Examen politique, philosophique et moral[chez] Manoury l'ainé, 1805 - 154 Seiten |
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aurait bition bler bonté celui-là CHAPITRE CHAPITRE CHAPITRE VII chose ciété citoyen concitoyens Confucius connaissances Conquérant corps finiraient crimes Cromwel détester Dieu dieux romains dire divine doit doivent donner enfans enfin Epictète Etats événemens famille fléau fortune gissait graces grandeurs guerre sacrée homme de moeurs jamais Jesus Joueurs juste Justice l'ame l'amitié l'amour L'AMOUR du Jeu l'autre l'égalité l'esprit l'Etat l'Evangile l'homme l'orgueil lois lois de l'attraction luxe maisons de jeu malheureux ment mérite MEURTHE mille millième Ministres misère mœurs moeurs si pures monde morale mort Moyse n'est-ce nable Ninive nité ô hommes pable par-tout passions personnes peuple Philosophe plaisirs Platon Poëte politique portes de l'éternité prière Prince qu'à qu'un rache raison Religion chrétienne rendre Répu reux révolutions rien Rois Romains s'il sage sagesse Saint-Augus sainte serait seul société Socrate souvent Souverain Thrasimaque tion toyen tres tyran vérité vertus vice Voilà voulu Zénon
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Seite 46 - C'est en vain qu'au Parnasse un téméraire auteur Pense de l'art des vers atteindre la hauteur : S'il ne sent point du ciel l'influence secrète, Si son astre en naissant ne l'a formé poète, Dans son génie étroit il est toujours captif; Pour lui Phébus est sourd , et Pégase est rétif.
Seite 48 - Maudit soit le premier dont la verve insensée Dans les bornes d'un vers renferma sa pensée, Et, donnant à ses mots une étroite prison, Voulut avec la rime enchaîner la raison ! Sans ce métier, fatal au repos de ma vie, Mes jours pleins de loisir couleraient sans envie.
Seite 79 - Selon la nature de l'injustice qu'ils ont commise, on les traite de sacriléges, de ravisseurs, de fripons, de brigands ; mais un tyran qui s'est rendu maître des biens et de la personne de ses concitoyens, au lieu de ces noms détestés, est comblé d'éloges : il est regardé comme un homme heureux par ceux qu'il a réduits à l'esclavage, et par les autres qui ont connaissance de son forfait ; car, si on blâme l'injustice, ce n'est pas qu'on craigne de la commettre, c'est qu'on craint de la...
Seite 79 - ... ravisseurs, de fripons, de brigands; mais un tyran qui s'est rendu maître des biens et de la personne de ses concitoyens, au lieu de ces noms détestés, est comblé d'éloges ; il est regardé comme un homme heureux par ceux qu'il a réduits à l'esclavage, et par les autres qui ont connaissance de son forfait; car si on blâme l'injustice, ce n'est pas qu'on craigne de la commettre, c'est qu'on craint de la souffrir : tant il est vrai, Socrate, que l'injustice portée à un certain point est...
Seite 22 - Romains croyaient que l'ame séparée du corps conservait encore les mêmes goûts qu'on avait eu pendant sa vie. Dans ce temps , l'on (i) Histoire universelle , composée en Anglais par une societe