Revue des deux mondes, Band 20Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1859 |
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Seite 619 - Croyez-vous que ce soit pour faire la grandeur des avocats du Directoire, des Carnot, des Barras, que je triomphe en Italie ? Croyez-vous aussi que ce soit pour fonder une république ? Quelle idée ! Une république de trente millions d'hommes ! Avec nos mœurs, nos vices!
Seite 479 - Comme toutes les choses humaines ont une fin , l'état dont nous parlons perdra sa liberté , il périra. Rome, Lacédémone, et Carthage, ont bien péri. Il périra lorsque la puissance législative sera plus corrompue que l'exécutrice.
Seite 357 - Vous pouvez bien juger que je suis assez tracassé dans la situation où je me trouve. On me laisse peu de repos, mais l'intérieur est tranquille, et je puis vous assurer que je n'ai jamais été plus philosophe qu'en cette occasion-ci. Je regarde avec des yeux d'indifférence tout ce qui m'attend, sans désirer la fortune ni la craindre, plein de compassion pour ceux qui souffrent, d'estime pour les honnêtes gens, et de tendresse pour mes amis.
Seite 619 - Avec nos mœurs, nos vices ! où en est la possibilité? C'est une chimère dont les Français sont engoués, mais qui passera comme tant d'autres.
Seite 226 - Et de servir à point un dénoûment bien cuit. Grâce à Dieu, nos auteurs ont changé de méthode, Et nous aimons bien mieux quelque drame à la mode, Où l'intrigue, enlacée et roulée en feston, Tourne comme un rébus autour d'un mirliton.
Seite 619 - Voyez l'armée 1 les victoires que nous venons de remporter, nos triomphes ont déjà rendu le soldat français à son véritable caractère. Je suis tout pour lui. Que le Directoire s'avise de vouloir m'ôter le commandement, et il verra s'il est le maître. Il faut à la nation un chef, un chef illustré par la gloire, et non pas des théories de gouvernement, des phrases, des discours d'idéologues auxquels les Français n'entendent rien. Qu'on leur donne des hochets, cela leur suffit...
Seite 205 - Prince m'y vint voir ; il était dans un état pitoyable : il avait deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étaient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse était pleine de coups , et il tenait son épée nue à la main , ayant perdu le fourreau ; il la donna à mon écuyer.
Seite 193 - Monsieur le Prince dans cet abîme de négociations dont on n'a jamais vu le fond, et qui a toujours été son salut et la perte de ses ennemis. En effet, dès que les premiers jours de l'arrivée de...
Seite 275 - Disons-le donc : la plupart du temps dans la 1 . Journal contenant tout ce qui s'est fait et passé en la cour du parlement de Paris, toutes les chambres assemblées, sur le sujet des affaires du temps présent, p. 19 et 20. 2. ibid., p. 14. 3. M"
Seite 620 - En attendant, il faut marcher avec le parti républicain. Alors, la paix peut être nécessaire pour satisfaire les désirs de nos badauds de Paris, et, si elle doit se faire, c'est à moi de la faire.