milles, dont les unes sont très-rapprochées par les nouds du sang et de l'amitié, qui se mêlent dans ces réunions, où assistent les pères et les mères, et les autres ont entre elles des rapports de convenances sociales qui imposent aux jeunes gens un certain respect mutuel, elle peut encore être excusée. Aussi Rousseau a-t-il plaidé pour elle. Nous n'ignorons pas que des voix éloquentes se sont élevées pour condamner cet exercice, et tout le monde a lu la vigoureuse sortie du comte de Bussy-Rabutin contre la danse. Mais il parlait de ces assemblées où tout conspire à enflammer l'imagination, à séduire les sens, de ces éblouissantes mêlées où la voix des vieillards perd toute autorité sur les enfants, et il n'entrera dans l'esprit de personne de vouloir justifier les écoles du vice. Si la danse était mauvaise en elle-même, nous ne croyons point que Fénelon l'eût permise, ni qu'on eût vu paraitre au milieu d'un bal cet archevêque de Paris, venant solliciter la pitié des heureux du monde pour des infortunés (1). (1) Nous avons cité dans la première édition de cet ouvrage la prétendue repartie adressée par le vertueux archevêque de Cambrai à un curé qui venait de prêcher contre la danse. De plus amples informations nous ont démontré que le mot qu'on lui a prêté dans cette circonstance vient probablement de la même source que le fameux couplet commençant par ce vers: Jeune, j'étais trop sage. Ce mot n'est rien moins qu'authentique. Il en faut dire autant de l'autorité de saint François de Sales, trop souvent alléguée par les partisans de la danse. De la lecture attentive des OEuvres de ce grand évêque il résulte qu'il ne l'a jamais permise, ou que, s'il l'a permise, c'est avec de telles restrictions que si les amis les plus passionnés de la danse, telle qu'elle s'exécute aujourd'hui presque partout, avaient à les ratifier par leur conduite, ils en deviendraient aussitôt nécessairement les adversaires les plus déclarés. On conçoit que pour mesurer à l'égard de chacun, l'étendue des dangers dont elle devient la source, il faut tenir compte de bien des circonstances particulières qu'un directeur des consciences peut seul apprécier d'une manière compétente, à savoir, l'état des niceurs dans telle localité, l'âge, le sexe, le tempérament, la puissance ou la frivolité du caractère, etc., etc. Nous ne craignons pas de le dire, parce que nous le savons de source certaine : le comte de Bussy-Rabutin n'est pas le seul homme du monde qui, parvenu à cet âge où les illusions du monde se dissipent et laissent mieux voir la réalité des choses, ait hautement déposé contre la danse et ses effets. Aux personnes qui demanderaient encore avec sincérité si dans cet exercice est nécessairement renfermé comme dans son germe l'indifférence religieuse, le mépris de la loi, le relâchement des mœurs, que l'on rappelle la réponse de Bourdaloue à cette dame qui s'informait de lui si la fréquentation des spectacles pouvait jeter quelque désordre dans l'âme : Madame, c'est à vous de me l'apprendre. La mode, la coutume, l'entrainement universel, voilà le plus fort argument qui se puisse alléguer, à défaut de bonne et grave raison, en faveur de la danse. C'est saint Jean Chrysostome, c'est le plus sublime peut-être des Pères de l'Eglise, celui qui mérita d'être surnommé bouche d'or, qui s'est chargé de le réfuter. « Je sais, disait-il ( homil. 22), « je sais qu'en reprenant les danses et en voulant les abo«lir, je paraîtrai ridicule à plusieurs, et qu'on m'accusera « de manquer d'esprit et de sens, cependant je ne puis garder le silence sur cela. Peut-être que, si tous ne reçoivent pas bien ce que je suis obligé de dire, au moins « quelques-uns en profiteront, et aimeront mieux être raillés avec nous que de se moquer et de rire de nous, mais d'un rire digne de larmes et des plus grands supplices. Je souffrirai donc de devenir l'objet des railleries de « plusieurs, pourvu que mon discours puisse porter quelque fruit.» Saint Augustin