sur la durée du généralat, II, 397. La loi ne peut fonder l'es clavage, I, 31.- La loi puise toute sa force dans l'habitude, I, 155 et suiv.
Lois de Platon, analysées par Aristote, en trois livres, pr. xix. LOIS (Examen du Traité des) de
Platon, I, 117.
Lois (Les), ouvrage de la vieil-
lesse de Platon, I, 116, n.
LOIS (Les), titre d'un ouvrage politique d'Aristote, en quatre li- vres, pr. xxj.
LOIS (Les) anciennes sont naï-
ves, I, 153.
Les lois sont subor-
données à la constitution, II, 179.
Les lois sont bonnes ou mau-
vaises, suivant les gouvernements,
I, 273.
LOISIR (Le), regardé par toute
l'antiquité comme une condition in.
dispensable des droits politiques, I,
157, n. — Avantages du loisir, I,
LYBIE (Quelques peuplades de)
ont la communauté des femmes,
I, 95.
LYCOPHRON, Sophiste ; sa défini-
tion de la loi, I, 257.
LYCTIENS (Les), colonie de
Sparte en Crète, I, 179.
LYCURGUE Voyage en Crète, I,
179.- En imite les lois dans sa
constitution, ibid. Ne peut disci- pliner les femmes à Sparte, I, 161. Ses institutions devenues inutiles au bonheur de l'État, II, 93. Est sorti de la classe moyenne, II, 237.
MABLY; ses attaques contre le de la Politique, pr. xlij. — Em- commerce, I, 60, n.
prunts qu'il a faits à la Politique,
pr. clxxxiv. D'accord avec Aris-
tote sur l'aptitude politique de la
majorité, I, 270, n. Conseille,
comme Aristote, de changer les
anciennes divisions des citoyens
après une révolution, II, 309, n.
- Calomnié
par
la cour de Rome,
II, 454, n.
MACHINES de guerre (Perfec- tionnement des), II, 69, n. MAGISTRAT (Le pouvoir du) dis-
tinct de celui du maître, I, 37.
Fonctions des magistrats dans l'État,
II, 53. Leur habitation, II, 75.
- Leurs repas communs, ibid.
MAGISTRATURE générale ;
qu'Aristote entend par là, I, 213. MAGISTRATURES (Énumération
des) diverses, II, 63, 265. Modes
possibles de la nomination des ma- gistratures, II, 271. — Organisa- tion des magistratures diverses, II, 325.
MAGNÉSIE (A), les chevaliers formaient une oligarchie, II, 185. MAGNÉSIENS (Les), ennemis des Thessaliens, I, 159.
MAISONS (Systèmes divers de construction pour les), II, 67.
MAISTRE (JOS. DE), dans son ou- vrage sur la philosophie de Bacon, apprécie bien la logique d'Aristote, pr. vj.
MAÎTRE. La seconde société est
celle du maître et de l'esclave, I,
7.-Relation du maître à l'esclave, I, 23. Le pouvoir du maître dis- tinct de celui du magistrat, I, 37. - Ce que c'est que la science du
maître, I, 39. Le maître ne
pense qu'à son intérêt et point à
celui de son esclave, I, 241.-
La condition de maître n'a en soi
rien de noble, II, 21. -Son devoir
dans la cité, I, 229.
MALIE (A), le corps politique ne se compose que des guerriers,
II, 249.
MANDEVILLE, médecin anglais au XIVe siècle, atteste que les habi- tants de Stagire conservaient, de son temps, le souvenir d'Aristote, pr. xvij.
MANTINÉE. La constitution de cette ville approchait du système représentatif, II, 301. Seul exemple qu'offre toute l'antiquité d'un gouvernement représentatif, II, 300, n. Défaite des Lacé- démoniens à Mantinée, II, 369.
MANUSCRITS (Notice des), pr. clxxiij et suiv.
MARCHANDS; leur valeur poli-
tique, II, 307.
MARCHÉ (La place du) doit être située loin de la place publique, II, 75.— Le marché public est le premier objet de surveillance dans
la cité, II, 325.
MARI. La première société est
celle du mari et de la femme, I,
5. Son pouvoir, I, 69.
MARIAGE (Condition du), II,
101.- Danger des mariages pré-
MAJORITÉ (Supériorité intellec- maturés, II, 103.
MARINE (Avantages de la), II, 37. Rapport politique de la ma- rine à la démocratie, II, 321. MARS; vérité de son union allé- gorique avec Vénus, I, 163.
MARSEILLE. Aristote avait ana- lysé la constitution de cette ville, II, 378, n. Révolution démo- cratique de cette ville, II, 379. MARTIANUS ROTA publie le pre- mier la traduction de Guillaume de Moerbéka, pr. cxviij.
MASSILLON, cité, I, 315, n. MATELOTS (Les) ne doivent point avoir le droit de cité, II, 39. MAURUS (Le père); son com- mentaire sur la Politique, pr. cxlj.
MEANDRE, fleuve d'Asie, II, 185. MÉDECINE; son but, I, 55. Pourquoi la médecine ne fait pas partie de la science domestique, I, 63. — La médecine a profité des
innovations, I, 153.
MÉDECINS (Les), en Égypte, ne peuvent rien prescrire aux malades avant le troisième jour, I, 303.
