| Émile Faguet - 1911 - 336 Seiten
...étant, bien entendus par le spectateur, des traits d'hypocrisie, d'imposture ou d'ostentation : Ah ! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre ! Vous auriez...pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi... Il avait avisé sa dupe et il commençait... | |
| Émile Faguet - 1911 - 330 Seiten
...traits d'hypocrisie, d'imposture ou d'ostentation : Ah ! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre I Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, MOLIÈRE II avait avisé sa dupe et il commençait la pêche et... | |
| Émile Faguet - 1914 - 342 Seiten
...qui le voit partir, s'apaise et ne souffle pas... » Ceci est littéralement de Molière : Ah ! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez...pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attirait les... | |
| Molière - 1918 - 284 Seiten
...soucierois autant que de cela. CLÊANTE Les sentiments humains, mon frère, que voilà! 280 ORGON Ha! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez...pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venoit, d'un air doux, Tout vis-â-vis de moi se mettre à deux genoux. 11 attiroit les... | |
| P. Gonneau, Christian Sénéchal - 1920 - 488 Seiten
...soucierais autant que de cela. CLÉANTE. Les sentiments humains, mon frère, que voilà ! ORGON. ^ Ha, si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez...pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi, se mettre à deux genoux. 11 attirait les... | |
| Edmond Estève, E. Guirand, René Harmand - 1921 - 516 Seiten
...soucierais autant que de cela. » CLÉANTE. Les sentiments humains, mon frère, que voilà! ORGON. Ah ! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez...pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attirait les... | |
| Jo Ann Marie Recker - 1986 - 144 Seiten
...thé universal as with this comic portrait from Molière's Tartuffe (Act I, Scène v): -Orgon: Ha! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez...pris pour lui l'amitié que je montre, Chaque jour à l'église il venoit, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attiroit les... | |
| Molière - 1788 - 606 Seiten
...foucierois autant que de cela. CL É ANT E. Les fentimens humains , mon frère , que voilà ! ORG o N. Ahl fi vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez...Chaque jour à l'églife, il venoit, d'un air doux, Tour vis-à-vis de moi fe mettre à deux genoux. Il attiroit les yeux de l'aflemblée entière , Par... | |
| 164 Seiten
...étant, bien entendus par le spectateur, des traits d'hypocrisie, d'imposture ou d'ostentation : Ah ! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre ! Vous auriez...pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, 10 Tout vis-à-vis de moi... Il avait avisé sa dupe et il commençait... | |
| Molière - 1741 - 604 Seiten
...CLEANTE. ORGON. Ah ! Si vous aviez vû comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitiè que je montre. Chaque jour, à l'églife il venoit , d'un air doux , Tout vis à-vis de moi , fe mettre à deux genoux. Il attiroit les yeux de l'aflemblée entiére , Par l'ardeur... | |
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