Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler... Les Bucoliques de Virgile - Seite 282von Virgil - 1806 - 341 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| Elie Rabier - 1896 - 706 Seiten
...moins vrai de dire ici, suivant le mot de La Rochefoucauld, que « l'esprit est la dupe du cœur ». t. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue, etc. (RACINE, Phère.) 2. Voy. sur ce sujet les flnes analyses de M. Marion, de la Solidarité morale,... | |
| Maurice Tourneux - 1920 - 676 Seiten
...malheureuse Phèdre fait-elle l'aveu de sa passion soudaine, lors de la première rencontre d'Hippolyte? Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue-; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1920 - 518 Seiten
...rappeler Racine (PWdr«, I, m), qui, en même temps que de Théocrite, se souvient d'ailleurs de Sapho : Je le vis : je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. pour l'étranger que le roi faisoit chercher et qu'on disoit ^75 qui étoit venu1 avec Narbal. En eflet,... | |
| Gonzague Truc - 1921 - 218 Seiten
...Néron. C'est surtout l'égarement de Phèdre et ce regard si décisif qu'elle jette sur soi : ... Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon âme abattue, Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentais tout mon corps et transir et brûler.... | |
| 1927 - 1004 Seiten
...notations de la psychanalyse. Rappelonsnous encore les vers de Phèdre : Je le vis, je rougis, je pâlit à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvait parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler... Je l'évitais partout. 0 comble de... | |
| 1927 - 996 Seiten
...notations de la» psychanalyse. Rappelonsnous encore les vers de Phèdre : Je le vis, je rougis, je pdlit à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux nt voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler... Je l'évitais... | |
| 1856 - 496 Seiten
...jene 93efá)reibung ЬеЗ erfteit (Sin? brucfô, ben ber 2lnbticf bee ^oppoí^t auf fie таф*е. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon urne éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Mary Lynne Flowers - 1979 - 236 Seiten
...repos, mon bonheur sembloit être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis,^ pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus... | |
| Jean Racine - 2000 - 470 Seiten
...engagée, 270 Mon repos, mon bonheur semblait être affermi, Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; OENONE What else, my lady? What deadly grieving Drives you on still to rage against your race? PHAEDRA... | |
| André Green, Gregorio Kohon - 2005 - 132 Seiten
...(eds) Psycho-Analytic Explorations, London: Karnac. To love or not to love: Eros and Eris André Green Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Jean Racine, Phèdre This sour informer, this bate-breeding spy. This canker that eats up love's tender... | |
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