séparèrent; il prit son chemin,... | |
| André Ernest Modeste Grétry - 1829 - 360 Seiten
...avaient laissées dans la rue ; je pris son bras , et lui dis : Prenez garde , M. Rousseau. — II le retira brusquement, en disant : Laissez-moi me...moi le mien, et jamais depuis je ne lui ai parlé. Si j'avais moins aimé Rousseau, dès le lendemain je l'aurais visité ; mais la timidité , compagne... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 482 Seiten
...les paveurs avoient laissées dans la rue ; je pris son bras, et je lui dis : Prenez garde, monsieur Rousseau ! Il le retira brusquement en disant : Laissez-moi...moi le mien , et jamais depuis je ne lui ai parlé. Si j'avois moins aimé Rousseau , dès le lendemain je l'aurois visité ; mais la timidité , compagne... | |
| Auguste de Labouïsse-Rocheford - 1846 - 1142 Seiten
...pierres que les paveurs avaient laissées ; je pris son bras , et lui dis : Prenez garde , Monsieur Rousseau. — Il le retira brusquement, en disant...moi le mien, et jamais depuis je ne lui ai parlé. » L'anecdote suivante sera moins pénible pour le lecteur. Il est question d'Hele , auteur de l'amont... | |
| Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique - 1850 - 770 Seiten
...avaient laissées dans la rue; je pris son bras et lui dis : Prenez garde, M. Rousseau ; — il le relira brusquement, en disant : Laissez-moi me servir de...propres forces. — Je fus anéanti par ces paroles; 1rs voitures nous séparèrent ; îl prit son chemin, moi le mien , et jamais depuis je ne lui ai parlé,... | |
| Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique - 1850 - 788 Seiten
...que les paveurs avaient laissées dans la rue ; je pris son bras et lui dis : Prenez garde , ¡VI . Rousseau ; — il le retira brusquement, en disant : Laissez-moi me servir de mes propre* forces. — Je fus anéanti par ces paroles; les voitures nous séparèrent ; il prit son chemin,... | |
| Adolphe Lambert Jacques Quételet - 1866 - 790 Seiten
...Française, il voulut franchir des pierres que les paveurs avaient laissées dans la me; je pris sou bras et lui dis : « Prenez garde, M. Rousseau; —...nous séparèrent; il prit son chemin, moi le mien, el jamais depuis je ne lui ai parlé. i (Essais sur la musique, tome I", page 271). Quand Cornelissen... | |
| Adolphe Quetelet - 1866 - 768 Seiten
...la rue; je pris son hras et lui dis : • Prenez garde, M. Rousseau; — il le retira hrusquement, en disant : Laissez-moi me servir de mes propres forces. — Je fus anéanti par ces paroles; les voilures nous séparèrent; il prit son chemin, moi le mien, et jamais depuis je ne lui ai parlé.... | |
| Adolphe Quetelet - 1867 - 780 Seiten
...il voulut franchir des pierres que les paveurs avaient laissées dans la rue; je pris son bras «I lui dis : « Prenez garde, M. Rousseau; — il le...propres forces. — Je fus anéanti par ces paroles; les voilures nous séparèrent; il prit son chemin, moi le mien, et jamais depuis je ne lui ai parlé.... | |
| Edouard G.J. Grégoir - 1883 - 416 Seiten
...des pierres que les paveurs avaient laissées dans la rue ; je pris son bras, et lui dis : l'renez garde, M. Rousseau. — Il le retira brusquement,...moi le mien, et jamais depuis je ne lui ai parlé. » Si j'avais moins aimé Rousseau, dès de lendemain je l'aurais visité; mais la timidité, compagne... | |
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