| Amédée Thierry - 1828 - 424 Seiten
...pleins de grace, qui méritent de trouver place ici. « C'est le Rhin, ce fleuve au cours impétueux, K qui éprouve, chez les Gaulois, la sainteté du lit...peine le nouveau-né, descendu du « sein maternel , a poussé le premier cri , que l'é« poux s'en empare; il le couche sur son bouclier, « il court... | |
| Amédée Thierry - 1835 - 432 Seiten
...grec inconnu quelques vers pleins de grace, qui méritent de trouver place ici. « C'est lé txhin, ce fleuve au cours impétueux, « qui éprouve , chez...« conjugal ..... A peine le nouveau-né, descendu dû '« seirf niai:éfttel , à poussé le premier cri, que Fé« pioux s'en' empare ; il le couche... | |
| Ludovic Lalanne - 1847 - 494 Seiten
...restait paisible; sinon, elle montait jusqu'au cou, et couvrait ainsi la tablette ". ( C'est le Rhin , ce fleuve au cours impétueux , qui éprouve, chez les Gaulois, la sainteté du lit conjugal, dit une épignmme de l'anthologie grecque.... A peine le nouveau-né, sorti du sein maternel, at-il... | |
| 1851 - 602 Seiten
...grec inconnu quelques vers pleins de grâce , qui méritent de trouver place ici : « C'est le Rhin , ce fleuve au cours impétueux , qui éprouve , chez...peine le nouveau-né, « descendu du sein maternel , a poussé le premier cri , que l'époux « s'en empare; il le couche sur son bouclier, il court l'exposer... | |
| Amédée Thierry - 1857 - 602 Seiten
...grâce, qui méritent de trouver place ici. « C'est le Rhin , ce fleuve au cours impétueux , qui a éprouve, chez les Gaulois, la sainteté du lit conjugal.......A peine le nouveau-né, descendu du sein maternel, a « poussé le premier cri, que l'époux s'en empare; il le « couche sur son bouclier, il court l'exposer... | |
| Serge Sculfort de Beaurepas - 1903 - 622 Seiten
...superstition a inspiré à un poète grec inconnu quelques vers plein des grâce : « C'est le Rhin, ce fleuve au cours impétueux qui éprouve chez les...maternel, at-il poussé le premier cri que l'époux s'en empare. Il le couche sur son bouclier et court l'exposer aux caprices des flots : car il ne sentira... | |
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