 | Lucien Leclair - 1888 - 268 Seiten
...donner à la phrase plus de grâce ou d'énergie. Ex.: Et que me fait, à moi, cette Troie où je cours? Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. D suffisait, pour le sens grammatical, de dire : Je Cai vu, puisque la personne qui dit : Je l'ai vu,... | |
 | Jules Sandeau - 1889 - 164 Seiten
...mute, as 'l'héroïne,' etc. 1 3. ce qui s'appelle vu ; lay great stress on ' vu ' ; cf. Tartuffe— Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? 27. on lui fera un sort. He... | |
 | 1890 - 608 Seiten
...to false reports. Vainly Orgon breaks in and tells her ' j'ai vu de mes yeux,' she wili not listen. 'Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu! Ce qu'on appelle vu ! ' To which she replies loftily that one must not always judge by what one sees. What ! Orgon exclaims... | |
 | Maurice Souriau - 1893 - 526 Seiten
...Car cela ne se peut (v. 1319). Que voulez-vous donc dire avec votre discours. Ma mère? (v. 1661). Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu (v. 1677). Bonjour, ma chère sœur; faites, je vous supplie. Que je parle à Monsieur (v. 1718). De... | |
 | Molière - 1893 - 216 Seiten
...n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. .ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvul i 675 Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu : faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu,... | |
 | Molière - 1894 - 202 Seiten
...répandre, Et rien n'est, ici-bas, qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu ! Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu... | |
 | Charles Louis Livet - 1895 - 550 Seiten
...Le verbe appeler correspond au subst. appel, défi, appel en duel. APPELER : ce qui s'appelle. 1676 Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. — Tart., V, 3. Dès le premier jour quo je vous vis, vous fûtes ce qui t'appelle absolument souveraine... | |
 | Molière - 1900 - 674 Seiten
...visité de tail tout cet appartement (IV, Tart. 1 5 Ï'O. ... J'ai vu de mes yeux un crime si hardi.... Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle TU... (IV, Tart. 167», 1676). [im. I, iv, j. de se.). AXCÉL., la regardant d'un œil languissant,... | |
 | Molière - 1904 - 118 Seiten
...répandre ; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre.* Orgon. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le vebattre " Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? Madame PerneUe. Mon Dieu... | |
 | Roger Alexandre - 1902 - 500 Seiten
...que quelques années auparavant Molière faisait dire à Orgon dans le Tartuffe (acte V, scène m) : Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu... (Vers 1676-77.) VOIX. «... Les restes d'une voix qui tombe et d'une ardeur qui s'éteint. » Bossuet.... | |
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Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu ! le plus souvent, l'apparence déçoit : Il ne faut pas toujours juger sur ce qu'on... 
