 | Adolphe Thiers - 1834 - 524 Seiten
...vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée » publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver » dans l'acte d'accusation...» répandre le sang du peuple , et surtout que les mal» heurs du 1o août me soient attribués ! » J'avoue que les preuves multipliées que j'avais... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Prosper-Charles Roux - 1835 - 978 Seiten
...que la vérité. i Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation...de mon amour pour le peuple, et la manière dont je ui'éials toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1835 - 960 Seiten
...que la vérité. > Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation...que les malheurs du 10 août me soient attribués ! i J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour... | |
 | Félix Conny de la Fay - 1836 - 510 Seiten
...« vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite fût « examinée publiquement; mais mon cœur est « déchiré de trouver dans l'acte d'accusation...paraissaient « devoir prouver que je craignais peu de m'ex« poser pour épargner son sang , et éloigner « de moi une pareille imputation. » Ces paroles,... | |
 | Charles Malo - 1836 - 822 Seiten
...parle ainsi : « Je n'ai jamais craint que ma conduite fût exposée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver, dans l'acte d'accusation,...l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple. » Une majorité de cinq voix fait dresser l'échafaud. crire : «Louis mit tant d'onction, de dignité,... | |
 | Armand François Allonville (comte d') - 1838 - 742 Seiten
...» Après le peu de paroles prononcées par lui-même et où se trouve cette phrase : « Mon cœur est déchiré de trouver » dans l'acte d'accusation...que » les malheurs du 10 août me soient attribués , » il dit à M. de Malesherbes : « Vous êtes certainement » convaincu actuellement que je ne m'étais... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Roux-Lavergne - 1835 - 500 Seiten
...que la vérité. > Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation...du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août rne soient attribués ! » J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les... | |
 | Adolphe Thiers - 1839 - 432 Seiten
...l'imputation « d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, « et surtout que les malheurs du io août me soient « attribués! «J'avoue que les preuves...« pour le peuple, et la manière dont je m'étais tou« jours conduit, me paraissaient devoir prouver « que je ne craignais pas de m'exposer pour épar«... | |
 | vicomte Joseph-Alexis Walsh - 1840 - 446 Seiten
...dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir fait répandre le sang du peuple, et surtout de voir que les malheurs du 10 août me soient attribués....amour pour le peuple et la manière dont je m'étais conduit me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner son sang, et... | |
 | 1840 - 550 Seiten
...que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver, dans l'acte d'accusation...le sang du peuple , et surtout que les malheurs du \ 0 août me soient attribués. J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données , dans tous... | |
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En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré... 
