Revue historique, littéraire et archéologique de l'AnjouCosnier et Lachèse, 1870 |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
administrateurs Angers Angevins Anglais Anjou armées de l'Ouest avaient avoit bastir beau-frère bled Bonchamps brahmanisme Brézé brigands Bronze brumaire CAMILLE BOURCIER Candé Célestin PORT charrue château chère chevalier Cholet Choudieu citoyen cœur Collection de Madame combats des reines comité révolutionnaire comte Condé Convention David d'Angers Dieu docteur Bouchardat dudit esté estoit faict famille femmes fist Francastel Gaston général guerre Hallberg histoire hommes j'ai JEANNE jeune jour Krichna l'auteur l'église l'Inde ladite Lenet lettre liberté livraisons livre LOUISE Madame David Maillé-Brézé Maine et Loire maison maréchal Maries Jacobé Mazarin Médaillon membres ment messire Milly Mme LATOUR mois Monsieur Montalembert mort Musée d'Angers Nantes Notre-Dame-de-la-Mer Offert au modèle paroisse passé père poëte Pontbriand Pouancé premier prestre prince registres René républicain République reste Richelieu Robespierre Saint-Briac Saumur seigneur seul sœur sort stathouder suivant TERREUR EN ANJOU thermidor Thomas tion Tremblaye Urbain de Maillé-Brézé Vacheron Vendée Vichnou vins rouges Wieland XVIIIe siècle
Beliebte Passagen
Seite 266 - La guillotine, la fusillade ne va pas mal; soixante, quatre-vingts, deux cents à la fois sont fusillés ; et tous les jours on a le plus grand soin d'en mettre de suite en état d'arrestation , pour ne pas laisser de vide aux prisons.
Seite 372 - L'embarcation de la Loire, embarrassée, n'a pas permis de faire venir des subsistances pour remplacer celles qu'absorbaient nos armées; et la commune est en proie à la plus horrible disette. On dit que la Vendée n'est plus, et Charette , à quatre lieues de Nantes, tient en échec les bataillons de la république, qu'on lui envoie les uns après les autres, comme dans le dessein de les sacrifier. On ne dissimule pas qu'on veut éterniser la guerre. Nous la finirons quand nous voudrons , disent...
Seite 372 - ... avec Carrier. Celui-ci est invisible pour les corps constitués , les membres du club et tous les patriotes. Il se fait dire malade et à la campagne, afin de se soustraire aux occupations que réclament les circonstances ; et nul n'est dupe de ce mensonge : on le sait bien portant, et en ville; on sait qu'il est dans un...
Seite 243 - ... qu'on me permette de dire tout ce que je pense. Oui, la défaite a été honteuse. La vérité m'arrache ce témoignage, au détriment même de mes amis. Mais savez-vous quelque chose de bien plus honteux que cette défaite?
Seite 266 - FRÈRE ET AMI, Encore des têtes , et chaque jour des têtes tombent ! Quelles délices tu aurais goûtées si tu eusses vu avant-hier cette justice nationale de deux cent neuf scélérats ! quelle majesté! quel ton imposant ! Tout édifiait.
Seite 267 - Oui, mon ami , tous ces énergumènes ne voulaient la. République que pour eux. Environ TROIS MILLE DEVAIENT PARTAGER TOUTE LA FORTUNE LYONNAISE ; ils voulaient se soustraire à la surveillance et à l'unité de la République : ils se sont mis à découvert et se découvrent à chaque pas. ils se sont plaints que l'on incarcérait les patriotes ! eh bien ! aucun ne l'a été. On a destitué des municipaux qui avaient été peu fdeles.
Seite 307 - NISI VOCATI." And in order that those who did not understand Latin might not pretend ignorance of its meaning, there was upon the same marble, underneath, the following couplet : — ' Dans re lieu de repos on ne veut point de bruit, Et nul n'y doit entrer qu'invite ou conduit.
Seite 266 - Tout, tout, sans exception , est incendié, massacré, dévasté. Des villes, des bourgs , des villages habités par des patriotes ont disparu , et le fer a achevé ce que la flamme épargnait ; c'est ainsi qu'on a ressuscité la Vendée. Elle était finie par la prise de Noirmoutier; mais Ronsin et Vincent ne le voulaient pas.
Seite 240 - ... souffert de la division qui s'est mise dans votre conscience et dans votre esprit. Ces deux causes réunies font de l'époque actuelle pour votre talent littéraire une vraie époque de transition : votre intelligence mue. Faites ce qui vous paraîtra le plus difficile ; dans votre disposition actuelle, ce sera le meilleur, et puis laissez pousser et se fortifier vos nouvelles plumes avant de reprendre un plus noble et plus éclatant essor. » Mon cher Charles, ne me rendrez-vous pas...
Seite 134 - Suspect. Fuyait-on au contraire la popularité, et se tenait-on au coin de son feu : cette vie retirée vous avait fait remarquer, vous avait donné de la considération.