II m'enseigne à n'avoir affection pour rien, De toutes amitiés il détache mon âme, Et je verrais mourir frère, enfants, mère et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela. Le Tartuffe, ou, L'imposteur - Seite 16von Molière - 1899 - 103 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| Aignan (M., Étienne) - 1823 - 528 Seiten
...mère à son lit de mor1. A la bonne heure ! voilà ce qui s'appelle un vrai saint homme de moine. De toutes amitiés il détache mon âme, Et je verrais mourir frère, eofans, mère et femme, Que je m'en soucîrais tout comme de cela. FIN DES REMARQUES. LE STRATAGÈME... | |
| Molière - 1823 - 816 Seiten
...m'en soucîrois autant que de cela. CLÉAN TE. Les sentiments humains, mon frère, que voilà ! OKGOH. Ah ! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre. Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venoit, d'un air doux , Tout vis-à-vis... | |
| Molière - 1825 - 414 Seiten
...détache mou ame ; Et je verrois mourir frère, enfants , mère , et femme , Que je m'en soucierois autant que de cela. CLÉANTE. Les sentiments humains,...aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venoit, d'un air doux, Tout vis-à-vis... | |
| Molière - 1829 - 538 Seiten
...frère, enfants, mère, et femme, Que je m'en soucîrois autant que de cela. CLÉANTE. Les sentimens humains, mon frère, que voilà! ORGON. Ah! si vous...aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venoit, d'un air doux, Tout vis-à-vis... | |
| Scènes - 1829 - 394 Seiten
...monde. Oui, je deviens tout autre avec son entretien ; II m'enseigne à n'avoir d'affection pour rien ; De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère, enfans, mère, et femme, Que je m'en soucîrais autant que de celR. CLÉANTE, Les sentimens humains,... | |
| Molière - 1831 - 284 Seiten
...soucierois autant que de cela. CtÉ AHTE. Les sentiments humains, mon frère, que voilà ! . OHGON. Ah! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié- que je montre. Chaque jour à l'église il venoit, d'un air donx, Tout vis-à-vis... | |
| Molière, Jean-Léonor Le Gallois de Grimarest - 1833 - 750 Seiten
...m'enseigne à n'avoir affection pour rien , De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrois mourir frère, enfants , mère et femme, Que je m'en...aviez vu comme j'en fis rencontre , Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il veuoit , d'un air doux , Toul vis-à-vis... | |
| Pierre François Merlet - 1833 - 624 Seiten
...monde. Oui, je deviens tout autre avec son entretien, II m'enseigne à n'avoir affection pour rien; De toutes amitiés il détache mon âme, Et je verrais mourir, frère, enfans, mère, et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela. CLEANTE. 1.. s sentimens humains,... | |
| 1834 - 632 Seiten
...monde. Oui, je deviens tout autre avec son entretien; II m'enseigne à n'avoir affection pour rien, De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère, enfans, mère, et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela. Clé. Les sentiraens humains, mon... | |
| Molière - 1836 - 906 Seiten
...m'en soucierois autant que de cela, <:i,tA.\TF. Les sentiments humains, mon frère, que voilà! OHOON. Ah! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venoit, d'un air doux, Tout vis-à-vis... | |
| |