a dit quelque chose de plus formel encore. Ecoutons-le. « Il vaudrait mieux labourer la terre dans les saints jours que se livrer à la danse. • Melius tota die foderent quam tota die saltarent.» Et pourtant le travail dans les spints jours est maudit de Dieu ! Il existe un autre moyen de réunion peu dispendieux, et qui trouve des sympathies dans toutes les conditions de la société : nous voulons parler de la musique. Dans les villes de garnison, où la musique des régiments est dans l'usage de se faire entendre sur les promenades publiques certains jours. de la semaine, on sait qu'elle ne manque jamais d'attirer la foule. Il en est de même des grandes fêtes religieuses où l'Eglise ne dédaigne pas de relever par d'harmonieux concerts la pompe de ses cérémonies (1). Dans l'antiquité, l'on avait remarqué les heureux effets de la musique sur les populations assemblées, et les écrivains de la Grèce lui ont attribué une importance singulière (2). Montesquieu pense que le goût et la pratique de cet art n'était si vif et si répandu chez les Grecs que, parce que, ne pouvant, à cause du discrédit attaché à l'agriculture, se livrer à cette profession, ni faire le commerce et cultiver les arts, qu'ils abandonnaient aux esclaves, ils ne trouvaient à occuper leurs loisirs que dans les exercices qui dépendaient de la gymnastique et dans ceux qui leur offraient des rapports ou des analogies avec la guerre. Il faut donc, ajoute le même auteur, regarder cette nation comme une société d'athlètes et de combattants. Or ces exercices, si pro-pres à faire des gens durs et sauvages, avaient besoin d'être tempérés par d'autres qui pussent adoucir les mœurs, tels que la musique. Montesquieu remarque que s'il y avait parmi nous une société d'hommes passionnés pour la chasse, au point de s'y adonner sans relâche, ils ne manqueraient pas de contracter une certaine rudesse, que la musique, s'ils en prenaient le goût, suffirait pour convertir aux formes de l'urbanité (3). Mais l'hypothèse de l'auteur de l'Es (1) Des voix rigoristes, pour ne rien dire de plus, se sont élevées contre l'emploi de la musique dans les églises, comme ayant quelque chose de trop mondain. Nous leur répondrons par les lignes suivantes d'un abbé de la Trappe, dont le témoignage ne peut être suspect. «Dans cette église (celle de Saint-Roch, à Paris), la plus belle harmonie préside au chant des cantiques sacrés, et les voix les plus douces, les instruments les plus variés s'unissent aux sons graves et prolongés de l'orgue qui fait vibrer les voûtes du temple. On croirait entendre la musique des anges; piége innocent que le zèle du pasteur tend à la curiosité d'un grand nombre de personnes. Tel qui n'était venu que pour entendre la musique, voyant ensuite monter en chaire un prédicateur célèbre, se trouve comme forcé de prêter aussi l'oreille à sa voix; il l'écoute, il le goûte, et la soif de la justice succède insensiblement à celle des plaisirs. » (Voyage de la Trappe à Rome, par le baron Géramb, lettre IV, p. 59.) (2) Platon soutient, par exemple, qu'on ne pent faire de changement dans la musique qui n'en soit un dans la constitution de l'Etat, et Aristote qui, suivant Montesquieu, semble n'avoir fait sa Politique que pour opposer ses sentiments à ceux de Platon, est, pourtant d'accord avec lui touchant la puissance de cet art sur les moeurs. Théophraste, Plutarque, Strabon, tous les anciens ont pensé de même. (3) Voyez l'Esprit des lois, liv. IV, ch. VIII.