...Voltaire : « M. de » La Rivière est venu ici pour nous législater. » Il nous supposait marcher à quatre pattes, » et très poliment il s'était donné la peine de » venir de la Martinique pour nous dresser sur » nos pieds de derrière. » C'était le célèbre Diderot...

...mais en même temps elle écrivait à Voltaire : « II nous supposait marcher à quatre pat<t tes ; et très poliment il s'était donné la peine de « venir pour nous dresser sur nos pieds de der« rière. » (1) En 1694, la même année que Quesnay. constance particulière...

...philosophe se séparèrent assez mécontents l'un de l'aulre. La première écrivait a Voltaire : a II nous supposait marcher a quatre pattes; et, très...poliment, il s'était donné la peine de venir pour nous dresser sur nos pieds de derrière. » Le second ne la ménageait pas, non plus que ses ministres,...

...assez mécontents l'un de l'autre. La première écrivait à Voltaire : « Il nous supposait marcher à quatre pattes; et, très poliment, il s'était donné la peine de venir pour nous dresser sur nos pieds de derrière. » Le second ne la ménageait pas, non plus que ses ministres,...

...sa complaisance : mais en même temps elle écrivait à Voltaire : « II nous supposait marcher à quatre pattes ; et, très poliment, il s'était donné la peine de venir pour nous dresser sur nos pieds de derrière. » 1 Charles Comte. * Je m'appuie volontiers sur l'opinion d'un...

...Voltaire : « M. de La Rivière est venu ici pour nous « législater. 11 nous supposait marcher à quatre pattes , et très« poliment il s'était donné la peine de venir de la Martinique « pour nous dresser sur nos pieds de derrière. » C'était le célèbre Diderot...

...l'autre. Catherine écrivit à Voltaire : « Il nous supposait marcher à quatre pattes, et très-poliment il s'était donné la peine de venir pour nous redresser sur nos pieds de derrière. » On s'égaya beaucoup aux dépens du réformateur éconduit. La fin de sa vie fut digne du commencement....

...frais de voyage, puis en deux lignes elle traça son oraison funèbre : « II nous supposait marcher à quatre pattes, et très poliment il s'était donné la peine de venir de la Martinique pour nous dresser sur nos pieds de derrière ». Galitzine dut passer de Paris à...

...de lui rédiger des lois ; mais elle le renvoya bientôt. « II nous supposait, dit-elle, marcher à quatre pattes, et très poliment il s'était donné la peine de venir pour nous redresser sur nos pattes de derrière. » Partant du principe des lois de la nature, les physiocrates ne peuvent favoriser...

...l'Impératrice : « Monsieur de La Rivière est venu ici pour nous législater. Il nous supposait marcher à quatre pattes, et très poliment il s'était donné la peine de venir de La Martinique pour nous dresser sur nos pattes de derrière. » Quant aux modernes historiens qui...