| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1845 - 372 Seiten
...des enfants Que le Nord eût portés jusque là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts. (Liv. i,/ai. 22.) LES ANIMAUX MALADES... | |
| Charles Picot - 1845 - 260 Seiten
...le dos ; Mais attendons la fin." Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Q 0 Et fait si bien qu'il déracine... | |
| Albert Etienne de Montémont - 1845 - 406 Seiten
...terrible des enfants Que le nord eut porté jusque là dans ses flancs. L'arbre tient bon; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts Et fait si bien qu'il déracine Celui île qui la [été au ciel était voisine Le chêne un jour dit a» roseau : Le moindre vent vous oblige... | |
| Gabriel Surenne - 1846 - 346 Seiten
...Versification. The following examples will exhibit the nature of the transposition. " Le vent redouble sea efforts ; Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts." LA FONTAINE, Le Chêne et le Roseau.... | |
| A. Bonnaire - 1846 - 468 Seiten
...chêne). § 473. Une proposition subordonnée peut en avoir qui lui soient subordonnées à elle-même : et fait si bien, \ qu'il déracine celui \ de qui la tête au ciel était voisine, \ et dont les pieds touchaient à l'empire des morts. L'adjectif celui, représentant... | |
| Auguste Mariot de Beauvoisin - 1848 - 270 Seiten
...des enfans Que le nord eût portés jusque-ld dans ses flancs. L'arbre [tient bon] ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts ; Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts. La Fontaine. (xiv.) — L'INCONNUE.... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 Seiten
...courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1850 - 480 Seiten
...courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui... | |
| André Sears - 1850 - 426 Seiten
...courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon, le roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui... | |
| François Noel - 1851 - 758 Seiten
...placer l'harmonie. L'arbre tient bon ; le Roseau plie. Voilà nos deux acteurs en situation parallèle. Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts. Ces vers sont beaux, nobles ;... | |
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