...dans Amyot. dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les pins enjoués et les plus sérieux : il avait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi,...de passionné. On a retranché, si je ne me trompe, pins de mots qu'on n'en a introduits. D'ailleurs, je voudrois n'en perdre aucun et en acquérir de...

...Montaigne , dans Amyot , dans Charron, dans le cardinal d'Ossal, et qu'on a retranchés. (Je vieux langage avait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi , de vif et de passionné. Pour quelques mauvaises herbes qu'on a retirées de la belle et riche langue du XVIe. siècle , ou...

...Fénélon regrettait lui-même, en plein xvne siècle, certaines qualités qu'on avait laissé perdre, je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif, de passionné. Son avis était que l'on avait gêné et appauvri la langue, depuis environ cent ans,...

...purifier...; le vieux langage se « fait regretter, quand nous le retrouvons dans Marot, « dans Amyot. Il avait je ne sais quoi de court, de « naïf, de hardi , de vif et de passionné. On a reIranci ché, si je ne ;me I rompe, plus de mots qu'on n'en a « introduit; d'ailleurs je voudrais...

...bon gré à M. deCambray (Fénelon) d'avoir dit que ce langage se fait regretter, parcequ'il avoitje ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné. N'est-ce pas là une belle description, et n'admirez-vous pas cet homme, qui a toujours des termes...

...sais bon gré à M. de Cambrai (Fénelon) d'avoir dit que ce langage se fait regretter, parce qu'il avait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné. N'est-ce pas là une belle description, et n'admirez-vous pas cet homme, qui a toujours des termes...

...formeront désormais le principal caractère. On sait que Fénélon louait et regrettait en Froissart « je ne sais quoi de court , de naïf, de hardi , de vif , « de passionné *. » L'auteur de Télémaque trouvait la langue appauvrie, et cependant il écrivait...

...qui écrit dans sa lettre sur l'éloquence : «Je trouve qu'il y avait dans le vieux langage d'Amyot je ne sais quoi de court, de- naïf, de hardi, de vif, qui se fait regretter.» Mais, soyez-en juges vous-mêmes, eu écoutant cette historiette que je trouve...

...formeront désormais le principal caractère. On sait que Fénélon louait et regrettait en Froissart « je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi , de vif, « de passionné 8. » L'auteur de Télémaque trouvait la langue appauvrie, et cependant il écrivait...

...de trouver, avec le doux Fénelon, que notre vieux langage se fait regretter. « II avait, dit-il, je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et dépassionné. » Fénelon a raison. Cependant j'avoue que Pascal, Bossuet, Racine et Boileau ont parlé...