Sous la tyrannie de Théagène,
MEINERS; son jugement sur les services qu'Aristote a rendus à l'his- toire de la philosophie, pr. lvj.
MELANCHTHON Soutient les idées de liberté par les principes d'Aris- tote, pr. xliv. Son commentaire sur la Politique, pr. cxxxix.
MÉLOPÉE, un des éléments de la musique, II, 163.
MÉPRIS (Le) cause des révolu- tions, II, 351.
MER (Avantages et inconvé- nients d'une position sur la) pour la cité, II, 35.
MERCENAIRE; sa différence avec l'esclave, I, 235. Le mercenaire peut être citoyen dans quelques constitutions, I, 237. — Les mer. cenaires sont un des éléments de l'État, II, 195. Leurs occupa- tions sont dégradantes en général, II, 307. Admis par Syracuse au droit de cité, II, 361.
MÈRE (Le chef seul de la) peut conférer le droit de cité, I, 237.
MERITE (Importance politique
MEDES (Les) sont châtiés par les rois de Perse, I, 289.- Indolence des rois des Mèdes, II, 143. MÉDIOCRITÉ (Avantages de la), du), II, 221. II, 233, 235.
MEDIQUE (Guerre), II, 357. MEGACLES massacre les Penthé- lides, II, 435.
MESSÉNIE (La), ennemie de La- cédémone, I, 159. Guerre de Messénie, II, 393.
METALLURGIE; ses rapports avec la statuaire, I, 41.
MÉTAUX (Des), titre d'un ou- vrage d'Aristote, selon Olympio- dore, pr. xxij.
MÉTHODE (La) d'Aristote est la méthode analytique, I, 5. MÉTIERS (Supériorité relative des), I, 65.
MÉTRODORE, philosophe, pro- teste contre l'esclavage, I, 18, n. MÉTROON. On y conservait, à Athènes, les autographes des dé- crets, pr. lxvij.
MEURTRE (Singulière loi à Cumes sur le), I, 153.
MICHELET (M.), de Berlin, a prétendu que la Politique était composée de traités mis bout à bout, Prétend à tort que pr. lij. Strabon parle des autographes d'A-
MIDAS faisait changer en or tous
les mets de sa table, I,
MIDI (Le vent du) engendre le Fondamentaux de la musique, II, vent d'est, II, 187.
MOEURS (Les) plus puissantes que les lois écrites, I, 317.- Influence des mœurs sur la vertu de l'homme, II, 83. - Influence politique des mœurs, II, 207. MOLOSSES (Mérite des rois), II, 427. La royauté chez les Mo- losses a duré fort longtemps, II, 447.
MONARCHIE (Discussion sur la), I, 303.- Ce que c'est que la mo- narchie, I, 147.- Ses diverses es- pèces, I, 293 et suiv. La mo-
MILLON (M.); sa traduction française de la Politique est tout à fait insuffisante, pr. cxxvij. MINERVE invente la flûte et l'a- narchie est chose contre nature
bandonne bientôt, II, 161.
MINOS; ses conquêtes, I, 181.- premier législateur de la Crète, I,
dans l'État, I, 321.. 301. la seule monarchie réelle, I, 311.
· La monarchie absolue est
Se confond avec la tyrannie, II, 229. Absolue, condamnée par Aristote, pr. xliij. Héréditaire, condamnée par Aristote; pr. xxxiij. Des Perses; son système général de gouvernement, II, 449.
MONARCHISTES anglais (Les) ont tantôt approuvé le système d'A- ristote, et tantôt l'ont blâmé, pr. xliv.
252, n. volutions, II, 350, n.
Em- prunts qu'il a faits à la Politique, pr. clxxxxvij.
MONUMENTS publics; leur entre- tien, II, 325.
MORALE (Union de la) et de la Politique, pr. xxx. Morale d'A- ristote, citée dans la Politique, I, 89, 252 n., 255, 274, 275; II,
MONNAIE (La); son origine, I, 78, n., 79, 80, n., 81, 230, n.,
MOREL (G.), éditeur d'Aristote, pr. xcviij. - Traduit eu français les deux livres supplémentaires de Strozza, pr. cj.
MÜLLER Ottfried, appelle Pha- léas Phalkès (die Dorier, tom. II, p. 200), I, 131, n. commen- Interprète un passage d'Aristote, II, 352, n. Propose une rectification fort ingénieuse du texte de la Politique, II, 469, n. — Son ouvrage sur les Doriens, I, 178, n., et passim.
MONTESQUIEU accuse à tort Aris- tote d'avoir fait sa Politique pour combattre Platon, pr. xxxj, et flat- ter Alexandre, pr. xxxij.— Ses ou- vrages de l'Esprit des lois et de la Grandeur et de la décadence des Romains ont eu des antécédents dans ceux d'Aristote et de Machia- vel, pr. xxxvij. Se trompe sans doute en attribuant aux théories d'Aristote la ruine du commerce au moyen âge, I, 60, n.-A prétendu à tort que la discussion d'Aristote sur la monarchie n'était pas nette, I, 324, n. - N'a pas eu le soin de dire que la théorie des trois pou- voirs appartenait à Aristote, II,
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