Je suis calme comme on l'est, quand la conscience ne reproche rien, j'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants ; vous savez que je n'existais que pour eux, et vous, ma bonne et tendre sœur ; vous qui avez par votre amitié... Ami de la religion et du roi: journal ecclésiastique, politique et littéraire - Seite 51 1816 Vollansicht -
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