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Livraison de juillet.

I. Du mode par lequel les hommes sont arrivés à la connaissance de Dieu.

II. Discours de M. Tegner, évêque (luthérien) de Wexio en Suède, à son synode, en septembre 1836.

Dénonciation curieuse des progrès du rationalisme et de l'anarchie intellectuelle dans cette église lointaine.

III. De la réimpression d'un ancien livre de miracles.

Cet article, dû à la plume savante et spirituelle de M. Golběry, député du Haut-Rhin, est une noble réhabilitation des légendes et des traductions catholiques, si maladroitement procrites depuis deux siècles par l'esprit gallican et janséniste.

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I. Sur la prédication catholique.

II. Sur le dernier écrit de M. Baader, intitulé : << Peut-on émanciper le catholicisme de la dictature romaine en matière théologique ? »

Ce travail nous révèle un fait affligeant, mais peu surprenant, la défection de M. Baader, qui avait été pendant un temps l'honneur de la philosophie catholique en Allemagne. Comme M. de Lamennais, Baader s'est perdu par l'orgueil et l'attachement outré à ses prétendues découvertes: il faut le plaindre d'avoir choisi, pour trahir et renier son vieux drapeau, le moment où l'Église d'Allemagne se couronnait d'une gloire inattendue.

III. Histoire du premier concile œcuménique à Nicée.

IV. Situation du catholicisme en Suisse.

Dans ce tableau détaillé des outrages et des persécutions que la démocratie suisse inflige à l'Église, nous trouvons, entre autres curiosités, le considérant suivant d'un ariệt rendu le 31 janvier 1839, contre un curé fidèle à ses devoirs : « Attendu que le libre exercice de la religion catholique et la liberté entière de conscience, garantis par la constitution de Glaris, signifient que, dans ce pays de Glaris, le pape et les évêques n'ont rien à voir ni à commander. »... Il est impossible de mieux traduire les doctrines soutenues, d'une manière plus voilée, par MM. Isambert, Dupin, Hello, etc. Bibliographie.

1. Des principes de l'éducation et de l'instruction, par le docteur BUCHNER, profes

fesseur de théologie à Munich.

catholique de la Bohême, a essayé d'introniser le rationalisme dans la théologie; mais il n'a heureusement trouvé qu'un petit nombre d'adhé

rens.

3. Manuel des catéchistes, par le docteur TOMEK. Prague, 1837.

Chaque livraison contient en outre l'appréciation de plusieurs livres de piété et de sermons, récemment publiés, ainsi qu'un supplément fort étendu, qui donne les nouvelles ecclésiastiques et diverses pièces officielles.

Nous profiterons de cette occasion pour exprimer aux savans rédacteurs du Catholique le regret que nous éprouvons de ne pas les voir consacrer une portion de leur recueil à l'examen des nombreuses et importantes publications historiques, qui font l'honneur de l'Allemagne moderne, et qui touchent presque toutes de très près aux intérêts du catholicisme.

MANUEL DES PRINCIPALES CONFRÈRIES, et autres Pratiques de Piété à l'usage des âmes pieuses, par M. B......, curé de Saint-Amans; approuvé par monseigneur l'archevêque d'Albi. Un gros vol. in-18, orné de 8 figures, couverture imprimée, caractère neuf; prix : broché, 1 fr. 50.