-M. Appert, dans son ouvrage intitulé: Bagnes, prisons et criminels, reconnaît aussi l'influence de la musique. Voici comment il en parle: Je crois que la musique, introduite dans les prisons comme meyen d'adoucir les mœurs, produirait d'excellents résultats: madame de Staël a dit que rien n'était plus propre à élever l'âme. L'harmonie renferme en elle quelque chose de suave et de mystérieux qui dispose prit des lois n'est-elle pas en quelque sorte réalisée chez ces hommes qui se livrent à des travaux matériels et pénibles, dont l'effet serait, à la longue, d'émousser dans leur âme les affections tendres et les sentiments délicats? Si le travail continu des mains endurcit un homme, cela n'est pas moins vrai dans le sens moral que dans le sens physique. La musique réveille agréablement l'esprit de l'espèce de torpeur où il a été plongé, et jamais aussi des concerts ménagés pour procurer au peuple un délassement, qui est pour lui une véritable fête, ne le laisseront froid et indifférent. Au surplus, nous n'avons pas la prétention de déterminer les divertissements convenables, et qui peuvent varier selon les circonstances. Nous en avons nommé quelques-uns, afin de faire voir qu'à très-peu de frais on établirait facilement partout des lieux de réunion qui, en détournant des œuvres serviles, le dimanche, fortifieraient et multiplieraient les relations des familles et des peuples, et les rattacheraient aux chefs de l'Etat. Nous avons la conviction que ces assemblées serviraient aussi la morale. L'ouvrier abandonne la tâche illicite qu'il s'est imposée, du moins aux heures de ces réunions. Une partie du jour étant accordée au repos, il ne serait pas éloigné de lui donner l'autre. Ayant conduit ou devant conduire sa femme à ces assemblées, il la suit plus volontiers aux solennités de l'Eglise, avec sa famille, et s'accoutume à remplir ses devoirs religieux. Le temps s'écoule de cette manière, et, la réforme s'étant accomplie sans qu'il s'en soit presque aperçu, il se surprend à trouver encore sa soirée heureuse, et il s'attache par un sentiment plus vif et plus profond à sa femme qui, d'ordinaire plus pieuse que lui, le convie à de nouvelles jouissances, à sa jeune famille qu'il aime a voir folâtrer autour de lui, à ses habitudes de repos réglé qui lui rendront plus doux la vie et le travail.' Plusieurs villes ont fondé des écoles gratuites où les ouvriers vont, le dimanche, principalement dans les longues soirées de l'hiver, s'initier aux éléments des sciences dont ils ont à réaliser les applications dans l'exercice de leurs métiers. En quelques lieux on ne néglige point de leur parler de la morale: on ne peut qu'applaudir fortement à celte généreuse innovation. Une mesure qui hâterait et faciliterait la réforme que nous sollicitons, partout où elle est nécessaire, une mesure de la plus haute importance, qu'appellent tous les gens de bien, et qu'on est en droit d'attendre T'esprit à la mansuétude, et je suis convaincu qu'un homme vraiment musicien aurait, généralement parlant, moins de chances de mal tourner ou de commettre une mauvaise ction. Dans tous les cas, en supprimant même la question de morale qu'on pourrait soulever à cette occasion, et qui, je crois, viendrait à l'appui de notre opinion, la question d'humanité n'en demeure pas moins entière et positive. Il est du devoir de l'homme compatissant de soulager les infortunes de ses semblables, soit en améliorant leur sort, soit en tachant de leur en faire oublier l'amertume; et la musique serait, sans contredit, une source de bien-être et de consolation >> du gouvernement qui a supprimé les loteries et les maisons de jeux, c'est l'abolition des maisons de débauche, et la suppression ou du moins la réduction des cabarets. Cette mesure, les progrès de notre civilisation la réclament impérieusement. Ne sachant où il irait le lundi perdre sa raison, sa santé, son argent, l'ouvrier se reposerait encore plus volontiers le dimanche, et cette disposition de son esprit laisserait à la femme une plus grande facilité pour le rappeler au culte. Ce serait un touchant spectacle que celui d'une constitution sociale, où des femmes feraient tourner au profit de la vertu l'empire que des femmes faisaient valoir dans l'intérêt du vice. Quels résultats n'amènerait pas pour l'avenir ce changement de sentiment moral dans les pères, de conduite dans l'intérieur des maisons ! Nous avons insisté sur le bien immense que le gouvernement pourrait opérer, sans