Oeuvres complètes, Band 6Pourrat, 1832 |
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Anglois aristocratique armée Artevelle avoient avoit Barbares bataille Blois Bourbon bourgeois Bourgogne cardinal cardinal de Guise catholique cents Charlemagne Charles de Blois Charles IX Charles VII château chef chevalerie chevaliers comte connétable couronne Crécy d'Angleterre d'Édouard dame déja devoit Dieu disoit duc de Guise Édouard ennemis états étoient étoit ÉTUDES HISTORIQUES eût évêques faisoient faisoit falloit femme féodalité fief fille fils Flandre François Ier Franks frère gentilshommes Geofroy d'Harcourt gloire guerre Henri Henri III Henri IV hommes d'armes huguenots Hugues Hugues Capet Jean justice Karle Khlovigh l'armée l'Église liberté Ligue Louis XIV main maréchal Mauny ment mille mœurs monarchie absolue monarque mort Moyen-Age n'avoit n'étoient n'étoit nation Navarre nobles noblesse Normandie pape passé Peppin père peuple Philippe Poitiers politique portoit pouvoit premier prince de Galles race règne révolution rois romaine royaume saint Louis sang seigneur seroit seul siècle sire soldats terre tion trône Valois vassaux venoit vouloit
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Seite 440 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance ; Et le mien , quand ton bras vient de m'assassiner , M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Seite 221 - D'une imagination vive, et néanmoins mélancolique, d'une humeur aussi mobile que leur caractère est obstiné, les Bretons se distinguent parleur bravoure, leur franchise, leur fidélité, leur esprit d'indépendance, leur attachement pour la religion, leur amour pour leur pays. Fiers et susceptibles, sans ambition , et peu faits pour les cours , ils ne sont avides ni d'honneurs ni de places. Ils aiment la gloire , pourvu qu'elle ne gêne en rien la simplicité de leurs habitudes; ils ne la recherchent...
Seite 547 - Henri IV avoit dit à Armand de Gontaud baron de Biron : C'est à cette heure qu'il faut que vous mettiez la main droite à ma couronne ; venez-moi servir de père et d'ami contre ces gens qui n'aiment ni -vous ni moi.
Seite 13 - j'ai une grande nouvelle à t'annoncer, si tu me « veux conduire dans un lieu où je te puisse parler «en secret.» — «Parle,
Seite 573 - Trois degrés d'élévation du pôle renversent toute la jurisprudence, un méridien décide de la vérité ; en peu d'années de possession...
Seite 508 - Mais est-il bien vrai au moins? Ce méchant, ce perfide, ce tyran est-il « mort? Dieu, que vous me faites aise! Je ne suis marrie que d'une chose; « c'est qu'il n'ait su, avant de mourir, que c'est moi qui l'ai fait faire.
Seite 502 - Tous avoient l'écharpe blanche , et « lui vêtu en soldat, le pourpoint usé sur les épaules et « aux côtés de porter la cuirasse ; le...
Seite 45 - Treize fours produisaient chacun, par an, dix sous d'or, trois cents pains et trente gâteaux, dans le temps des Litanies. La cure de Saint-Michel donnait un revenu de cinq cents sous d'or, distribués en aumônes par les frères de l'abbaye. Le casuel des enterrements des pauvres et des étrangers était évalué, année courante, à cent sous d'or, également distribués en aumônes.
Seite 573 - Ce chien est à moi , disaient ces pauvres enfants; c'est ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Seite 50 - L'abbaye, pour le répéter, n'étoit donc qu'une maison romaine; mais cette maison devint bien de mainmorte par la loi ecclésiastique, et acquit par la loi féodale une sorte de souveraineté : elle eut sa justice, ses chevaliers et ses soldats ; petit État complet dans toutes ses parties, et en même temps ferme expérimentale, manufacture (on y faisoit de la toile et des draps) et école.