Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler... Les Bucoliques de Virgile - Seite 282von Virgil - 1806 - 341 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| 1910 - 1474 Seiten
...comme dit M. Jules Lemattre. Callirhoé, se rendant an temple, aperçoit Chéréas : c'en m bit... Je le vis : je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue... Elle rcconnatt si bien « Vénus et ses fenx redoutables », que toit de suite, entrant dans le temple,... | |
| François Rostand, Pierre Corneille - 1946 - 124 Seiten
...voulus vous parler et ne sus que vous dire. Je rougis, je pâlis... (Elégie, poème de P. CORNEILLE.) Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. .... Je ne pouvais parler. (Phèdre, I, m.) L'Édition des Grands Écrivains de France mentionne, à... | |
| Voltaire - 1771 - 528 Seiten
...précifemem les mêmes choies que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis , je rougis, je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parier, L'imagination alors ardente &. fage , n'cntafle point de figures incohérentes; elle ne dit... | |
| |