Un prêtre du diocèse d'Albi a eu l'heureuse idée de réunir en un petit volume tout ce qu'il importe de savoir sur les indulgences, les principales confréries, et autres exercices de piété en usage parmi les fidèles. Des recherches scrupuleuses ont été faites pour découvrir l'origine de ces diverses associations et pratiques, et faire connaître les gråces et priviléges qui y sont attachés. Si ce but, comme nous l'espérons, est heureusement atteint, il en résultera cet avantage pour les âmes pieuses, qu'elles trouveront réuni dans un seul ouvrage ce qu'elles sont journellement obligées de chercher dans une foule de petits livres. Beaucoup de variété devra par conséquent régner dans celui-ci. Après les prières liturgiques, vient une messe votive de la Vierge et la messe quotidienne des morts; un traité sur les indulgences; deux chemins de croix, dont l'un venu récemment de Rome, avec des fruits pratiques à la fin des stations; tout ce qui se rapporte aux principales confréries, c'est-à-dire leur origine, statuts, prières et indulgences, un exercice pour la confession et la communion, vepres et complies du dimanche, le petit office de la Vierge, prières pour le salut, etc. On y a joint cinq neuvaines de préparation aux fêtes principales de la Sainte-Vierge, conformes à l'usage qui se pratique à Rome dans un grand nombre d'églises, et traduites sur un recueil de prières et d'indulgences, imprimé par ordre de la sacrée congrégation des indulgences.

L'éditeur, ne voulant rien négliger afin que cela soit une offrande agréable au clergé et aux âmes pieuses, a fait lithographier huit sujets religieux,

2. Logique de Bolzano, 4 v. 1837. M. BOLZANO, prêtre tels que le Rosaire, Notre-Dame-Auxiliatrice, le

Sacré-Cœur, etc., qui ajoutent beaucoup à la beauté typographique de l'ouvrage.

Monseigueur l'archevêque d'Albi a bien voulu l'honorer de l'approbation la plus flatteuse, et le recommander pour son diocèse.

tion au pape Grégoire XVI. Il règne dans tout ce récit un élan de joie respectueuse et naïve, un accent de tendresse filiale, dont il est impossible de ne pas se sentir ému. On s'unit par la pensée au bonheur de l'humble prêtre, venu de loin pour s'a

A Castres (Tarn), chez Charrière, libraire-éditeur, genouiller aux pieds du pontife suprême, de l'auet à Paris, chez Pélissonnier.

MES VACANCES EN ITALIE, par M. l'ABBÉ CH, MOREAU, vicaire de Notre-Dame de Paris (1).

Sous un titre assurément très modeste, sous les formes les moins prétentieuses, M. l'abbé Moreau nous a donné un livre attachant, et qui mérite d'être distingué au milieu de tant de publications dont l'Italie a été l'objet ou le prétexte. Il ne s'agit pas ici d'un de ces touristes, comme on les appelle, incessamment jaloux de faire briller la supériorité de leur esprit, et, dans le récit de leurs explorations, se préoccupant bien plus d'eux-mêmes que des contrées qu'ils décrivent. Après un voyage dès longtemps projeté et qui lui a laissé de vives impressions, M. l'abbé Moreau dit ce qu'il a vu, ce qu'il a observé; il le dit dans un style rapide, chaleureux, que déparent à peine quelques négligences; il le dit surtout avec un accent de vérité, rare de nos jours, et qui va droit à la confiance du lecteur, si souvent obligé de se tenir en garde contre les admirations banales et convenues ou les dénigremens systématiques.

Ainsi qu'on devait s'y attendre, la ville des pontifes a, plus que tout le reste, captivé l'attention du pieux voyageur. Pour un ami de l'antiquité savante, pour un chrétien, pour un prêtre, quel pays peut être comparé à Rome? M. l'abbé Moreau a étudié Rome dans son passé et dans son état présent, dans ses monumens religieux et profanes, dans ses solennités catholiques, dans sa littérature et ses arts, dans le caractère et les mœurs de sa population. Il nous serait facile d'indiquer un grand nombre de chapitres remplis d'un haut intérêt ou d'observations neuves et piquantes. Peu de livres donnent une idée aussi exacte de la cité-reine, et apprennent aussi bien à la connaître.

En parlant de Rome et de ceux qui l'habitent, M. l'abbé Moreau a plus d'une occasion de réfuter des opinions erronées propagées par certains de ses devanciers. C'est ainsi que se rencontre parfois sous sa plume le nom du président Dupaty, nom jadis célèbre et maintenant presque oublié. Qui songe aujourd'hui à demander des appréciations sérieuses et vraies aux fameuses Lettres sur l'Italie? Y cherchet-on autre chose, si on le lit, que quelques explications assez brillantes, quelques tableaux assez énergiquement tracés?

