| Henry Essex Edgeworth de Firmont, C. Sneyd Edgeworth - 1815 - 250 Seiten
...trompe." Mon silence lui répondit qu'oui. Un des bourreaux vint aussitôt ouvrir la portière, et les gendarmes voulurent descendre; mais le Roi les arrêta, et appuyant sa main sur mon genou, " Mcs" tieurt," leur dit-il d'un ton de maître, "je vous *' recommande Monsieur que voilà ; ayez... | |
| Henri Essex Edgeworth de Firmont - 1815 - 236 Seiten
...trompe. » Mon silence lui répondit qu'oui. Un des bourreaux vint aussitôt ouvrir la portière , et les gendarmes voulurent descendre ; mais le Roi les arrêta , et appuyant sa main sur mon genou : « Mes« sieurs » , leur dit -il d'un ton de maître, « je vous recommande Mon« sieur que voilà;... | |
| Henry Essex Edgeworth de Firmont, C. Sneyd Edgeworth - 1815 - 238 Seiten
...trompe." Mon silence lui répondit qu'oui. Un des bourreaux vint aussitôt ouvrir la portière, et tes gendarmes voulurent descendre; mais le Roi les arrêta, et appuyant sa main sur mon genou, " Mes" .sieurs," leur dit-il d'un ton de maître, "je vous " recommande Monsieur qué voilà ; ayez... | |
| 1820 - 596 Seiten
...trompe. » Mon silence lui re'pondil •qu'oui. Un des bourreaux vint aussitôt ouvrir la portière, et les gendarmes voulurent descendre ; mais le roi les...ton de maître, je vous » recommande monsieur que voila ; » ayez soin qu'après ma mort il ne » lui soit fait aucune insulte. Je » vous charge d'y... | |
| Vincent Lombard de Langres - 1823 - 354 Seiten
...Voiture de place dans laquelle étaient Louis XVI, l'abbé Edgeworth et deux gendarmes. » tière, et les gendarmes voulurent descendre; » mais le roi...vous recommande monsieur que voilà : » ayez soin qu après ma mort il ne lui soit fait au» cune insulte. Je vous charge d'y veiller. » Ces deux hommes... | |
| Vincent de Langres Lombard - 1823 - 236 Seiten
...trompe, » Mon silence dit que oui. « Un des bourreaux vint aussitôt ouvrir la por» tière , et les gendarmes voulurent descendre ; « mais le roi les arrêta , et appuyant sa main sur » «non genou ; Messieurs , leur dit-il d'un ton de » maître ,je vous recommande monsieur que voilà... | |
| Jean Baptiste C. Hanet-Cléry - 1823 - 356 Seiten
...Un des bourreaux vint aussitôt lui ouvrir la portière ; mais le Roi les arrêta , et appuyant la main sur mon genou : « Messieurs , leur » dit-il d'un ton de maître , je vous recom« mande' Monsieur que voilà ; ayez soin qu'a» près ma mort , il ne lui soit fait aucune in«... | |
| Cléry (M.) - 1825 - 362 Seiten
...appuyant la main sur mou genou : « Messieurs, « leur dit-il d'un ton de maître, je vous recom» mande monsieur que voilà ; ayez soin qu'après » ma mort il ne lui soit fait aucune insulte ; je » vous charge d'y veiller. » Ces deux hommes ne répondant rien, le Roi voulut reprendre d'un ton plus haut;... | |
| Cléry (M.) - 1825 - 360 Seiten
...oui. Un des bourreaux vint aussitôt lui ouvrir la portière ; mais le Roi les arrêta, et appuyant la main sur mon genou : « Messieurs, » leur dit-il d'un ton de maître, je vous recom» mande monsieur que voilà ; ayez soin qu'après » ma mort il ne lui soit fait aucune insulte... | |
| 1825 - 358 Seiten
...oui. Un des bourreaux vint aussitôt lui ouvrir la portière ; mais le Roi les arrêta, et appuyant la main sur mon genou : « Messieurs, » leur dit-il d'un ton de maître, je vous recom» mande monsieur que voilà; ayez soin qu'après » ma mort il ne lui soit fait aucune insulte... | |
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