Annales de la propagation de la foi, Band 26

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Chez Rusand, Libraire, Imprimeur du Roi, 1851

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Seite 218 - ... du zèle de la gloire de Dieu et du salut des âmes, à qui nous confiions cet emploi laborieux et presque abandonné de tous.
Seite 31 - ... l'idole de Bouddha, l'autre d'oratoire aux Bonzes; deux cents jolies maisonnettes, partie en briques, partie en planches, qui sont la demeure des Talapoins; des étangs, des jardins, une douzaine de belles pyramides dorées ou revêtues de porcelaine...
Seite 44 - ... manière, ils n'auront plus à craindre les vexations des gouverneurs idolâtres. » Enfin, au moment OÙ nous allions nous retirer, le roi me fit cadeau d'un sac de piastres, pour m'aider, disait-il, à payer les frais de mon voyage, et nous prîmes congé du monarque en lui serrant la main.
Seite 215 - ... Sama, Ilo, qui se rendait chaque jour au village, se fiança à une jeune fille qui répondait à la description de la femme interdite à Tyanaba. Il fit les dépenses d'usage pour son mariage dont il prévint Tyanaba. Ce dernier lui rappela l'interdit et la promesse qu'il avait faite de le respecter. Trois fois par jour, le matin, à midi et le soir, on remplissait quatre calebasses de lait que l'on portait à Tyanaba. Or, la femme d'Ilo faisait de temps en temps venir chez elle une femme âgée...
Seite 148 - ... l'extension de l'Œuvre nécessite quelquefois plusieurs éditions dans la même langue, soit à cause de la distance des lieux, soit par suite de l'élévation des droits de douane ou autres motifs graves.
Seite 22 - ... instruments de musique, les chants des comédies, le mouvement et la vie qui animent cette grande ville, tout cela est pour les étrangers un spectacle qui leur cause une agréable surprise. Il n'ya pas une seule voiture dans la capitale...
Seite 60 - Ceux qui étaient montés jusqu'à moi me serraient à m'étouffer; ils fouillaient mes poches, tàtaicnt mes yeux et ma barbe, m'ouvraient la bouche, inspectaient mes dents, comptaient les doigts de ma main, analysaient la couleur de ma peau, et concluaient en somme que j'étais un être exceptionnel, tenant assez de l'homme, un peu de l'animal, et constituant une nouveauté qu'on ne pouvait classer dans aucune espèce connue. Si je leur avais dit que j'étais un habitant de la lune, ils m'eussent...
Seite 45 - Quant au Bouddhisme que je professe, ajoutaitil, il a été dénaturé par tant de fables et d'absurdités, que je suis porté à croire qu'il ne lardera pas à être anéanti. » Cette phrase plut fort au saint Père qui s'écria : « Peut-être est-ce là une prédiction! » Sa Sainteté a déjà répondu au roi de Siam en lui envoyant, comme gage d'amitié, une précieuse mosaïque représentant une église de Rome.
Seite 44 - OÙ nous allions nous retirer, le roi me fit cadeau d'un sac de piastres, pour m'aider, disait-il, à payer les frais de mon voyage, et nous prîmes congé du monarque en lui serrant la main. Quelques jours après cette audience, j'écrivis au prince pour le prier de laisser partir avec moi un vieux prêtre annamite qui avait été fait captif au Camboge. Il m'accorda cette nouvelle faveur, et m'envoya en même temps sa lettre au Pape, dont l'adresse (en anglais) était conçue en ces termes : A...
Seite 40 - On est exposé à des dangers divers; sur l'eau, il faut se prémunir contre les crocodiles; sur terre, on craint le tigre; les serpents viennent quelquefois se fourrer sous la natte sur laquelle vous dormez; en mettant la main dans vos poches, un scorpion vous darde sa queue envenimée; d'autres fois la barque chavire, et malheur à vous si vous ne savez pas nager! Mais le Seigneur sait bien dédommager de toutes les peines que l'on endure pour lui. Arrivé dans la chrétienté, le missionnaire...

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