L'auteur raconte en termes touchans sa présenta

guste vicaire de Jésus-Christ, et recueillant avec transport ses si bienveillantes et si paternelles paroles.

En résumé, M. l'abbé Moreau a bien employé ses vacances; et le public ne peut que lui savoir gré d'en avoir retracé les souvenirs.

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Cet ouvrage destiné aux mères de famille chrétiennes ne saurait leur être trop recommandé. Elles y trouveront d'utiles conseils dictés par l'expérience d'une vie longue et sainte. C'est comme un legs que le vénérable auteur avait voulu faire au pays de son exil, à la terre où ses travaux avaient été couronnés de tant de succès, et la France devait avoir sa part dans un pareil héritage. Nous remercions M. l'abbé Bussau de ce qu'il l'a réclamée en traduisant cet excellent livre, qui à beaucoup d'autres mérites joint le premier de tous pour un ouvrage de ce genre, celui d'être entièrement pratique. M. Pre mord a pris le monde tel qu'il est, et c'est aux méres dont les enfans vivront un jour ou vivent déjà au milieu du tourbillon qu'il adresse des avis applicables à toutes les positions et presque à toutes les circonstances.

MANUEL DES RELIGIEUSES DE LA VISITATION, ouvrage utile à toutes les personnes pieuses; 1 vol. in-18. A Paris, chez Lagny, frères, rue Bourbonle-Château, 1.

On trouvera dans ce petit ouvrage les meilleurs conseils et les meilleurs exemples pour faire naître et entretenir une vraie et solide piété.

SAGESSE DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE DANS LA CANONISATION DES SAINTS, par M. HENRI DE BONALD; vol. in-18 de 104 pages. Paris, à la Société de Saint-Nicolas, rue de Sèvres, 39. Prix 78 c.

Les gens du monde trouveront dans cet opuscule une excellente justification de toute la conduite de

(1) Théod. Leclerc, parvis Notre-Dame, 22; l'Église dans l'acte si solennel et si imposant de la Gaume frères, rue Pot-de-Fer, 5.

canonisation des saints, Les chrétiens eux-mêmes y

apprendront avec fruit bien des choses qu'ils igno- | racles, de la vie des Saints, de leur gloire, étc., ét

rent, et qui augmenteront la foi et la piété envers ceux dont l'Église permet de réclamer l'assistance. L'éditeur y a joint un appendice qui traite des Mi

une excellente Notice sur la béatification et la canonisation des Saints, extraite du grand ouvrage de Benoît XIV.

AUX ABONNÉS DE L'UNIVERSITÉ CATHOLIQUE.

Selon notre habitude, nous allons, en peu de mots, résumer les travaux de ce volume de l'Université, et faire connaître ceux qui doivent entrer dans le volume suivant.

Nous commencerons d'abord par nous féliciter de voir que M. l'abbé Gerbet ait pu reprendre ses travaux dans les numéros d'octobre et de novembre; il continuera, dans les cahiers qui vont suivre, à nous faire part des impressions qu'a faites sur son âme cette ville de Rome, qui offre à tous les esprits quelque point de vue nouveau et jusque-là inaperçu. Les articles de M. l'abbé Gerbet formeront un tableau dans lequel la plupart des monumens de Rome passeront successivement sous les yeux de nos lecteurs, avec des explications ou des commentaires qui permettront de leur faire connaître les monumens les plus importans du Christianisme et les principaux dogmes de notre croyance.

M. L'abbé de Salinis s'excuse ici de n'avoir pu apporter son tribut à la rédaction de l'Université; mais il réparera cette lacune dans le prochain volume, où il compte donner au moins trois leçons.

