Supplément au Recueil des lettres de M. de Voltaire ...Chez Xhrouet ... Déterville ... Petit, 1808 - 384 Seiten |
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Seite 314 - J'ai lu tous les Mémoires de Beaumarchais , et je ne me suis jamais tant amusé. J'ai peur que ce brillant écervelé n'ait au fond raison contre tout le monde. Que de friponneries, ô ciel! que d'horreurs! que d'avilissement dans la nation! quel désagrément pour le parlement!
Seite 413 - Je n'ai considéré que ce que je dois à votre naissance, à votre ministère et à votre mérite. Vous êtes un général à qui j'ai demandé un soldat. Je vous supplie...
Seite 414 - ... vous pourriez faire le plus grand bien, et ajouter à la gloire d'avoir porté l'esprit humain au plus haut degré de ses connaissances le mérite de la vertu la plus sincère, dont la sagesse divine, revêtue de notre nature, nous a donné la juste idée et fourni le parfait modèle que nous ne pouvons trouver ailleurs.
Seite 413 - Sa célébrité, qui fixe sur lui les yeux de « la capitale de la France, et même de l'Europe, est bien digne « de la sollicitude pastorale d'un curé. « La démarche que vous avez faite n'était nécessaire qu'autant « qu'elle pouvait vous être utile et consolante dans le danger de
Seite 68 - N'a point énervé sa vigueur : Il ne regrette point la perte De ces arts dont la découverte A l'homme a coûté tant de soins , Et qui , devenus nécessaires , N'ont fait qu'augmenter nos misères En multipliant nos besoins.
Seite 361 - Ceux qui vous ont dit, Monsieur l'abbé, qu'en 1744 et 1745 je fus courtisan, ont avancé une triste vérité. Je le fus; je m'en corrigeai en 1746, et je m'en repentis en 1747. De tout le temps que j'ai perdu en ma vie, c'est sans doute celui-là que je regrette le plus.
Seite 412 - ... fonctions que je n'ai cru convenables qu'à des subalternes auprès des passagers qui se trouvent dans votre département. M. l'abbé Gaultier 2 avait commencé par m'écrire sur le bruit seul de ma maladie; il était venu ensuite s'offrir de lui-même, et j'étais fondé à croire que, demeurant sur votre paroisse, il venait de votre part.
Seite 362 - J'aurais bien pu le lui rendre ; j'étais aussi malin que lui, mais j'étais plus occupé. Il a passé sa vie à boire, à chanter, à dire des bons mots, à faire des priapées, et à ne rien faire de bien utile. Le temps et les talents, quand on en a, doivent, ce me semble, être mieux employés. On en meurt plus content.