 L'HOMME ET L'INFINI .... Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté : qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent; qu'il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers;...  Œuvres complètes de Rollin - Seite 202von Charles Rollin - 1821Vollansicht - Über dieses Buch
 | Michel de Montaigne - 1893 - 356 Seiten
...astre décrit; et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un pomt très delicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. » M. Molinier lit poiule très délicate, ce qui rend le rapprochement plus frappant encore. 2. Archers... | |
 | Michel de Montaigne - 1924 - 542 Seiten
...point... et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même ne soit qu'une pointe très delicate, à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent.... Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature.... Que l'homme,... | |
 | Edmond Lefebvre - 1925 - 252 Seiten
...décrit et qu'il s'étonne de ce que ce vaste « tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de « celui que les astres qui roulent dans le firmament embras« sent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagi'nation passe « outre ; elle se lassera... | |
 | Emile Abry, Charles Audic, Paul Crouzet - 1912 - 688 Seiten
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans...lassera plus tôt de concevoir que la nature de fournir. (H. I, 1; B. II, 72.) c) La foi. — C'est enfin sa foi éperdue qui donne à tant de passages une... | |
 | P. Lepaysant - 1926 - 350 Seiten
...айгс décrit ; & qu'il s'étonne de ce que ce vasïe tour lui-même n'eat qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans...firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête la, que l'imagination passe outre : elle se lassera plutôt de concevoir, que la Nature de fournir.... | |
 | Ernest Jovy - 1928 - 524 Seiten
...la terre « comme un point « Au prix du vaste tour que cet astre décrit (1). « Et il s'étonnera que ce vaste tour lui-même n'est « qu'un point très...« Astres qui roulent dans le firmament embrassent. Son « imagination se lassera plutôt de concevoir que la Na« ture de fournir. Tout ce que nous voyons... | |
 | Ernest Jovy - 1927 - 694 Seiten
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent... Je retrouve au commencement du discours III du livre II de Silhon des idées et des mots qui me paraissent... | |
 | Charles Marc Des Granges, Charles Charrier - 1928 - 622 Seiten
...décrit3, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent4. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre; elle se lassera plus lot... | |
 | Giacomo Leopardi - 1994 - 296 Seiten
...éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers ; que la terre lui apparaisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre...là, que l'imagination passe outre, elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible... | |
 | North American Society for Seventeenth-Century French Literature. Conference - 2002 - 282 Seiten
...s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une point très délicate à l'égard de celui que ces astres, qui roulent dans le firmament, embrassent....là, que l'imagination passe outre, elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout le monde visible n'est qu'un trait imperceptible... | |
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