On a continué à nous féliciter du Cours de M. Douhaire sur les cycles des apocryphes. Ce cours touche à sa fin, et il sera terminé dans le volume qui va suivre; ce qui permettra à son auteur d'en commencer un autre, qui ne cédera en rien d'intérêt et d'importance à celui qui l'aura précédé. M. Douhaire est un écrivain que la science catholique réclame, et qui aussi lui a consacré sa plume et ses études.

Toutes les personnes qui aiment à connaître l'histoire de notre pays dans ce qu'elle a de plus intime et de plus relevé, tous les Français qui aiment à suivre les progrès que le Christianisme a fait faire à la civilisation française, lisent avec

fruit et plaisir les articles de M. Dumont. Cet habile professeur continue à travailler pour l'Université, et une nouvelle leçon sera publiée dans le numéro de janvier.

Les vacances et un voyage assez long n'ont pas permis à M. de Coux de donner plus d'une leçon; mais ce cours sera plus suivi dans le prochain volume, et nous avons entre les mains un de ses articles.

Les leçons de M. Desdouits sur l'astronomie, en devenant moins techniques et plus historiques, ont permis à ce savant professeur de déployer son érudition, qui est si grande, et le rare talent d'analyse qu'il possède. Ce cours, qui tire vers sa fin, sera suivi presque sans interruption, et nous permettra d'en commencer un autre sur les sciences physiques.

M. de Moy a enfin repris ses profondés et savantes leçons sur le droit, et il nous promet de les continuer sans interruption. Ce cours, avec celui de M. de Riancey, que nous annonçons plus bas, formera un tout qui fera bien connaître à nos lecteurs la partie théorique et la partie pratique de la législation de l'Eglise.

Le Traité de Psychologie de M. Steinmetz passe à bon droit parmi nos lecteurs pour un essai entièrement neuf sur une des questions les plus relevées et les plus importantes de la philosophie, et que cependant jusqu'à ce jour on avait totalement négligée.

Le Cours de droit criminel de M. Du Boys, à mesure qu'il se rapproche des temps plus voisins du Christianisme, acquiert plus d'intérêt et plus d'importance. Son auteur le continuera aussi sans interruption. M. Du Boys est un jeune magistrat qui, dans la retraite honorable qu'il s'est faite, a consacré sa plume à la cause catholiqué, et ne se laissera

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entraîner par aucune considération à aller porter dans d'autres revues le fruit de ses travaux. Uni à nous de croyance, d'amitié, de sympathie, il ne cessera de consacrer ses études à l'Université.

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une mine toute neuve à exploiter. Ce ne sera point, au reste, l'histoire des Conciles et des Papes, faite déjà plusieurs fois; l'auteur recherchera dans chacun de ces monumens ce qui a rapport au dogme, à la morale, à la discipline, l'art; il exposera quelles étaient les erreurs ou les mœurs de l'époque par les lois qui les réprimaient ou les dirigeaient. Le premier article paraîtra dans le mois de janvier.

Le second cours sera sur l'Histoire de l'antiquité. L'auteur, M. Henri de Riancey, essaiera surtout de faire voir comment, dans le dernier siècle, on a dénaturé cette histoire. En considérant les peuples, leurs erreurs et leurs croyances séparément, sans les comparer entre elles, sans remonter à leur origine, les

Au nombre de nos plus infatigables rédacteurs, nous devons aussi faire entrer M. Cyprien Robert, le pélerin de la science catholique, qui parcourt le monde oriental, faisant connaître notre foi au peuple assis dans le schisme, et communiquant à ses frères d'Occident les beautés de cette architecture chrétienne, que nos frères séparés conservent soigneusement, mais dont ils ne comprennent plus le symbolisme depuis qu'ils se sont séparés de ce centre d'unité qui explique tout, qui vivifie tout. Nous venons de recevoir de lui une lettre datée d'Argos, dans laquelle il nous parle des disposi-historiens ont séparé tous ces peuples au tions générales qu'il a rencontrées dans toutes les populations qu'il a visitées, pour revenir à l'unité et à la foi primitives. Son voyage n'aura pas été inutile à cette grande manifestation. Son cours sur l'architecture des églises de Russie nous est arrivé complet, etsera continué avec assiduité et peut-être achevé dans le volume suivant.