mesures coërcitives que ne comporterait pas l'état de nos mœurs, en régularisant le repos et les plaisirs du septième jour. Mais qu'il s'en occupe ou non, ce bien peut encore s'obtenir par le seul concours des particuliers. Que les hommes de toutes les professions qui se distinguent de leurs confrères par une raison plus éclairée et une sagesse plus mûre, et qui sont par conséquent à même de mieux juger de la vérité des avantages physiques et moraux qui découlent de l'observation du dimanche, que ces hommes, disons-nous, en donnent l'exemple. Qu'ils exhortent les autres à faire que le dimanche redevienne un jour de fête ; qu'ils les engagent à échanger ce jour-là l'air renfermé et corrompu qu'ils respirent incessamment pour l'atmosphère saine et spacieuse des promenades; les familles se verront, se rencontreront nécessairement, et l'on reconnaîtra bientôt combien d'heureuses réformes devaient être la conséquence de celle-là. Un bonheur réel et durable sera, pour ceux qui auront le courage de s'y résoudre, le prix du sacrifice de leurs habitudes honteuses; ils trouveront du moins infailliblement cette satisfaction de l'âme, cette paix de la conscience incompatible avec les désordres d'une vie sans principes et sans règle; et cette paix, ils la répandront autour d'eux. Ainsi les fêtes, pour nous servir de l'expression d'un écrivain moderne, seront dans la navigation de la vie, ce que sont les îles au milieu de la mer, des lieux de rafraîchissement et de repos (1). Les délassements que nous avons indiqués sont de ceux qui unissent surtout les familles entre elles par le lien moral et rcligieux. Les fêtes nationales, proprement dites, qui ont pour objet, soit l'anniversaire d'un grand événement politique, soit l'inauguration d'un monument destiné à rappeler un fait glorieux, ou érigé à la mémoire des grands citoyens, sont encore des moyens d'at (1) Bernardin de Saint-Pierre, Suite des vœux d'un solitaire. TABLE DES MATIERES. teindre le même but. Elles offrent des occa- sions de frapper vivement l'esprit du peuple el de lui communiquer de salutaires im- pressions. Lorsqu'aux portes de la capitale, une foule innombrable assistait à l'inaugu- ration de l'arc de triomphe de l'Etoile, qui ne se fût ému de cette fierté qui semblait être devenue un sentiment unanime, et qui faisait regarder avec orgueil la gloire des soldats inscrits sur la pierre, ainsi qu'un héritage commun que tous devaient soutenir dignement lorsque le signal des combats viendrait à Oh non! elles ne sont pas vaines Les nobles fêtes de l'honneur (1)! Dans les provinces, ces anniversaires et ces fêtes, que l'on renvoie généralement au dimanche, fournissent les mêmes occasions de réveiller les idées grandes et généreuses. Malheureusement les orages qui ébranlèrent notre édifice social ont laissé dans les cœurs des levains de discorde, en scindant les opi- nions et les intérêts. Espérons que la reli- gion et l'éducation morale effaceront avec le (1) Evariste Boulay-Paly, poeme couronné par l'Aca- démie française. 1270 temps jusqu'aux derniers vestiges de nos Tant il est vrai que Dieu se sert des cau- CHAP. II. Sir Godefroy Kneller et saint Pierre. Diverses espèces de protestantisme.-Résolution de choi- sir le meilleur.—Adieux aux abominations papistes. 12 CHAP. III. - Je commence par le premier siècle. CHAP. IV. — Vision d'Hermas.-Jenne hebdomadaire. - Bonnes œuvres. Le recteur de Ballymudragget. Le recteur n'est pas partisan du jeûne. Comparaison CHAP. V. Second siècle.-Saint Justin martyr. Transsubstantiation. Saint Irénée. Suprématie du Sacrifice de la messe. Tradition orale. - Le CHAP. VI. Usage de faire le signe de la croix. rait de nouveau. — Saint Cyrille de Jérusalem, Cyprien,-saint Jérôme, saint Chrysostome, Tertullien.50 CHAP. XI. Discipline du secret. On cache la doc- trine de la présence réelle. Saint Paul, saint Clément d'A- lexandrie. Constitutions apostoliques. cipline du secret a-t-elle été le plus observée? Dogme de la Trinité. - Saint Justin, saint Irénée. Hétérodoxie apparente des Pères du troisième siècle. Elle s'explique par la discipline du secret. Tertullien, -Origène, -Lactance, etc. CHAP. XIII. - Dogme de l'incarnation. que Jésus-Christ lui-même y a attachée. -Saint Ignace. Rapports entre l'incarnation et la pré- CHAP. VII. — Grande disette de protestantisme. -On essaie les troisième et quatrième siècles. - Saint Cy- prien. Origène.