Mémoires de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, Band 23Société archéologique et historique de l'Orléanais, 1892 |
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Anglais archiers à cheval audit lieu audit siège d'Orléans aulnes bailli bataille de Cravant Bedford capitaine Charles VII Chartres Chasteaudun chevalier bachelier chiers commencans commissaires conduit des vivres cy rendue d'armes à cheval dessusdit dessusdits documents duc de Bedford Dunois écuyer endenture escuier estre faicte audit siège feu monditseigneur finances gaiges et regars garnison Guillaume hommes d'armes Item Jargeau Jean Jeanne d'Arc jour de décembre jour de janvier jour dudit moys ladite lances lesdits lettres de garant livres tournois luy faicte Mess Messire mil CCCC XXVIII mondits Monseigneur moys de février moys de janvier nobles Normandie ordonné orig Orléans pardevant payé par ledit Pierre Surreau premières monstres Pucelle quictance quictance cy rendue quictance de luy quictance dudit Richart Rouen sadicte retenue Salisbury seigneur le Régent siège devant Orléans somme Thomas tournois trésorier des guerres vertu desdictes lettres vicomté VIII d. t. XIIIe jour xve jour XXIII
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Seite 9 - LE reproche en un sens le plus honorable que l'on puisse faire à un homme, c'est de lui dire qu'il ne sait pas la cour : il n'ya sorte de vertus qu'on ne rassemble en lui par ce seul mot.
Seite 662 - Rouen, le xi» jour do septembre, l'an de grâce mil cccc vingt et huit, Et de notre Règne le sixiesme. Ainsi signé, Par le Roy, à la relacion de Monseigneur le Régent, duc de Bedford, J. de Rinel.
Seite 34 - Vous êtes ingénue et naturelle : de là vient que vous faites très -bien, sans avoir besoin d'y penser, à l'égard de ceux pour qui vous avez du goût et de l'estime ; mais trop froidement dès que ce goût vous manque. Quand vous êtes sèche, votre sécheresse va assez loin. Je m'imagine qu'il ya dans votre fond de la promptitude et de la lenteur.
Seite 22 - ... charité, Je ne puis .croire, madame, qu'un homme de tant de prières à qui Dieu a donné une amie si fidèle et si chrétienne comme par miracle, ne devienne à la fin un homme nouveau.
Seite 13 - Vous n'avez que des étoffes communes, lui disoitil un jour, mais je ne sais ce qu'il ya : je vois tomber avec vous, quand vous vous mettez à genoux, une quantité d'étoffes à mes pieds qui a si bonne grâce que je trouve quelque chose de trop bien.
Seite 32 - ... j'obéis; mais voyant que je bâille, et que je fais bâiller les autres, je suis prête quelquefois à renoncer à la dévotion.
Seite 953 - ... tous ceulx qui pour ce seront à contraindre par toutes voyes deues et raisonnables...
Seite 24 - Ce qui me paroît véritable touchant les affaires, c'est que votre esprit en est plus capable que vous ne pensez; vous vous défiez peut-être un peu trop de vous-même, ou bien vous craignez trop d'entrer dans des discussions contraires au goût que vous avez pour une vie tranquille et recueillie. D'ailleurs, je...
Seite 964 - ... des vivres pour icellui. Confessons avoir eu et receu de Pierre Surreau, receveur général de Normandie, la somme de six vins dix sept livres six solz huit deniers tournois ; — en prest et paiement des gaiges et regars de nous deux, 10 autres hommes d'armes à cheval, 3 hommes d'armes passez à demiz gaiges d'une lance à cheval, et 15 autres passez à gaiges d'archiers nobles dudit bailliage. Pour...
Seite 374 - Qui de corps et d'esprits ressemble une immortelle : J'approchay de ses yeux, mais bien de deux soleils, Deux soleils de beauté, qui n'ont point leurs pareils : Je les vy larmoyer d'une claire rosée, Je vy d'un clair crystal sa paupiere arrosée, Se souvenant de France, et du sceptre laissé, Et de son premier feu comme un songe passé.