...l'assassiner, portèrent son nom jusqu'aux nues. a La reine, en sortant du balcon, s'approcha de ma. mère, et lui dit, avec des sanglots étouffés : Ils vont nous forcer, le roi et moi, à nov.s rendre à Paris, avec les têtes de nos gardes-du-corps portées devant nous au bout île leurs...

...balcon, elle s'approche de Mme Necker et lui dit tristement : t Ils vont nous forcer, le roi et moi, de nous rendre à Paris avec les têtes de nos gardes du corps portées devant nous au bout de leurs piques. » Louis XVI, toujours bon, toujours faible, se décide à obéir...

...rentrée dans la salle, s'approcha de Mme Necker et lui dit d'une voix qu'étouffaient les larmes : « Ils vont nous forcer, le roi et moi, à nous rendre à Paris, avec les tètes de nos gardes du corps portées devant nous au bout de leurs piques » . Tandis que, quelques...

...sûres que les balles. Marie-Antoinette le sait, et, en quittant le balcon, elle s'approche de MmeNecker et lui dit avec des sanglots étouffés : « Ils vont nous forcer, le Roi 1 . Marquis de Paroy. Copie de la lettre quej'ai écrite à ma femme. — Revue de la Révolution,...

...l'immense majorité des poitrines. La Reine rentra, faiblement consolée, et dit à M me Necker : « Ils vont nous forcer, le Roi et moi, à nous rendre à Paris, avec les tètes de nos gardes portées au bout de leurs piques. » En effet après que la Fayette eut. du haut...

...avec le roi dans le cabinet et apercevant Mme Necker se pencha vers elle et dit dans un sanglot : « Ils vont nous forcer, le roi et moi, à nous rendre...Paris, avec les têtes de nos gardes du corps portées devant nous au bout de leurs piques 2». Dans la foule encore émue et presque conquise, les meneurs...

...la Reine s'approcha de Mme Necker et, d'une voix étouffée : « Ils vont nous forcer, lui dit-elle, à nous rendre à Paris, avec les têtes de nos gardes du corps portées devant nous sur leurs piques ! » Cette prévision devait se réaliser à la lettre. Louis XVI, poussé...