- Primauté de saint Pierre et du pape. CHAP. XIV. On cache la doctrine de l'eucharistie.-- Preuves. Calomnies contre les chrétiens.- Idée que les protestants ont de ce sacrement et qui n'est pas celle qu'en avaient les premiers el.rétiens. Liaison entre l'eucharistie et le mystère de l'incarna- CHAP. XV. On cache le dogme de l'eucharistie avec un soin plus particulier dans le troisième siècle. - Saint - sur le dogme de la Trinité. -- - - - - Preuves La doctrine de la présence 92 CHAP. XIX. Réflexions. - Unité de l'Eglise catho- 97 - -- 100 103 --- ---- - CHAP. XXXVII. - Hambourg. - Hagedorn. Klops- CHAP. XXIII. - - 113 CHAP. XXIV.-Counaissance que les gnostiques avaient - - - 121 126 CHAP. XXVI. -Catalogue d'hérésies. Les marcosiens, 137 189 seule.Asservissement de la CHAP. XLIX. — Retour en Angleterre. Recherches CHAP. XXXIV. 159 La foi ou la raison. Autorite de l'Eglise. SILVIO PELLICO. - -- Catholique 289 1274 276 DES HOMMES ADRESSE A UN JEUNE HOMME. CHAPITRE Ier. Importance et prix du devoir. Ibid. - CHAP. III. - Religion. CHAP. IV. Quelques citations. Résolution à prendre sur la religion. CHAP. VI.-Philanthropie ou charité. France. Du système catholique d'interprétation des saintes 515 Notice sur les protestants convertis à la religion catho- Suisse. Allemagne et Pays-Bas. CHAP. VII. - Estime de l'homme. 278 Angleterre, Irlande et Ecosse. CHAP. VIII. Amour de la patrie. 300 Etats-Unis d'Amérique. CHAP. IX. Le vrai patriote. 502 CHAP. X. -Amour filial. Respect aux vieillards, aux ancêtres. 305 Amour fraternel. 307 CHAP. XIII. Amitié. 308 310 CHAP. XV. Choix d'un état. 512 -Mettre un frein aux inquiétudes d'esprit. 313 CHAP. V. Sur la correspondance de la morale catho- 314 CHAP. XVIII. Le célibat. 316 CHAP. XIX. Honneur à la femme. Dignité de l'amour. - Des haines religieuses. 319 CHAP.XXI. Amours blåmables. CHIP.XXII. Respect aux jeunes filles et aux femmes des attre. 321 MANZONI. - DE LA MORALE CATHOLIQUE. CHAP. II. Sur les influences diverses de la religion CHAP. III. - Philosophie morale et Théologie. CHAP. VI. Sur la distinction des péchés mortels et CHAP. VIII.- Sur la doctrine de la pénitence. CHAP. X. - Des moyens de subsistance du clergé con- - - Sur l'unité de la foi. 523 524 530 535 545 547 551 557 562 565 584 587 601 610 624 CHAP. XI.- Des indulgences. 629 CHAP. XIV. Amour paternel, amour de l'enfance et CHAP. XII. - Des choses qui décident du salut et de de lajeuresse. 325 la damnation. 632 CHAP. XXV. - Des richesses. 326 - CHAP.XXVI. — Respect à l'infortune. - Bienfaisance. 328 CHAP. XIII. CHAP. XIV. Sur les préceptes de l'Eglise. 635 · De la médisance. 642 Sur les motifs de l'aumône. 649 331 CHAP. XVI. Sur la sobriété et les abstinences.- Sur 332 la continence et la virginité. 655 333 CHAP. XVII. - Sur la modestie et l'humilité. 660 (AP. XXXI. pc mourir. - - - Humilité.-Mansuétude.-Pardon. 334 336 Haute idée de la vie et force d'âme 337 - DEFENSE DE LA TRADITION. ESSAI HAPITRE PREMIER. - Objet de la vue comparative Ibid. HAP. II. - Il n'y a point de preuves qui engagent à - 377 HAP. HI. Les Ecritures ne contiennent point toute Observations sur quelques manières nouvelles et à la CHAP. XVIII. · Sur le secret de la morale. Sur les fi- VIE DE PALEY. 672 675 TABLEAU DES PREUVES EVIDENTES DU CHRIS- - Réflexions préliminaires. — Sur la possibilité des mira- PREMIÈRE PARTIE. - Propositions à établir. 681 Ibid. PROPOS. I. Il est suffisamment évident que plusieurs PROPOS. II. Il n'est point suffisamment évident que des PROP. I. CHAPITRE PREMIER. Preuves des souffran |