| Ernest Antoine Aimé Léon Baron Seillière, Ernest Seillière - 1918 - 194 Seiten
...êtres, s'y trouvait trop à l'étroit ; j'étouffais dans l'univers.; j'aurais « voulu m'élancer dans l'Infini. Je crois que si j'eusse « dévoilé...« senti dans une situation moins délicieuse que dans cette « étourdissante extase à laquelle mon esprit se livrait sans « retenue et qui, dans... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1920 - 538 Seiten
...bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit; j'étouffais dans l'univers; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que, si j'eusse dévoilé...me faisait écrier quelquefois : « 0 grand Être ! ô grand Être ! » sans pouvoir dire ni penser rien de plus. Ainsi s'écoulaient dans un délire... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1920 - 244 Seiten
...des êtres s'y trouvait trop à l'étroit; j'étouf25 fais dans l'univers; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que, si j'eusse dévoilé...se livrait sans retenue, et qui, dans l'agitation 30 de mes transports, me faisait écrier quelquefois : "O grand Être ! ô grand Être !" sans pouvoir... | |
| Ernest Antoine Aimé Léon Baron Seillière - 1921 - 494 Seiten
...modernes : « J'aimais à me perdre en imagination dans l'espace... J'étouffais dans l'univers... Étourdissante extase à laquelle mon esprit se livrait...de mes transports, me faisait écrier quelquefois : O grand Etre, O grand Etre, sans pouvoir dire ni penser rien de plus ! » C'est la prière rousseauiste,... | |
| Ernest Seillière - 1921 - 466 Seiten
...J'aimais à me perdre en imagination dans l'espace... J'étouffais dans l'univers... Ëtourdissante extase à laquelle mon esprit se livrait sans retenue...de mes transports, me faisait écrier quelquefois : O grand Etre, O grand Etre, sans pouvoir dire ni penser rien de plus ! » C'est la prière rousseauiste,... | |
| Edmond Estève, E. Guirand - 1922 - 440 Seiten
...des êtres, s'y trouvait trop à l'étroit; j'étouffais dans l'univers ; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que, si j'eusse dévoilé...se livrait sans retenue, et qui, dans l'agitation dermes transports, me faisait écrier quelquefois : « O grand Etre ! O grand Etre ! » sans pouvoir... | |
| Henri Clavier - 1923 - 268 Seiten
...des êtres s'y trouvait trop à l'étroit ; j'étouffais dans l'univers ; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que, si j'eusse dévoilé...de mes transports, me faisait écrier quelquefois : « O grand Etre ! ô grand Etre », sans pouvoir dire ni penser rien de plus... « Ce sont là les... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1923 - 436 Seiten
...mystères de la nalure, je me serais senli dans une situation moins délicieuse que cette élourdissante extase à laquelle mon esprit se livrait sans retenue,...qui, dans l'agitation de mes transports, me faisait écrier1 quelquefois: « O grand Être! ô grand Être! » sans pouvoir dire ni penser rien de plus2.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1927 - 412 Seiten
...bornes des êtres s'y trouvoit trop à l'étroit, j'étouffois dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que, si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serois senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase, à laquelle mon... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1925 - 438 Seiten
...trop à l'étroit; j'étouffais dans l'univers : j'aurais voulu m'élanccr dans l'infini. Je croit que, si j'eusse dévoilé tous les mystères de la...moins délicieuse que cette étourdissante extase & laquelle mon esprit se livrait sans retenue, et qui, dans l'agitation de mes transports, me faisait... | |
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