 | Ernest Nys - 1904 - 568 Seiten
...que, dans sa lettre fameuse du 10 août 1792, Roland écrivait : « Non, la patrie n'est pas un mot; c'est un être auquel on a fait des sacrifices, à qui l'on s'attache chaque jour par les sollicitudes qu'il cause, qu'on a créé par de (i) RENAN, Discours et conférences, 1887.... | |
 | Alexandre Dumas - 1989 - 580 Seiten
...et dont elle aurait fait des victimes. « Dans ce choc des intérêts, tous les sentiments ont pris l'accent de la passion. La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complu à embellir ; c'est un être auquel on a fait des sacrifices, à qui l'on s'attache chaque jour... | |
 | Marie-Joseph-Louis-Adolphe Thiers - 1828 - 374 Seiten
...dont elle au« rait fait des victimes. « Dans ce choc des intérêts, tous les sentimens « ont pris l'accent de la passion. La patrie n'est « point un mot que l'imagination se soit com« plue d'embellir; c'est un être auquel on a fait « des sacrifices, à qui l'on s'attache chaque... | |
 | Jean-Marie Roland De La Platière - 1800 - 456 Seiten
...dont elle auroit fait - des victimes. » Dans ce choc des intérêts , tous les 'sentimens ont pris l'accent de la passion. La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complu d'embellir : c'est un être auquel on a fait des sacrifices , à qui l'on s'attache chaque jour... | |
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La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complu d'embellir : c'est un être auquel on a fait des sacrifices, à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les sollicitudes qu'il cause; qu'on a créé par de grands efforts, qui s'élève... 
