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LA SCIENCE DE BIEN MOURIR

PREMIERE PARTIE

DEUXIÈME PARTIE

MANUEL DE L'ASSOCIATION ANNALES DE L'ASSOCIATION

DE LA BONNE MORT

1 vol. in-18 raisin, 2 fr. 50

Cet ouvrage contient, sous le titre de Cours de la Bonne mort, le résumé de toutes les instructions que le R. P. Lefebvre a faites sur la mort pendant quatre années dans l'église du Jésus, à Paris.

Ces plans d'instructions avec les Neuvaines à saint Joseph forment un ensemble de 70 leçons, et rien ne peut être meilleur et plus utile pour les Retraites que ces excellentes Méditations. A la fin du livre se trouve le Manuel spécial aux associés, contenant les plus belles prières pour les morts et les agonisants, litanies, offices et pieux exercices à eur intention.

RÉDIGÉES ET MISES EN ORDRE, 1859-1864

1 vol, in-12, 2 fr. 50

Ces Annales renferment les notices adressées au P. Directeur à la mort des membres de l'Association. On a cru devoir conserver à ces lettres leur caractère de simplicité vraie, et souvent d'une douleur profonde, quoique tempérée par les consolations de la foi, de l'espérance et de l'amour. Ces notices, ayant été réunies par ordre de date, on remarquera dans ce livre cette parfaite égalité de la mort, où sur terre tous les rangs sont confondus, où les pauvres reposent à côté des riches. Après un nom illustre, on trouvera le récit, encore plus édifiant peut-être, des derniers jours d'une pauvre domestique ou d'un simple ouvrier.

CONSOLATIONS

SOUVENIRS DES CARÊMES PRÊCHÉS A PARIS

Un magnifique volume in-8 de 420 pages. 6 fr.

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Le même ouvrage, édition ordinaire, 1 vol. in-12, 3 fr.

Lorsque le MANUEL DE LA BONNE MORT parut, bien des personnes demandèrent à l'auteur de faire un autre ouvrage dont le titre fût moins triste et le sujet surtout moins effrayant. On se rappelait que souvent il avait prêché des vérités plus douces et plus consolantes, et on exprimait le désir d'avoir aussi quelques souvenirs de ces instructions et de ces discours que l'on croyait encore plus efficaces que les conseils même de la mort. C'est pour se rendre à ce désir, et avec la pensée de sécher bien des larmes, que le R. P. LEFEBVRE a écrit cet excellent traité des Consolations religieuses qui s'adressent à tous ceux qui souffrent, à tous ceux qui pleurent; ils y trouveront de la force, de l'espérance et un apaisement aux plus grandes douleurs de la vie. L'auteur espère que la lecture de ce livre, répondant au premier besoin du cœur de l'homme, pourra réellement consoler bien des peines; il conjure de lire et de relire ces Méditations, et il supplie tous ceux qui entendront parler de ce livre de le donner aux âmes les plus malheureuses et les plus désespérées. Cet ouvrage se divise en trois parties principales:

1° CONSOLATIONS GÉNÉRALES offertes à tous les hommes qui tous sont les enfants de Dieu; 2° CONSOLATIONS RÉSERVÉES aux Catholiques comme enfants bien-aimés de l'Église; 3° CONSOLATIONS SPÉCIALES pour le cloître et la vie religieuse.

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Il y a dans ce livre quelque chose de supérieur à un talent d'écrivain, il y a une inspiration de foi compatissante qui ne se trouve que dans le catholicisme: Venez à « moi, vous lous qui souffrez, el je vous soulagerai. » Ce mot d'ineffable tendresse, placé en tête de chaque sujet, est merveilleusement commenté par le P. Lefebvre, qui sait l'approprier à toutes les douleurs et en faire jaillir le trait de lumière ou d'espérance qui convient. (Laurentie.)

TARIS.IMPRIMERIE SIMON RAÇON ET COMP., UE D'ERFURTH, 1.

Harvard College Library

Riant Collection

Gift of John Harvey Treat Feb. 26, 1900.

INTRODUCTION

IDÉE PREMIÈRE ET PLAN DU TRAITÉ. BUT: ÉCLAIRER, GUÉRIR TOUS CES PAUVRES INSENSES.

Stullorum infinitus est numerus.
Le nombre des fous est infini.
(Eccl., 1, 15.)

Je ne pense pas qu'il y ait au monde un fait plus frappant et en même temps plus avéré qué la folie des hommes en matière de religion et leur aveuglement pour tout ce qui concerne les graves intérêts de l'éternité. Je ne pense pas, non plus, qu'il y ait dans toute l'Écriture Sainte une vérité aussi souvent répétée que ce déplorable égarement des cœurs insensés qui se laissent séduire par les apparences du monde, tromper par le mensonge et la vanité, en un mot, par le délire des passions.

C'était en janvier 1852; j'étais depuis quelques jours dans la solitude, séparé de tout commerce avec les hommes, dans le silence absolu et dans les ténèbres

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