 | Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1823 - 376 Seiten
...à répandre ; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGon. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu , dis-je , vu , de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier connue quatre? MADAME PERNELLE. Mon dieu... | |
 | Molière - 1823 - 816 Seiten
...répaudre ; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGOIf. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu , dis-je , vu , de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? MADAME PERXELLE. Mon dieu... | |
 | Molière - 1825 - 414 Seiten
...à répandre ; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu , dis-je , vu , de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre ? MA.DAME PERNEI.IE Il ne faut... | |
 | Molière - 1829 - 538 Seiten
...à répandre; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu !... | |
 | Edme Ponelle - 1829 - 790 Seiten
...péril , avec péril. » 2° Le pléonasme , qui ajoute ce que la grammaire rejette comme superflu : Je l'ai vu , dis-je , vu de mes propres yeux , vu, Ce qu'on appelle vu. 3° ISkyperbate , qui transporte l'ordre ordinaire de la syntaxe : après que la froide mort aura séparé... | |
 | Saint Phorien André - 1830 - 518 Seiten
...l'intérêt direct. La répétition du mot vu et des mots de mes propres yeux, dans Molière : — Je l'ai vu, dis-je, vu de mes propres yeux, vu . . . Ce qu'on appelle vu ; est donc grammaticalement «ne double superfluité ; mais cette superlluité ajoute des idées accessoires,... | |
 | Molière - 1831 - 284 Seiten
...répandre ; Et rien n'est ici bas qui s'en puisse défendre. o RG o N. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. lf'aut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre ? M * II AMK PERNELLE. Mon... | |
 | Molière, Jean-Léonor Le Gallois de Grimarest - 1833 - 750 Seiten
...à répandre , Et rien n'est ici bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu , dis-je , vu , de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu... | |
 | Charles Pierre Girault-Duvivier - 1833 - 660 Seiten
...(le Dépositaire infidèle) : Mais enfin, je l'ai vu, vu de mes yeux, vous dis-je» et dans Molière: Je l'ai vu , dis-je , vu , de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle -vu, (Tartufe, act. V, K. 3.) est donc grammaticalement une double superfluité ; mais cette superfluité... | |
 | Molière - 1836 - 906 Seiten
...à répandre Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGOX. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu , dis-je , vu , de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon dieu! le... | |
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Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu ! le plus souvent, l'apparence déçoit : Il ne faut pas toujours juger sur ce qu'on... 