Enfin, le cours sur l'Histoire de l'état monastique de M. Chavin, a fait connaître une source à peu près inexplorée jusqu'ici de l'influence du Christianisme sur la civilisation. On nous a fait sur ce cours une observation à laquelle l'auteur aura égard; mais l'on s'est accordé à louer les recherches qu'il a nécessitées, et la manière tout à la fois intéressante et curieuse dont elles sont mises en œuvre. Voilà ce qui a été fait et ce qui sera continué. Pour le volume suivant, nous annoncerons en outre deux cours nouveaux : le premier sur l'Histoire législative de l'Eglise, par C. de Riancey. Les décisions des conciles et des papes ont eu une immense influence sur toute la civilisation depuis la venue de Jésus-Christ: or, on s'est peu occupé de cette influence dans les histoires modernes : c'est donc

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lieu de les réunir et ont ainsi semé les doutes que le dix-huitième siècle a élevés contre la Bible.

Quant à la Revue de l'Université, on s'est accordé à louer la direction qui lui a été imprimée et le choix des matériaux qui y sont entrés. Deux personnes, il est vrai, auraient voulu qu'elle occupat plus de place; mais plusieurs abonnés d'autre part en ont réclamé une plus grande pour les cours. Nous ne pouvons que maintenir la ligne que nous avons suivie, c'est-à-dire que la revue et les cours se partageront toujours à peu près les pages de l'Université.

Tels sont nos projets pour l'avenir; nous espérons qu'ils seront appréciés de nos lecteurs et qu'ils voudront bien continuer à nous soutenir de leur suffrage et de leurs conseils. L'Université catholique a presque parcouru la moitié de sa carrière, et tiendra toutes les promesses qu'elle a faites; elle compte sur ses lecteurs pour les mener à bonne fin, et produire ainsi le bien qui est dans la pensée des directeurs, des rédacteurs et de ses lecteurs.

LES DIRECTEURS DE L'Université.

FIN DU HUITIÈME VOLUME.

TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES.

(Voir la Table des articles au commencement du volume. )

A

Abbaye de Cluny. Son histoire, 291.

Abbaye. Tableau des ruines de celle de Crowland. 65.

Aignan (saint), évêque d'Orléans. Sa vie. 309. Albert-le-Grand. Extrait de sa Vie des saints de Bretagne. 140.

Albigeois et leur hérésie. 432.

André (le père), jésuite. Étude sur sa vie. 382. Architecture des églises de Russie. 104. 425. Archives curieuses de l'histoire de France, par M. Danjou. 160.

Arménie. État du Catholicisme dans ce pays. 362. Astronomie (cours d'). 12° leçon, 248. 13 leçon,

414.

Athènes. Sa législation comparée à celle de Rome. 26.

Audley (M.). Analyse de l'ouvrage sur Innocent III. 271. 432.

Axinger (l'abbé). Notice sur Moehler, 462.

B

Basile (saint). Sa vie et sa règle. 182.
Bauta1n (M.). Examen de sa psychologie. 127.
Belleval (M.). Sur les institutions de charité. 150.
Bernard (saint). Son é oge. 305.

Bonald (Henri de). Annonce de son ouvrage, Sagesse de l'Eglise catholique, etc., 475.

Boré (Eugène). Lettre d'un voyageur catholique. 362.

Bretagne (sa description ). Voir de Condé.

Bruno (saint). Histoire abrégée de la fondation de la Chartreuse. 301.

Bulletin des annali delle scienze religiose, par l'abbé de Luca. 160.

Cathares. 455.

C

Cerfbeer (M.). Rapport sur les prisons; voir Pri

sons.

Charité (Premier établissement de). Voir Parabolani.
Chartreuse. Tableau de ce lieu célèbre. 304.
Chavin (Émile). Cours d'histoire des ordres mona-
stiques. 15. 182, 405,

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