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" L'herbe que je voulais arracher de ce lieu. C'est ton oisiveté; ta douleur est à Dieu. Quel que soit le souci que ta jeunesse endure. "
Mémoires de la Société académique de Maine-et-Loire - Seite 193
von Académie des sciences et belles-lettres d'Angers - 1867
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Œuvres complètes de Alfred de Musset ...: Poésies nouvelles, 1833-1852

Alfred de Musset - 1923 - 436 Seiten
...pas même la souffrance. La bouche garde le silence Pour écouter parler le cœur. LA MUSE. Crois-tu donc que je sois comme le vent d'automne, Qui se nourrit...Et pour qui la douleur n'est qu'une goutte d'eau? O poète! un baiser, c'est moi qui te le donne. L'herbe que je voulais arracher de ce lieu, C'est ton...
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Harper's French anthology, XVII-XVIII-XIX centuries

Edward Hinman Sirich, Francis Brown Barton - 1923 - 494 Seiten
...même la souffrance. La bouche garde le silence 10 Pour écouter parler le cœur. LA MUSE Crois-tu donc que je sois comme le vent d'automne, Qui se nourrit...Et pour qui la douleur n'est qu'une goutte d'eau? O poète! un baiser, c'est moi qui te le donne. 15 L'herbe que je voulais arracher de ce lieu, C'est...
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Collection Linguistique, Ausgabe 5

Société de linguistique de Paris - 1923 - 526 Seiten
...profonde Qui s'ouvre tout à coup sous les choses du monde... (In., Cnanta do Crépuscule). Crois-tu donc que je sois comme le vent d'automne, Qui se nourrit de pleure jusque sur un tombeau, Et pour qui lu douleur n'est qu'une goutte d'eau ? (Muss«T, .VIM/ de...
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L'art d'accomoder les classiques

Georges-Armand Masson - 1924 - 264 Seiten
...part des lieux où l'on s'amuse, Et prenons du plaisir, ce n'est pas si souvent.. LE POÈTE Crois-tu donc que je sois comme le vent d'automne, Qui se nourrit de pluie avec les escargots ? Quels que soient les plaisirs de la côte bretonne, Leur appel dans mon...
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Œuvres complètes de Alfred de Musset ...: Comédies et proverbes, 1830-1857

Alfred de Musset - 1926 - 520 Seiten
...son cœur de fer lui croiser les deux mains. I*1 Dans la Nuit de Mai, on lit également : Crois -tu donc que je sois comme le vent d'automne Qui se nourrit...pleurs jusque sur un tombeau, Et pour qui la douleur est une goutte d'eau? O poète! un baiser, c'est moi qui te le donne. L'herbe que je voulais arracher...
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French lyrics, selected and edited with an introduction and notes

Arthur Graves Canfield - 1899 - 416 Seiten
...pas même la souffrance. La bouche garde le silence Pour écouter parler le cœur. LA MUSE. Crois-tu donc que je sois comme le vent d'automne, Qui se nourrit...tombeau, Et pour qui la douleur n'est qu'une goutte d'eau ? O poète ! un baiser, c'est moi qui te le donne. L'herbe que je voulais arracher de ce lieu. C'est...
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Miscellanées

Henri Beaudé - 1927 - 232 Seiten
...du haut des cieux. . . Entendons-la révéler au pauvre enfant la vertu de la souffrance: Crois-tu donc que je sois comme le vent d'automne, Qui se nourrit...Et pour qui la douleur n'est qu'une goutte d'eau? L'herbe que je voudrais arracher de ce lieu, C'est ton oisiveté; ta douleur est à Dieu. Quel que...
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La littérature expliquée: notions d'histoire littéraire, morceaux choisis ...

Charles Marc Des Granges, Charles Charrier - 1928 - 622 Seiten
...même la souffrance. La bouche garde Te silence 40 Pour écouter parler le cœur. LÀ MU SB Crois-tu donc que je sois comme le vent d'automne, Qui se nourrit...pleurs jusque sur un tombeau, Et pour qui la douleur est une goutte d'eau? O poète I un baiser, c'est moi qui té le donne. 45 L'herbe que je voulais arracher...
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The Oxford book of French verse, XIIIth century-XXth century

St. John Lucas - 1926 - 600 Seiten
...pas même la souffrance. La bouche garde le silence Pour écouter parler le cœur. LA MUSE Crois-tu donc que je sois comme le vent d'automne Qui se nourrit...tombeau, Et pour qui la douleur n'est qu'une goutte d'eau ? O poète ! un baiser, c'est moi qui te le donne. L'herbe que je voulais arracher de ce lieu, C'est...
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Poursuivons: ornithologie du promeneur, livres IV & V

Dominique Meens - 1998 - 212 Seiten
...neuve Chez Musset, s'il a repris le fait. Je vous la recopie, c'est bien fait : LA MUSE IV (7) Crois-tu donc que je sois comme le vent d'automne, Qui se nourrit de pleurs jusque sur le tombeau, Et pour qui la douleur n'est qu'une goutte d'eau ? O poète ! un baiser c'est moi qui te...
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